Avec eux, toutes les petites contrariétés du quotidien deviennent un prétexte pour se plaindre, se lamenter. Les « Calimeros », appelés ainsi en référence au petit poussin ronchon avec sa coquille sur la tête, ont une fâcheuse tendance à nous agacer. Pourtant, derrière leurs jérémiades, se cache bien souvent une vraie souffrance. Eclairage avec Saverio Tomasella, psychanalyste et auteur de l’ouvrage Le Syndrome de Calimero (Albin Michel).
plutôt optimiste de nature, ce n'est pas ce genre de personne qui deviendrait mon ami(e). Rire et sourire prolonge la santé, se plaindre, grogner donne l'effet contraire... alors autant faire le bon choix.
Si ces gens sont effectivement en souffrance psychologique, pourquoi ne pas se faire soigner pour leur bien et celui de leurs proches ?
Le membre suivant remercie pour ce message :
Lilly89
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
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Les Calimero ont parfois tendance à m'agacer... Ces gens qui ont toujours un "pet de travers" veulent souvent être absolument écoutés... Mais de l'écoute, eux ils n'en ont guère à revendre... Donc je les écoute quand j'ai envie, d'une oreille ou deux.... Selon mon humeur...