Véritable phénomène de société, l’hypersexualisation des jeunes filles provoque une telle inquiétude qu’elle fait aujourd’hui l’objet d’un rapport parlementaire pour tenter de mettre en place des garde-fous.
Des écoles primaires où l’on est obligé d’interdire aux très jeunes élèves de porter des talons hauts, des magasins où l’on vend des soutiens-gorges rembourrés pour faire croire qu’on a de la poitrine à 8 ans, des strings taille 6 ans et des concours de mini-miss qui se multiplient… Dans notre société, les petites filles de 9-13 ans veulent de plus en plus ressembler à des ados, voire à des femmes. C’est ce que l’on appelle l’hypersexualisation. Observé depuis plus de dix ans aux USA, la sexualisation des enfants par l’industrie de la mode a trouvé échos en France auprès des associations féministes, qui dès 2010 tirent la sonnette d’alarme et dénoncent un manque de réglementation sur le sujet.
Concrètement, l’hypersexualisation peut se décomposer en quatre critères :
La valeur d’une personne se base sur son attrait ou son comportement sexuel le standard de beauté à atteindre est d’être sexy la personne est là pour répondre aux besoins sexuels des autres la sexualité est imposée de façon inappropriée
Plusieurs secteurs de l’industrie profitent directement ou indirectement de cette situation. Parmi les industries qui tirent un avantage monétaire de la banalisation de la sexualité et des codes pornographiques, citons les médias comme la télévision, la musique, internet, le cinéma et les magazines. On y retrouve aussi l’industrie de la mode et des produits de beauté ainsi que les spécialistes du marketing qui étudient les habitudes des jeunes. Sans oublier les réseaux prostitutionnels et pornographiques de l’industrie du sexe. Fait troublant, l’hypersexualisation des jeunes, surtout celle des filles, commence à un âge de plus en plus précoce. Le concept même de préadolescence a été forgé par certaines industries, comme celle de la mode, toujours soucieuses de trouver de.nouvelles cibles de consommation. À travers les médias, elles diffusent leurs messages sur l’importance de l’apparence et de la séduction. Or les jeunes sont particulièrement perméables à l’influence des médias. Il y a fort à parier que dans les années à venir, cette pression du « look parfait » s’intensifiera et ce, spécialement sur les filles qui veulent être confortées dans leur besoin d’avoir l’air cool et sexy.
Pour illustrer cela, je vous propose d’observer une étude américaine concernant l’impact des médias sur les enfants. Cette étude révèle que les jeunes sont en interaction avec différents médias 38 heures par semaine, en moyenne. Ces filles et ces garçons voient environ 3 000 publicités par jour, 14 000 références télévisuelles à la sexualité par année, dont seulement 165 traitent de responsabilité sexuelle. En moyenne, entre 6 et 17 ans, un(e) enfant d’âge scolaire aura visionné 15 000 heures de télévision contre 12 000 passées à l’école ! Mais que regardent les jeunes à la télé et dans les médias en général? Des images qui parlent d’elles-mêmes et véhiculent à chaque instant des idéaux restreints de beauté et des rapports hommes/femmes stéréotypés: homme dominateur, femme sexy mais soumise. C’est ce modèle relationnel que relaient les médias. Ces derniers constituent de véritables reflets de la société de consommation. L’industrie de la musique et celle de la publicité diffusent abondamment des images de femmes-objets adultes, dénudées et sensuelles, ainsi que de jeunes femmes sous les traits de petites filles aguichantes. Se pourrait-il qu’à force de voir des femmes sans cesse représentées comme objets sexuels, voire comme un fantasme masturbatoire, hommes et femmes finissent par regarder toutes les femmes de la même manière? Possible oui, puisque les jeunes filles et les femmes qui consomment fréquemment des médias de masse dépeignent davantage la femme comme un objet sexuel et ont tendance à placer la beauté physique au centre des valeurs féminines. L’hypersexualisation influencerait la capacité à raisonner et serait associée à un plus grand risque de présenter des troubles alimentaires, une faible estime de soi et des symptômes dépressifs. Ce phénomène serait en outre relié à des difficultés à s’affirmer sur le plan sexuel, à une image irréaliste de la sexualité et à des relations hommes/femmes plus difficiles.
Étant donné l’importance des médias dans l’image qui est véhiculée de la femme, une partie importante de la solution semble se trouver de ce côté. Que ce soit en apportant une réflexion afin de développer un esprit critique sur ce qui est présenté dans les médias, ou en invitant les filles à s’exprimer à travers les blogues, les magazines, les médias peuvent avoir une grande influence. Mais par-dessus tout, c’est en présentant une image plus diversifiée de la femme, non pas réduite à un simple objet de désir sexuel, mais comme étant complexe et pleine de ressources sur tous les plans, que les médias pourront réellement contribuer à améliorer la situation.
Phénomène de société c'est vite dit... Chez les tocards de la mode peut être, les jeunes gens que je croise et qui sont fashion-victim sont plus âgés que cela. Vogue est un magazine qui ne vit que de ce type de comportement (adultes/et non adultes).
Tout homme disposant d'un pouvoir, est susceptible d'en abuser MONTESQUIEU
C'est le culte de la jeunesse. Tous mes potes, marié ou non , mate les gamines. Ils se teignent leur cheveux grisonnants, et ceux qui ne sont pas marié, excluent le fait de sortir avec une fille de plus de trente ans. Quand je sors et que je croise des femmes de mon âge (la quarantaine), je me rend compte qu'elle sont pareils et font tous pour ressembler à des minette de 20 ans, quitte à passer pour des écervelées. Les gens deviennent obnubilé par l'apparence, et cet apparence est dicté par les média ,qui , eux-mêmes, sont à la botte des industries.
c'est ce qui me fait flipper, quand je vois ma grande de presque 8ans, qui aime porter des talons, du maquillage et se fringuer court et très léger !!! le pire c'est qu'elle est très mignonne comme ça heureusement je lui autorise ça qu'a la maison . Même que j'habite en pleine campagne , je fais super attention ! (peut-être trop mère poules !) c'est aussi un effet de mode "lolita" ... mais ça mener loin ce truc là
Tu me rappel un gars du village qui est père de deux minettes (12 ans et 14ans). Elles se maquillent comme des pandas et s'habillent très court. L'autrefois il les a emmené s'acheter des chaussures en faisant valoir son autorité de père, quand au fait qu'elles n'auront pas de chaussure à talons aiguilles.... Elles sont revenus avec des chaussures à talon aiguilles!!! Que peut un père face à ses deux petites. Le combat était perdu d'avance!
ce que tu vis avec ta grande caro,je penses que c'est normal,c'est arrivé a des filles d'amis,c'est plus pour se "déguiser" ça va lui passer, on peut pas parler d'hypersexualité,par contre quand ele aura 13-14 ans,attention!!
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Dernière édition par cry baby le Sam 27 Juil - 16:57, édité 1 fois
ce que tu vis avec ta grande caro,je penses que c'est normal,c'est arrivé a des filles d'amis,c'est plus pour se "déguiser" ça va lui passer, on peut parler d'hypersexualité,par contre quand ele aura 13-14 ans,attention!!
heu moi si ... une jupe courte ou mini-jupe qui s’arrête sous les fesses des fillettes , je trouve cela déplacée. Moi j'ai 2 nenettes très coquette a la maison, surtout ma grande , je fais attention a ce qu'elle porte ! mais c'est un avis perso
ce que tu vis avec ta grande caro,je penses que c'est normal,c'est arrivé a des filles d'amis,c'est plus pour se "déguiser" ça va lui passer, on peut parler d'hypersexualité,par contre quand ele aura 13-14 ans,attention!!
ah tu crois ... merci cry baby
bien sur ,elle veut jouer "a la grande" les filles qui ont sexuellement en avance,parle de garçons ,s'interroge sur "comment on fait l'amour"
ce que tu vis avec ta grande caro,je penses que c'est normal,c'est arrivé a des filles d'amis,c'est plus pour se "déguiser" ça va lui passer, on peut parler d'hypersexualité,par contre quand ele aura 13-14 ans,attention!!
ah tu crois ... merci cry baby
bien sur ,elle veut jouer "a la grande" les filles qui ont sexuellement en avance,parle de garçons ,s'interroge sur "comment on fait l'amour"
merci mon ami
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Sujet très intéressant ! le nombril à l’air, mini-débardeurs, string dépassant de leur jean taille basse, elles ont sept, neuf, douze ou quatorze ans!! des proies idéales des marchands de la mode, elles apprennent à séduire par la mise en valeur sexuelle de leur être et elles se transforment ou sont transformées en mini-femmes fatales et les parents sont dépassés ou complices !! le pire, c'est que les fillettes s’exposent et se forgent une idée de la sexualité et de l’amour centrée sur le sexe et la consommation... grave non ?? À moins que les les états du monde entiers s’organisent car c'est un phénomène mondial !
"Hypersexualisation" des fillettes : 40 ans de pub de plus en plus osées
Dans un rapport remis au gouvernement, Chantal Jouanno conseille d'endiguer le phénomène d'"hypersexualisation" des enfants, qui passe notamment par le marketing. Car à l'heure où l'on traque la pédophilie, certaines publicités mettant en scène des fillettes sont franchement dérangeantes.
Édité par Hélène Decommer Auteur parrainé par Aude Baron
Article initialement publié le 2 décembre 2011.
"Vogue" vous souhaite de bonnes fêtes, avec un modèle de 10 ans.
Cet article est particulièrement lié à un phénomène de société : la sexualisation infantile. A l'heure où la pédophilie est de plus en plus traquée, on peut se demander si, au sein même de notre quotidien, on ne retrouve pas des traces pédo-pornographie évidentes, notamment dans la publicité.
Il est intéressant de se demander jusqu'où la communication peut aller, pour vendre son produit par le biais de l'enfance. Au-delà de ses représentations traditionnelles - au sein d'un foyer, attendrissante, attachante - l'enfance peut être utilisée à tort comme un vecteur sexuel de communication à grands coups de lolitas en couche-culotte.
Certains considèrent qu'il s'agit d'une vision artistique de la femme, d'autres crient au scandale ; il est clair que ces campagnes et photos sont loin de laisser indifférents.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]1974 : "Parce que l'innocence est plus sexy que vous pouviez le penser"
40 ans de campagne de plus en plus osées
Dès les années 1970, on assiste à une mise en avant, encore assez timide, de la petite fille comme modèle sexualisé. Les années 1980 voient le début de la sexualisation de masse dans la publicité et sont propices à l'apparition d'une sexualisation brute de la femme dès les années 1990. De plus en plus exposées à une société qui met en avant le corps de leur aînées, les petites filles évoluent et sont, depuis les années 2000, davantage sexuées. Un constat que la publicité n'a pas manqué d'observer et donc d'utiliser.
En parallèle se développe une dénonciation bien plus grande de la pédophilie, qui est de moins en moins taboue. Exposée au grand jour, elle incarne le pire des vices et est combattue sous toutes ses formes. Malgré cette lutte, on assiste à quelques campagnes qui font un choix "créatif" en voulant mettre en avant la petite fille comme objet ultra-sexuée.
Des campagnes d'antan à l'été 2011, il n'y a qu'un pas. La dernière campagne Marc Jacobs utilise par exemple la jeune actrice Dakota Fenning (17 ans) pour une métaphore publicitaire douteuse sur la fleur du parfum "Oh Lola". Une campagne censurée car sexuellement provocante pour un mannequin mineur.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Dakota Fanning (17 ans) pour Marc Jacobs - Automne 2011
La marque Urban Outfitters a quant à elle fait appel à Heiley Clauson pour sa campagne et son tee-shirt. Nouveau scandale, jambes écartées à 15 ans, ses parents portent plainte.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Hailey Clauson, 15 ans, pour Urban Outfitters - Ses parents portent plainte
En 2006, la marque de crèmes glacées Breyers a dû faire face à un raz de marée de plaintes contre sa nouvelle campagne. Une campagne particulièrement remplie de sous-entendus douteux. Il a fallu quelques jours pour que l'on apprenne que cette publicité était en réalité une fausse. Un "fake" qui porte encore préjudice aujourd'hui à la marque.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]"Lickable" - 2006
"Vogue" et son "spécial enfant"
L'été 2011 fut pour Vogue la saison de tous les scandales. Pour son numéro spécial enfant, le magazine a fait un énorme photoshoot avec un modèle de... 10 ans, en la personne de Thylane Léna Rose Blondeau.
Ultra décriée, la petite fille de Véronika Loubry et Patrick Blondeau est une habituée du monde de la mode, puisqu'elle ne cesse de poser, poussée par ses parents qui voient en elle un mannequin avant l'heure. La petite fille ressemble ainsi à une représentation ultra sexualisée de la femme, où la mode semble avoir perdu la raison tant les clichés sont impressionnants par leur opposition entre un modèle très (trop) jeune et des tenues pour adultes.
Une démonstration de force qui nous montre que la société est de plus en plus encline à voir de telles représentations de l'enfance et de la femme, puisqu'une institution comme "Vogue" semble en être un porte-parole.
L'été 2011 marque aussi le lancement d'une marque bien particulière, "Jours après Lunes", spécialisée dans les sous-vêtements pour enfants. Jusque là rien de bien méchant, sauf que pour promouvoir ses produits, la marque fait poser des enfants d'une manière particulièrement osée, avec des postures plus ou moins significatives.
Les petites filles sont de véritables femmes et l'on ne peut que s'étonner de voir des campagnes de ce genre.
Outre la sexualisation, la question de l'âge des modèles
Alors que penser de l'ensemble de ces campagnes ? Tout d'abord qu'en effet, elles suivent toute une tendance de notre société : la sexualisation de plus en plus précoce des femmes. Mais qui de l’œuf ou la poule est arrivé le premier ? Cependant, entre choisir des modèles de 18 ans et des modèles de 10 ans il y a un monde. Évidemment, ces campagnes sont rares et cet article les souligne pour montrer jusqu'où il est possible d'aller, mais toutes sont parues et ne sont pas passées inaperçues.
Fort heureusement, les autorités arrivent à faire en sorte de bloquer ces campagnes, mais toutes sont aujourd'hui présentes sur Internet et vivent une seconde jeunesse.
L'âge des modèles est important mais pas toujours décrié, pour la simple et bonne raison qu'il est possible de faire de très bonnes campagnes sans forcément tomber dans le graveleux, ni le lier à une sexualisation de l'enfance.
On peut citer la campagne de Marc Jacobs avec Elle Fanning (soeur de Dakota Fenning), 13 ans, ou la dernière campagne Miu Miu avec Hailee Steinfeld, 14 ans. Des publicités qui posent tout de même la question de l'âge des mannequins : seront-ils de plus en plus jeunes et quelles limites imposer ?
moa qui suis un pur produit d'avant guère, pas prude du tout, plutôt à la page, je suis quans même étonné quand je vois la sortie du collège près de chez moi... C'est à celle qui rivalise le mieux pour ressembler à la vamp dernier cri... elles sont souvent filiformes, mais se tortille le croupion comme si c'était beau à voir... ... et en plus je t’aguiche les mecs...
...................................[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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papacoz
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Un grand merci pour ta fidélité et pour ta gentillesse
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Que les gosses aient envie de faire comme les adultes c'est normal. La récupération et le matraquage commercial l'est moins. C'est à la limite du manque de respect pour les enfants de la part des industriels. L'enfant n'est plus qu'un consommateur potentiel et les photos que nous montre Caro sont écœurantes. Il n'y a pas besoin de loi ou de décret pour interdire cet dérive commercial. C'est une question de prise de conscience des médias en s'interdisant de diffuser de tel photo publicitaire. Le monde de l'industrie nous montre, une fois de plus, qu'il n'a aucune vergogne et moralité. Seul compte le profit.
Que les gosses aient envie de faire comme les adultes c'est normal. La récupération et le matraquage commercial l'est moins. C'est à la limite du manque de respect pour les enfants de la part des industriels. L'enfant n'est plus qu'un consommateur potentiel et les photos que nous montre Caro sont écœurantes. Il n'y a pas besoin de loi ou de décret pour interdire cet dérive commercial. C'est une question de prise de conscience des médias en s'interdisant de diffuser de tel photo publicitaire. Le monde de l'industrie nous montre, une fois de plus, qu'il n'a aucune vergogne et moralité. Seul compte le profit.
+1111 entièrement d'accord avec toi
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cry baby
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