Une clinique britannique propose aux patientes de retarder la ménopause en réimplantant du tissu ovarien, après l’avoir congelé. Cette nouvelle a fait le tour de Net, mais scientifiquement est-ce vraiment possible ?
Bouffées de chaleur, troubles de l’humeur, ou baisse de la libido… les femmes sont nombreuses à en souffrir en période de ménopause. Pour venir à bout de ces symptômes, une clinique britannique propose une technique de cryoconservation du tissu ovarien. Une procédure déjà proposée aux jeunes femmes souffrant d’un cancer, pour leur permettre de procréer après les traitements qui peuvent nuire à la fertilité.
Cette technique est-elle vraiment novatrice et surtout est-elle fiable ?
Sur les quelques greffes déjà réalisées sur des femmes ménopausées à la suite d'un cancer, on a très peu de données en termes de fertilité (moins de 200 naissances à travers le monde). On sait que la reprise de la fonction hormonale des fragments se fait relativement bien. Mais elle dépend de plusieurs facteurs, notamment l’âge au moment où on a prélevé.
“Avoir du tissu ovarien en moins, lorsqu'il est prélevé à une âge jeune, n’est pas forcément problématique. De plus, on sait que la greffe permet le plus souvent de restituter aux femmes une production hormonale et des cycles menstruels. Mais cela veut dire aussi que des femmes de 50 ans pourraient redevenir fertiles. Et ça, c’est un problème parce que l’on ouvre la porte à des grossesses tardives qui sont particulièrement à risque, à la fois pour la femme et pour l’enfant.”
En-dehors de femmes jeunes qui ont eu un cancer ....et quî veulent une fois guérie avoir un enfant ....je comprends ...qu'elles tentent tout... Reculer de 20 ans la ménopause ....pour faire des enfants tardivement sans être sûrs de les eléver entièrement ...c'est un peu du délire...encore faut il que ces enfants naissent normaux physiquement et psychiquement.. Quant aux petits soucis de la ménopause...je n'ai pas connu ...pas de médoc ...pas de pleurnicherie...du sport à outrance .....mais surtout quelle liberté appréciable après...lol.
C'est vrai qu'avoir un bébé après 40 ans, il y a des risques et pour le bébé et pour la maman... Bon, çà ne me concerne plus.. je laisse les jeunes-femmes y répondre..
Que va-t-on encore inventer pour "contrarier" la nature ?.... .....Jadis lorsqu'il n'y avait pas de contraception, des femmes se trouvaient enceinte juste avant la ménopause, j'en ai connu a 48 ans ... ou ce sont les aines qui s'occupent des derniers nés ... De plus, il y a des risques pour la mère et l'enfant, déjà lorsque c'était ... naturel .... Artificiellement, le risque doit être le même ! !
Rien que la crainte de mettre au monde un enfant trisomique me ferait reculer sachant que plus la mère est âgée, plus le risque est grand.
Et mince, laissons donc faire la nature. Pour moi aussi ce fut une libération. Et justement avoir une intimité sans crainte d'avoir une grossesse quelle liberté.
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IPa.
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Un autre sujet mais qui rejoint un peu celui-là, la "réflexion" sur la congélation des ovocytes de jeunes femmes a ""utiliser"" plus tard lorsqu'elle prendront le temps de "faire" un enfant ... Et cette possibilité de "cryoconservation" du tissus ovarien... qui pourrait prendre le même chemin que la conservation des ovocytes des jeunes .... pour plus tard ...... Un enfant "issu" de deux ""décongélations""?.... Quel regard une femme peut avoir sur l'enfant né .... de décongélation ...
Si l'espèce humaine a évolué vers un état où la femme ne peut procréer que jusqu'à un certain âge, c'est parce qu' il faut qu' elle soit vivante et en bonne santé au moins une quinzaine d'années après la naissance de son enfant pour l'amener lui-même près de l'âge adulte.... pas plus compliqué que ça.
Alors que la science se penche sur le cas très malheureux des femmes qui pour une raison ou pour une autre sont ménopausées trop jeunes, oui. Mais qu'elles dérives celà laisse entrevoir !....
Aujourd'hui à 20:32 par 
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