Des salariés d’Ascoval de Saint-Saulve (Nord), en redressement judiciaire, bloquaient vendredi matin toutes les entrées du site de Vallourec, actionnaire de l’aciérie, à Aulnoye-Aymeries, près de Maubeuge, pour faire pression sur le gouvernement qui réunit dans la journée à Bercy les acteurs du dossier. L’action menée par une trentaine de salariés se déroulait sans heurts, ont constaté des journalistes de l’AFP, avec feux de pneus allumés devant les entrées du site. Une centaine de salariés d’Aulnoye-Aymeries, qui devaient prendre leur poste à 06H00, attendaient dans le calme devant l’entrée principale.
Et aller ça va faire encore 281 personnes sur le carreau. Tout ça parce qu'une multinationale ne veut pas prendre de risques et aller "contre ses intérêts" ! :x :x Quand on pèse près de 2 milliards d'euros en bourse, ça ne doit pas être si terrible !!! Quand à un éventuel soutien du gouvernement à cette entreprise, je n'y crois guère...
Et aller ça va faire encore 281 personnes sur le carreau. Tout ça parce qu'une multinationale ne veut pas prendre de risques et aller "contre ses intérêts" ! :x :x Quand on pèse près de 2 milliards d'euros en bourse, ça ne doit pas être si terrible !!! Quand à un éventuel soutien du gouvernement à cette entreprise, je n'y crois guère...
Si si Macron est toujours l'ami des patrons, par contre soutenir les salarié-es, je n'y crois pas du tout :!:
La France est depuis plusieurs décennies devenue un désert industriel.... Macron il n'aime que les start-up ! Parce que les start-up c'est .... dé...de-toi tout seul !
La France est depuis plusieurs décennies devenue un désert industriel.... Macron il n'aime que les start-up ! Parce que les start-up c'est .... dé...de-toi tout seul !
Pas du tout : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Le gouvernement veut des engagements financiers de la part du repreneur de l'aciérie d'Ascoval (Nord). Le client principal Vallourec ne veut pas garantir de commandes. Les salariés ne s'avouent pas vaincus.
Les salariés d'Ascoval n'abandonnent pas. Depuis une semaine, ils se relaient à Saint-Saulve (Nord) devant leur aciérie, menacée de fermeture, toujours inquiet pour leur avenir, toujours en colère contre Vallourec. Seule l'hypothèse de voir le repreneur Altifort présenter un plan de reprise alimente à nouveau l'espoir.