À la veille du sommet du G20 à Osaka, le Japon s'organise pour accueillir les plus grands dirigeants de la planète. Et même le monde de la prostitution y met du sien.
Pour ce premier G20 jamais organisé dans leur pays, les japonais veulent donner le meilleur d’eux-mêmes. A Tobitashinchi, le quartier chaud, le "red light district" d’Osaka, toute l’industrie du sexe et du jeu a décidé de fermer boutique le temps du G20 (...) Prostitution illégale, mais tolérée au Japon
Les salles de jeu, elles, ont aussi fait l’effort de ne pas renouveler leur parc de machines à sous alors que la plupart le font chaque mois. C’est d’ordinaire un appât à clients puisque ces derniers sont persuadés qu’ils vont gagner plus facilement si les machines sont neuves.
Tout le monde se met en veilleuse le temps de la rencontre des grands de ce monde. La preuve, ces affiches sur les murs du quartier avec ce slogan : "G20 réussissons tous ensemble."
En montrant leur capacité à s'organiser, et à faciliter quant il le faut le travail de la police, les patrons des quartiers chauds veulent prouver qu'ils sont tout à fait capable de se gérer tout seuls. Sans police pour y mettre le nez... Lire l'article