Projet de loi immigration : le gouvernement veut créer un titre de séjour "métiers en tension"

10/11/2010

Rappel du premier message :

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La mesure doit faire partie du projet de loi immigration, prévu pour le premier semestre 2023.

Article rédigé par franceinfo avec AFP

Dans le cadre de ce projet de loi, prévu au premier semestre 2023, le gouvernement veut faciliter l'insertion professionnelle des travailleurs immigrés, précise Olivier Dussopt dans le même entretien. Il veut par exemple mettre fin, sous conditions, au délai de carence qui empêche les demandeurs d'asile de travailler pendant leurs six premiers mois en France.

Ce projet de loi, qui doit être précédé d'un débat parlementaire, va introduire une série de mesures pour rendre les obligations de quitter le territoire français (OQTF) plus efficaces, un sujet qui occupe le débat public depuis le meurtre d'une jeune fille de 12 ans, Lola, tuée mi-octobre par une ressortissante algérienne sous le coup d'une OQTF. Le gouvernement souhaite également inscrire les étrangers concernés par une OQTF au fichier des personnes recherchées.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : Pourquoi un métier est en tension ? Ce n'est plus attractif pour une population… Certains métiers sont tenus par des sans papiers sans le silence le plus absolu et surtout dans la précarité ! et si je comprends bien le Droit d'asile à la carte du bon vouloir des employeurs... trop grave !!

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11/06/2012

c'est comme çà depuis toujours

même les femmes djihadiste touchent les allocation familiale pour leurs enfants

[mod]Merci de s'adresser aux autres membres avec respect, politesse et sans interpellation méprisante ou rabaissante, selon la charte :

3.2- Les débats doivent porter sur les idées et non pas sur les personnes. Tout message diffamant, injurieux, dégradant, rabaissant, présentant un jugement négatif, une critique ou pouvant porter préjudice à une personne, un groupe de personnes ou une entité est interdit.
[/mod]

fred9545 et j'écoute ont donné un avis positif

Invité

Par contre, pour en revenir au sujet initial, il me semble qu'il est question des étrangers qui sont déjà là et qui travaillent déjà dans les métiers en tension. Est-ce qu'il est vraiment question d'en faire venir d'autres ?

11/06/2012

Majorelle a écrit:: Par contre, pour en revenir au sujet initial, il me semble qu'il est question des étrangers qui sont déjà là et qui travaillent déjà dans les métiers en tension. Est-ce qu'il est vraiment question d'en faire venir d'autres ?

ces gens là ont ils les même salaires, avantages, horaire que les européens ?

çà m'étonerai beaucoup

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09/04/2016

Majorelle a écrit:: Par contre, pour en revenir au sujet initial, il me semble qu'il est question des étrangers qui sont déjà là et qui travaillent déjà dans les métiers en tension. Est-ce qu'il est vraiment question d'en faire venir d'autres ?

Ceux-là doivent déjà avoir un titre de séjour...
Il est bien dit que le gouv...t veut ...CREER...

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Quand la bêtise gouverne, l'intelligence est un délit....
Henry de Montherlant

Invité

Un peu plus de détail dans Le Monde :

Citation :: le ministre du travail, Olivier Dussopt, et celui de l’intérieur, Gérald Darmanin, annoncent vouloir, dans un souci d’« équilibre », créer un titre de séjour « métiers en tension » pour les travailleurs sans papiers déjà sur le territoire, à côté de mesures visant à améliorer les reconduites à la frontière.

Et sur 20 minutes :

Citation :: Ce n’est pas un plan de régularisation massive ».
Pour les « personnes qui sont sur notre territoire depuis longtemps, qui travaillent mais qui sont en situation irrégulière et qui occupent des postes aujourd’hui dans des secteurs qu’on appelle les métiers en tension », ce « que nous proposons, c’est de mettre fin à une forme d’hypocrisie et au cas par cas de permettre à ces hommes et à ces femmes (…) de demander leur régularisation et d’obtenir un titre de séjour dans ce cadre », a-t-il expliqué. « Ce que nous proposons, c’est une régularisation au cas par cas. Il n’y a rien de massif à tout cela », a-t-il insisté.