VIDEO. Le "putain de facteur humain" : l'explication d'Hubert Reeves sur l'inaction des hommes face à l'état de la Terre
Le PFH ou "putain de facteur humain" est une expression employée au Québec. "C'est ce qui fait que l'on ne passe pas de ce qu'on sait à ce que cela implique", explique l'astrophysicien Hubert Reeves...
"Comment se fait-il que les êtres humains, qui sont très informés sur ce qu'il se passe depuis longtemps, n'ont pas le cerveau équipé pour réagir efficacement aux informations sur l'état de la Terre, le réchauffement climatique ? Pourquoi n'agit-on pas ?" demande Eric Fottorino, directeur de l'hebdomadaire Le 1, à l'astrophysicien Hubert Reeves, invité du magazine "Ouvrez le 1" diffusé mercredi 13 mars à 22h30 sur Franceinfo (canal 27). Source
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : Qu'il a raison, entièrement raison Hubert Reeves.... Je partage son point de vue quand il dit : " Il faut dire exactement ce qu'il en est, la vérité, sans jamais exagérer dans un sens ou dans l'autre. Et il faut aussi ne pas décourager. L'attitude la plus dangereuse est celle de celui qui dit 'C'est foutu ! Il n'y a plus rien à faire'." Si seulement il pouvait être entendu par ceux qui nous gouvernent .....
J'avais vu cette vidéo et comme toi LIlly j'abonde dans le sens d'Hubert Reeve. Il est difficile de ne pas se décourager Je suis de la veine du "c'est foutu" mais néanmoins, je continue à faire ma part autant que faire se peut. Cela reste pour moi incompréhensible que les Hommes repoussent sans cesse le danger, refusent de voir l'urgence. Vraiment ça me dépasse
Quel homme extraordinaire Hubert Reeves ! Il possède tellement bien ses sujets qu'il parvient à rendre compréhensibles les choses les plus compliquées. Je suis , comme vous, complètement d'accord avec lui . Parfois , néanmoins il y a de quoi se décourager ... Chaque matin nous partons marcher , nous emportons un sac pour ramasser les canettes , bouteilles de plastique ou de verre qui trainent dans les bas cotés des chemins , chaque jour nous en ramassons et pas que quelques unes et pourtant nous habitons à la campagne. C'est toujours à recommencer