« Pourquoi grand-maman a des chemins sur son visage ? » Cette question est de Guillaume.
Je ne sais pas quelle fût la réponse de ses parents, mais la question de Guillaume, elle, est une trouvaille. Une trouvaille d'enfant qui fait réfléchir les adultes que nous sommes.
Là où nous ne voyons que des rides, symboles d'usure, marques du temps qui ne pardonne pas...Guillaume, avec son coeur d'enfant de quatre ans, découvre des chemins,
chemins de joies et de peines qui ont laissé leurs traces, chemins qui disent une histoire, chemins riches d'une vie donnée.
Oui, maman ou grand-maman Oui, papa ou grand-papa, ne sois pas gêné(e) de ces chemins sur ton visage,
ils nous disent que tu as aimé, que tu as su donner et accueillir la joie, que tu as ri de bon coeur.
Ils nous disent aussi tes heures d'efforts et de travail, tes heures d'inquiétudes et de veilles. Ils nous disent que tu as vécu.
Ces chemins sur ton visage, maman, grand-maman, papa, grand-papa, ils sont la beauté de ton âge ! Ce sont les chemins de la vie.
Merci d'avoir vécu, aimé et donné. Merci à l’auteur que je ne connais pas.
Un homme arrive chez lui un soir, fatigué après une dure journée de travail, pour trouver son petit garçon de 5 ans assis sur les marches du perron.
* Papa, est-ce que je peux te poser une question? * Bien sûr! * Combien gagnes-tu de l'heure? * Mais ça ne te regarde pas fiston! * Je veux juste savoir. Je t'en prie, dis-le moi! * Bon, si tu veux absolument savoir. $35.00 de l'heure.
Le petit garçon s'en retourne dans la maison avec un air triste. Il revient vers son père et lui demande :
* Papa, pourrais-tu me prêter $10.00? * Bon, c'est pour ça que tu voulais savoir. Pour m'emprunter de l'argent! * Va dans ta chambre et couche-toi. J'ai eu une journée éprouvante, je suis fatigué et je n'ai pas le goût de me faire achaler avec des niaiseries semblables.
Une heure plus tard, le père qui avait eu le temps de décompresser un peu se demande s'il n'avait pas réagi trop fort à la demande de son fils. Peut-être bien qu'il voulait s'acheter quelque chose d'important… Il décide donc d'aller dans la chambre du petit.
* Dors-tu fiston? * Non, papa! * Écoute, j'ai réfléchi et voici le $10.00 que tu m'as demandé. * Oh merci papa!
Le petit gars fouille sous son oreiller et en sort $25.00. Le père, en voyant l'argent, devient encore irrité.
* Mais pourquoi voulais-tu $10.00 ? Tu en as $25.00! Qu'est-ce que tu veux faire avec cet argent? * C'est que... il m'en manquait. Mais maintenant, j'en ai juste assez. * Papa…est-ce que je pourrais t'acheter une heure de ton temps ? Demain soir, arrive à la maison plus tôt, j'aimerais dîner avec toi!!!
Prenez toujours le temps de vous rapprocher de ceux que vous aimez !
Il était une fois une course... de grenouilles L'objectif était d'arriver en haut d'une grande tour. Beaucoup de gens se rassemblèrent pour les voir et les soutenir.
La course commença. En fait, les gens ne croyaient pas possible que les grenouilles atteignent la cime, et toutes les phrases que l'on entendit furent de ce genre : "Quelle peine !!! Elles n'y arriveront jamais !" Les grenouilles commencèrent à se résigner, sauf une qui continua de grimper
Et les gens continuaient : "Quelle peine !! Elles n'y arriveront jamais !" Et les grenouilles s'avouèrent vaincues, sauf toujours la même grenouille qui continuait à insister. A la fin, toutes se désistèrent, sauf cette grenouille qui, seule et avec un énorme effort, rejoignit le haut de la cime.
Les autres voulurent savoir comment elle avait fait. L'une d'entre elles s'approcha pour lui demander comment elle avait fait pour terminer l'épreuve... et découvrit qu'elle... était sourde !!
... N'écoute pas les personnes qui ont la mauvaise habitude d'être négatives car elles volent les meilleurs espoirs de ton coeur !
... Rappelle-toi pour toujours du pouvoir qu'ont les mots que tu entends ou que tu lis !
C'est pourquoi... ... sois TOUJOURS POSITIF !
En résumé : Sois toujours sourd quand quelqu'un te dit que tu ne peux réaliser tes rêves.
Quelques années avant ma naissance, mon père connut une étrangère récemment arrivée dans notre village. Depuis le début, mon père fut subjugué par cette personne, si bien que nous en arrivâmes à l'inviter à demeurer chez nous. L'étrangère accepta et depuis lors elle fit partie de la famille. Moi je grandissais, je n'ai jamais demandé d'où elle venait, tout me paraissait évident. Mes parents étaient enseignants : ma maman m'apprit ce qu'était le bien et ce qu'était le mal et mon père m'apprit l'obéissance. Mais l'étrangère c'était une conteuse, une enjôleuse. Elle nous maintenait, pendant des heures, fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes. Elle avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l'histoire ou les sciences. Elle connaissait tout du passé, du présent, elle aurait presque pu parler du futur ! Elle fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois. Elle me faisait rire et elle me faisait pleurer. L'étrangère n'arrêtait jamais de parler, ça ne dérangeait pas ma Maman. Parfois maman se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire ses paroles. Je pense qu'en réalité, elle était partie à la cuisine pour avoir un peu de tranquillité. (Maintenant je me demande si elle n'espérait pas avec impatience qu'elle s'en aille.) Mon père avait ses convictions morales, mais l'étrangère ne semblait pas en être concernée. Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, ne s'en seraient permis. Ce n'était pas le cas de l'étrangère qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman. Mon père nous avait totalement interdit l'alcool. Elle, l'étrangère, nous incitait à en boire souvent. Elle nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distingué. Elle parlait librement (peut-être trop) du sexe. Ses commentaires étaient évidents, suggestifs, et souvent dévergondés. Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cette étrangère pendant mon adolescence. Nous la critiquions, elle ne faisait aucun cas de la valeur de mes parents, et malgré cela, elle était toujours là ! Cinquante ans sont passés depuis notre départ du foyer paternel. Et depuis lors beaucoup de choses ont changé : nous n'avons plus cette fascination. Il n'empêche que, si vous pouviez pénétrer chez mes parents, vous la retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu'un vienne écouter ses parlotes ou lui consacrer son temps libre… Voulez-vous connaître son nom ? Nous, nous l'appelons… Télévision ! Il faudrait que cette belle histoire soit lue par tout le monde.
Attention : Maintenant, elle a un époux qui s'appelle Ordinateur… …un fils qui s'appelle Portable… …et un neveu pire que tous : Lui c'est Smartphone !
Chaque semaine compte deux jours pour lesquels nous ne devrions pas nous faire de souci, deux jours où il ne nous faudrait connaître ni crainte, ni appréhension. Le premier jour, c'est hier, qui porte le fardeau de ses soucis, de ses erreurs, de ses fautes, de ses bévues, de ses souffrances et de ses chagrins. Hier nous a échappé à tout jamais. Tout l'or du monde ne pourrait le faire renaître. Nous ne pouvons défaire les actes accomplis, les paroles prononcées. Hier est un jour révolu.
L'autre jour qu'il convient de mettre à l'abri des soucis, c'est demain, plein de grandes promesses, de piètres résultats, de malheurs possibles et de fardeaux. Demain échappe à notre emprise. Le soleil se lèvera inexorablement dans la splendeur ou derrière un voile de nuages. Jusqu'à son lever, nous ne pouvons miser sur rien, puisque demain n'a pas vu le jour.
Il ne nous reste donc qu'aujourd'hui. Tous nous pouvons livrer bataille pendant une petite journée. Nous ne faiblissons et ne chavirons que si le poids d'hier et de demain - ces deux terribles éternités - s'ajoutent aux inquiétudes d'aujourd'hui.
Ce ne sont pas les expériences d'aujourd'hui qui nous désespèrent, c'est l'amertume du remords de la veille et la crainte de demain.
Le gérant d'une boutique clouait une pancarte au-dessus de sa porte, sur laquelle on pouvait lire : "Chiots à vendre".
Comme les affiches ont la faculté d'attirer les enfants, bientôt un petit garçon fut séduit par l'annonce et demanda : « À quel prix vendez-vous ces chiots ? » Le propriétaire du magasin répondit : « Autour de trente - cinquante dollars »
Le petit garçon chercha dans sa poche et sortit de la monnaie. «J'ai 2.37$. Est-ce que je peux les regarder ?»
Le propriétaire du magasin sourit et siffla. Sa chienne nommée Lady, courut hors du chenil vers l'allée de sa boutique, suivie par cinq petits chiots. Mais un des chiots restait loin derrière.
Immédiatement, le petit garçon sélectionna le chiot boiteux resté à l'arrière. Il demanda : « De quoi souffre ce petit chien, monsieur ? » L'homme expliqua qu'à sa naissance, le vétérinaire lui avait annoncé que le chiot avait une malformation de la hanche, le laissant boiter pour le restant de sa vie.
Le petit garçon devint vraiment enthousiasmé et dit : « C'est le chiot que je veux acheter ! »
L'homme répondit : « Mais non! Tu ne peux pas acheter ce petit chien voyons! Si tu le veux vraiment, je te le donne! »
Le petit garçon vint bouleversé. Il regarda l'homme droit dans les yeux et dit : « Je ne veux pas que vous me le donniez. Il vaut tout autant que les autres chiens et je vous paierai le plein prix. En fait, je vous donnerai 2.37$ aujourd'hui et 50 cents chaque mois, jusqu'à ce que j'ai fini de le payer. »
L'homme répondit : « Tu ne veux pas acheter ce chiot pour vrai? Il ne sera jamais capable de courir, de sauter et de jouer. Tu devrais aimer d'autres chiots! »
Alors le petit garçon se pencha vers le bas, il roula la manche de son pantalon et montra une jambe malade, tordue, estropiée, supportée par une grande tige de métal.
Il regarda l'homme et dit : « Bien, je ne cours pas si bien et le petit chiot aura besoin de quelqu'un qui le comprenne. »
L'homme mordit sa lèvre inférieure... des larmes lui piquaient les yeux. Il sourit au garçon et lui dit : « Mon garçon, j'espère et prie que chacun de ces chiots trouvera un propriétaire tel que toi. »
Dans la vie, peut importe qui vous êtes, en autant que quelqu'un vous apprécie pour ce que vous êtes, vous accepte et vous aime inconditionnellement.
Un vieil homme était sur le point de mourir. Avant de quitter notre monde pour l’au-delà, il a décidé de donner une dernière leçon aux membres de sa famille qui étaient réunis à son chevet. Il leur a dit ceci :
« Quand j’était jeune et libre, et doté d’une imagination sans limites, je rêvais de changer le monde. Devenu plus sage avec les années, j’ai compris que le monde ne changerait pas, alors j’ai réduit quelque peu mes visées et j’ai décidé de transformer seulement mon pays.
« Mais lui aussi semble immuable.
« En Approchant de la vieillesse, dans une suprême et désespérée tentative, j’ai décidé de ne penser qu’à changer ma famille, ceux dont j’étais le plus proche. Hélas ! vous n’avez rien voulu entendre, vous non plus !
« Et maintenant, étendu sur mon lit de mort, je comprends soudain : « Si seulement je m’étais changé moi-même, alors à mon exemple, vous auriez également changé. Et, grâce à vos actions, vous auriez inspiré d’autres personnes à trouver la force et le courage d’améliorer notre pays et, qui sait ? peut-être même de changer le monde ! »
« N’essayez pas de changer le monde, commencez par vous même. Beaucoup de gens essaient de changer les gens qui sont dans leur entourage. Il s’agit en fait d’une tâche quasi impossible. Si seulement ces personnes essayaient de se transformer elles=mêmes, elle comprendraient à quel point cette transformation est difficile. Le premier changement doit toujours venir de soi, et à notre exemple, les autres changeront également.
Si vous voulez que votre vie soit une magnifique histoire, réalisez que vous en êtes l’auteur et que vous avez l’opportunité chaque jour d’en écrire une nouvelle page.
« Avant d’essayer de vouloir conquérir le monde, commencez donc par faire conquête de vous-même. »
Il y a des moments dans la vie où la présence de l'autre nous manque tellement qu'on espère sans cesse sa présence Rêve à ce qui te fait plaisir va où tu veux aller sois où tu aimerais être parce que tu as seulement une vie pour faire ce que tu veux
Que sur ton chemin tu trouves... suffisamment de bonheur pour rester douce suffisamment d'épreuves pour devenir force suffisamment de peine pour rester humaine suffisamment d'espoir pour être heureuse
Les personnes plus heureuses n'ont pas nécessairement le meilleur de tout ; simplement, elles exploitent au maximum tout ce qui se trouve sur leur route
Le bonheur attend... ceux qui pleurent, ceux qui souffrent, ceux qui cherchent, ceux qui se dévouent, ceux qui s'aiment... parce que seules ces personnes peuvent apprécier l'importance de ces choses qui laissent des traces dans la vie
Oublie le passé, abandonne derrière toi tes erreurs et tes peines, l'amour naît avec un sourire et grandit avec un baiser
1. Décide d’être heureux. Apprends à trouver du plaisir dans les choses simples. 2. Tire le meilleur parti possible de tes situations. Nul ne possède tout et tout le monde a une certaine tristesse mêlée aux plaisirs de la vie. Le secret consiste à rire plus qu’on ne pleure. 3. Sois indulgent avec toi-même. Ne te prends pas trop au sérieux. Et ne crois pas que tu dois être protégé des malheurs qui frappent les autres. 4. Ne te soucie pas des critiques. Tu ne peux plaire à tout le monde. 5. Fixe tes propres normes et tes propres buts. Sois toi-même et explore tes propres limites. 6. Fais ce que tu aimes faire, mais sans t’endetter. 7. Ne cherche pas les ennuis. Les fardeaux imaginaires sont plus lourds à porter que les vrais. 8. Débarasse-toi de tes rancoeurs. La haine, l’envie et la colère te rongeront de l’intérieur. 9. Multiplie tes intérêts. Si tu ne peux voyager, parcours le monde par tes lectures. 10. Ne te laisse pas terrasser par les regrets. Surmonte tes tristesses et tes erreurs et ne conserve que les leçons utiles qu’elles t’ont apprises. 11. Fais ce que tu peux pour les gens moins fortunés que toi. 12. Tiens-toi occupé. Quiconque est très occupé n’a pas le temps d’être malheureux.
Deux amis étaient perdus dans un désert aride, sous un soleil brûlant, en n’ayant qu’une très faible quantité d’eau. Au bout d’un moment, la chaleur est telle, qu’ils en viennent à se disputer les dernières gouttes. L'un des deux donna une gifle à l'autre. Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable: « Aujourd’hui, mon ami m’a frappé»
Etonné, son ami ne rétorqua pourtant rien; il s’excusa, et tous deux continuèrent leur chemin.
Le lendemain, ils arrivèrent à une oasis. Aussitôt arrivé, Ils allèrent se baigner dans un point d’eau. Mais, celui qui avait écrit sur le sable, perdit connaissance et se noya. Son ami plongea alors, et le ramena sur la terre ferme.
Après avoir repris son souffle, celui-ci prit une pierre et y grava ces mots: «Aujourd’hui, mon ami m’a sauvé la vie»
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda : « Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu as écrit sur la pierre.“
Il lui répondit alors: « Quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais, quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer »
Apprends à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierre.
Le gérant d'une boutique clouait une pancarte au-dessus de sa porte, sur laquelle on pouvait lire : "Chiots à vendre".
Comme les affiches ont la faculté d'attirer les enfants, bientôt un petit garçon fut séduit par l'annonce et demanda : « À quel prix vendez-vous ces chiots ? » Le propriétaire du magasin répondit : « Autour de trente - cinquante dollars »
Le petit garçon chercha dans sa poche et sortit de la monnaie. «J'ai 2.37$. Est-ce que je peux les regarder ?»
Le propriétaire du magasin sourit et siffla. Sa chienne nommée Lady, courut hors du chenil vers l'allée de sa boutique, suivie par cinq petits chiots. Mais un des chiots restait loin derrière.
Immédiatement, le petit garçon sélectionna le chiot boiteux resté à l'arrière. Il demanda : « De quoi souffre ce petit chien, monsieur ? » L'homme expliqua qu'à sa naissance, le vétérinaire lui avait annoncé que le chiot avait une malformation de la hanche, le laissant boiter pour le restant de sa vie.
Le petit garçon devint vraiment enthousiasmé et dit : « C'est le chiot que je veux acheter ! »
L'homme répondit : « Mais non! Tu ne peux pas acheter ce petit chien voyons! Si tu le veux vraiment, je te le donne! »
Le petit garçon vint bouleversé. Il regarda l'homme droit dans les yeux et dit : « Je ne veux pas que vous me le donniez. Il vaut tout autant que les autres chiens et je vous paierai le plein prix. En fait, je vous donnerai 2.37$ aujourd'hui et 50 cents chaque mois, jusqu'à ce que j'ai fini de le payer. »
L'homme répondit : « Tu ne veux pas acheter ce chiot pour vrai? Il ne sera jamais capable de courir, de sauter et de jouer. Tu devrais aimer d'autres chiots! »
Alors le petit garçon se pencha vers le bas, il roula la manche de son pantalon et montra une jambe malade, tordue, estropiée, supportée par une grande tige de métal.
Il regarda l'homme et dit : « Bien, je ne cours pas si bien et le petit chiot aura besoin de quelqu'un qui le comprenne. »
L'homme mordit sa lèvre inférieure... des larmes lui piquaient les yeux. Il sourit au garçon et lui dit : « Mon garçon, j'espère et prie que chacun de ces chiots trouvera un propriétaire tel que toi. »
Dans la vie, peut importe qui vous êtes, en autant que quelqu'un vous apprécie pour ce que vous êtes, vous accepte et vous aime inconditionnellement.
2 personnes s'embrassent derrière un écran, ce que vous allez découvrir est stupéfiant.
"Love has no labels" - Les créateurs de cette vidéo voulaient communiquer la vraie essence de l'amour et on peut dire qu'ils y sont parvenus. Pour éliminer tout type de préjugés, ils ont voulu montrer à la foule des couples qui s'embrassent ou dansent derrière une énorme "radiographie", au delà de toutes les différences culturelles, de l'âge ou sexuelles.
Ne vous laissez jamais atteindre par les jugements des autres. Votre valeur est bien plus grande que vous ne l'imaginez !
Une jeune femme, Bernadette, a une promotion dans son travail. Les commentaires commencent et vont bon train. "Elle a eu le poste parce qu'elle est mignonne. Elle a dû taper dans l'oeil de la hiérarchie." " Avec le peu d'expérience qu'elle a, elle ne mérite vraiment pas ce poste." "Savez-vous qu’un jour, elle s'est trompée..." etc.
Bernadette rend visite à son père antiquaire pendant le week-end. Elle lui raconte sa promotion, son stress, les moqueries des autres, et tous ses doutes après toutes ces attaques sournoises.
"Mais pourquoi te laisses-tu atteindre par ces collègues ?" demande le père "Ils connaissent bien le travail, ont plus d'ancienneté que moi..." "Ecoute ma chérie, j'ai un service à te demander, et qui va te changer un peu les idées. Pourrais-tu aller au marché demain matin vendre cette théière en faïence ? Je viens de la récupérer dans une vente et j'aimerais m'en débarrasser. Mets-la en vente à 90 euros minimum s'il te plaît." "90 euros, ce n'est pas excessif, comme prix ?" "Ecoute, compte tenu du prix que je l'ai payée, il me faut cela. Ca te fera un petit exercice de vente." Le lendemain Bernadette passe sa matinée à essayer de vendre la théière, mais rien à faire. Quelques personnes s'y intéressent, mais aucune ne se décide pour l’achat.
Elle raconte cela à son père, qui lui dit : "Maintenant prend cette théière et visite 5 de mes confrères de la rue Notre-Dame, mais cette fois-ci, demande leur seulement ce qu'ils seraient prêts à payer, mais tu ne vends pas la théière. Aussitôt dit aussitôt fait. Le premier antiquaire lui propose 400 euros, d'autres plus et l'un va même jusqu'à 1000 euros !!!
Bernadette n'en revient pas. Elle raconte cela à son père qui lui demande : "Pourquoi n'arrivais-tu pas à la vendre 90 euros ce matin ?" "Parce que je me suis adressé à une clientèle de gens qui ne connaissaient pas le "Staffordshire", et ignoraient sa vraie valeur" "Et selon toi, pourquoi mes confrères antiquaires t'ont proposé autant pour la théière ?" "Parce qu'ils sont des professionnels. Ils ont vu tout de suite que ce pot date de 1760 et qu’il a une grande valeur." "Bien maintenant pense à tes collègues. Pourquoi leur confies-tu le droit de juger ta propre valeur ? Sont-ils des experts ?" "Non"
"Vois-tu ma chérie, ne te laisse jamais atteindre par les jugements de ceux qui ne sont pas des experts. Ecoute seulement les jugements des professionnels ou des experts en nature humaine. Et tu verras que ta valeur est bien plus grande que tu ne l'imagines."
J’ai appris avec le temps que peu importe ce qui peut arriver aujourd’hui, la vie continue et les choses iront mieux demain.
J’ai appris qu’on peut en dire long sur une personne juste de la façon dont elle réagit devant trois situations : un jour de pluie, un sac de voyage perdu et des lumières de Noël toutes mêlées.
J’ai appris que peu importe la relation que tu as avec tes parents, tu t’ennuieras d’eux le jour où ils ne feront plus partie de ta vie.
J’ai appris la différence entre « réussir dans la vie » et « réussir sa vie ».
J’ai appris que parfois, la vie te donne une deuxième chance.
J’ai compris que tu ne peux pas toujours avancer dans la vie avec un gant de baseball dans chaque main pour essayer de tout attraper. Tu dois pouvoir lancer la balle à ton tour de temps à autre.
J’ai appris que lorsque je décide avec mon coeur, c’est généralement une bonne décision.
J’ai appris que lorsque je souffre, je n’ai pas à le faire payer aux autres.
J’ai appris que chaque jour, il faut tendre la main à quelqu’un.
Les gens aiment bien qu’on les serre dans nos bras, ou même qu’on leur donne juste une petite tape sur l’épaule.
J’ai appris que les gens finissent par oublier ce qu’on leur a dit, mais jamais ce qu’on leur a fait.
Je veux t'aimer sans m'agripper, t'apprécier sans te juger, te rejoindre sans t'envahir, t'inviter sans insistance, te laisser sans culpabilité, te critiquer sans te blâmer, t'aider sans te diminuer. Si tu veux bien m'accorder la même chose, alors nous pourrons vraiment nous rencontrer et nous enrichir l'un l'autre.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] pour ces jolis mots. La vidéo sur "la différence" est originale, mais suis mal à l'aise avec les squelettes ... dommage !
Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir. Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine . Je continuerai à construire, même si les autres détruisent. Je continuerai à parler de paix, même au milieu d'une guerre. Je continuerai à illuminer, même au milieu de l'obscurité. Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte. Et je continuerai à crier, même si les autres se taisent. Et je dessinerai des sourires sur des visages en larmes . Et j'apporterai le soulagement, quand on verra la douleur. Et j'offrirai des motifs de joie là où il n'y a que tristesse . J'inviterai à marcher celui qui a décidé de s'arrêter.. Et je tendrai les bras à ceux qui se sentent épuisés.
Car au milieu de la désolation, il y aura toujours un enfant qui nous regardera, plein d'espoir, attendant quelque chose de notre part et même si nous sommes au mileu de la tourmente, le soleil surgira toujours de quelque part et au milieu du désert poussera une plante. Il y aura toujours un oiseau qui chantera pour nous, un enfant qui nous sourira et un papillon qui nous fera cadeau de sa beauté. Mais... si un jour tu vois que je ne marche pas, que je ne souris pas ou que je me tais, alors approche-toi seulement de moi et donne-moi un baiser, tiens-moi dans tes bras ou offre-moi un sourire, Ce sera suffisant, car j'aurai sûrement oublié que la vie m'a accablé et m'a surpris pendant un moment. Seulement un geste de ta part me fera retourner à mon chemin Ne l'oublie jamais.....
L'avez-vous déjà remarqué, nous sommes toujours en attente du résultat d'un acte, d'un événement, projetés vers l'avenir, les yeux rivés sur l'aboutissement, sur l'arrivée, en attente d'autre chose, de quelqu'un d'autre, de mieux, d'ailleurs...J'escalade la montagne en ne songeant qu'à ce que je verrai du sommet.
Je me dépêche de lire le livre pour en savoir plus, pour connaître la suite, toujours la suite, toujours plus avant. Je pose la question : "Comment est-ce que ça se termine ?"
J'attends le train, je ne vis pas. Je suis tendue vers l'arrivée du train, le cou tendu vers le tournant où il va apparaître. "Il arrive ? Il arrive ?" Et bien sûr, une fois dans le train, je n'ai qu'une hâte : arriver !
Au travail, j'attends la pause, la fin de la journée, le week-end, les vacances, la retraite... "Quand j'aurai rencontré l'âme-soeur...", "Quand les enfants seront grands", "Ah, si j'étais libre", "Quand j'aurai de l'argent", "Quand j'aurai déménagé", "Quand j'habiterai à la campagne", "Quand j'aurai le temps...", ou alors, c'est "Ah, si j'avais su...", "Avant c'était mieux !", "Ah, quand il/elle était là !".
Et finalement, je ne vis pas et les années passent. Le compte à rebours a commencé et je ne savoure toujours pas la vie précieuse qui m'est offerte à chaque seconde, la douceur de l'air dans mes poumons, sur mon visage, les yeux de l'inconnu(e) qui me croise, la colline si vivante devant moi, la danse des nuages, un après-midi de repos, la chaleur de ma couverture, un toit sur ma tête, les clins d'oeil du soleil...
Hier en faisant le ménage, j'ai pris conscience pour la première fois que j'aimais faire le ménage ! Et chaque acte est devenu un véritable plaisir : laver les vitres, jeter de vieux journaux, de vieux livres, faire le vide... Chaque geste de notre vie est/peut/va devenir bonheur, chaque instant, chaque seconde (ou presque !), ne serait-ce que respirer...