Dès le début des années 1990, des réseaux islamistes classiques commencent leurs implantations dans toute l'Europe de l'Ouest. En général, affiliés à Al-Qaida et souvent dirigés par des mollahs djihadistes, ils se donnent comme mission de préparer le terrain afin d'exporter la guerre sainte dans les capitales européennes.WikipediA
500 à 600 djihadistes français passés en Syrie : «Des bombes à retardement potentielles»
La guerre civile syrienne attire un nombre important de jeunes Français fascinés par le Jihad. Plusieurs centaines de Français sont partis se battre en Syrie. Souvent, leur profil est le même : jeunes, de 18 à 25 ans, plutôt désoeuvrés, originaires des banlieues des grandes villes du nord et de l’est de la France ou bien de la région toulousaine. Le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, évoque le chiffre de 200 départs, mais un haut responsable du renseignement estime qu’il y aurait en réalité 500 à 600 djihadistes français passés par la Syrie.
Citation :
Ces jeunes sans casier judiciaire ni appartenance claire à un réseau extrémiste sont difficiles à identifier. Ils seraient, pour près d’un quart, de nouveaux endoctrinés, récemment convertis à l’islam. Les autres sont souvent binationaux ou d’origine nord-africaine.
A la DCRI, on considère en avoir identifié 382. La propagande est bien faite : vidéos, sites Internet, etc. Ce qui explique la croissance arithmétique des départs depuis un an, même en l’absence de tout réseau structuré. Ils rejoignent le groupe islamiste Djabhat Al-Nosra ou la faction locale d’Al-Qaïda, l’EIIL (Etat islamique en Irak et au Levant). Un groupe d’au moins dix jeunes ont quitté la région de Strasbourg en décembre, indiquant à leurs parents qu’ils partaient en vacances.
En octobre, un jeune Strasbourgeois se faisant appeler Abou Al-Qaaqaa trouvait la mort près d’Alep, dans un attentat-suicide. […] Pour ceux qui franchissent le pas, la Syrie s’avère souvent une terre de désillusion. «Les recrues européennes, et donc françaises, sont utilisées comme chair à canon», expliquent deux officiels du renseignement. On s’en sert comme kamikazes. Au moins 17 Français ou binationaux sont déjà morts en Syrie, et près de 80 sont revenus en Europe depuis le début de l’insurrection, en 2011. «Le problème n’est pas tant qu’ils partent, c’est quand ils reviennent, explique un haut responsable. Ils sont formés idéologiquement et capables de passer à l’action où et quand ils veulent. Des bombes à retardement potentielles.» Paris Match
Jihadistes français : la montée du phénomène vous inquiète-t-elle ?
C'est malheureux, mais ils sont majeurs, on y peut rien. On peut seulement tenter de chopper ceux qui leur lave le cerveaux, mais comme tous ce fait par internet..... Le coté positif c'est que ça nous fait des chômeurs en moins (je sais, c'est de très mauvais gout ).
si, ils n 'arrivent pas a trouver leurs équilibre en France, qu'ils partent ( pour ne pas dire quelque chose de beaucoup plus méchant) , personne ne les regrettera ...
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oui mais ce qui est dangereux c'est qu'au moindre orde ils sont pres a tout faire saute,car ils ont pratiquement subit un lavage de cerveau donc ils sont incontrolable par les services français ,mais au moindre ordre venant de l'islam il devienne des bombes vivantes
tout à fait titus !! j'ai lu qu'un journaliste polonais enlevé en Syrie par ces fous de dieu a déclaré que ses geôliers parlaient le français et ne connaissaient même pas l’arabe !! waouhhh !!!
Ses fils morts en Syrie, il va lancer une association contre l'embrigadement des jeunes Français
Gérard Bons a perdu ses deux fils en moins de 6 mois. Convertis à l'islam, Jean-Daniel et Nicolas étaient partis de Toulouse faire le jihad. Leur père, actuellement à Toulouse, veut créer une association pour lutter contre l'embrigadement des jeunes Français et les "filières du jihad".
Par Fabrice Valery Publié le 20/01/2014 | 19:14, mis à jour le 20/01/2014 | 19:37
Gérard Bons a perdu Jean-Daniel et Nicolas, morts à quelques mois d'intervalle en Syrie. Ce chef d'entreprise installé en Guyane est arrivé à Toulouse ce lundi avec la ferme intention de médiatiser son combat : lutter contre l'embrigadement des jeunes Français, notamment en créant une association "Si rien ne bouge, agissons".
Comme il l'a indiqué lors du 19/20 de France 3 Midi-Pyrénées dont il était l'invité, il aimerait pour cela s'associer avec ces deux familles de Toulousains dont les enfants de 15 ans sont partis début janvier en Syrie, via la Turquie, pour combattre eux aussi dans cette guerre civile.
Deux fils "embrigadés" et tués Jean-Daniel et Nicolas, les deux jeunes Toulousains convertis à l'islam, fils de Gérard Bons, étaient partis de Toulouse à la mi-2013 avec le souhait de combattre en Syrie. D'abord discret, leur engagement auprès des combattants islamistes a éclaté au grand jour lorsqu'ils ont publié sur internet une vidéo où ils expliquaient leur combat et demandaient au Président de la République de se convertir lui-même. Jean-Daniel, 22 ans, est mort en août 2013. Son frère Nicolas, 30 ans, a été tué en décembre dans un attentat-suicide. Leurs parents ont appris leur mort par un SMS. Un phénomène "inquiétant" selon Manuel Valls
Plusieurs centaines de Français combattent ainsi en Syrie, "un phénomène inquiétant" pour le ministre de l'Intérieur Manuel Valls, qui indiquait vendredi dernier que les deux adolescents de 15 ans partis de Toulouse étaient peut-être encore en Turquie, même si des photos envoyées via les réseaux sociaux à leurs camarades du lycée des Arènes semblaient prouver le contraire. Le ministre avait aussi indiqué que tout serait fait pour les ramener à Toulouse et à leur famille. Une filière "toulousaine" ?
Interrogé sur Europe 1 dimanche, Manuel Valls avait indiqué qu'il y avait certainement une filière en Midi-Pyrénées pour conduire les jeunes candidats au jihad vers la Syrie. Mais sans doute "pas plus qu'ailleurs en France". Pour Gérard Bons, ces "réseaux criminels" existent et il faut enquêter "pour les détruire". "Je me reproche de ne pas avoir parler de ces réseaux avec mes fils, a-t-il ajouté, mais il faut enquêter sur ces réseaux" pour qui "c'est facile de recruter des jeunes sans perspective". Décriminaliser le retour
Gérard Bons souhaite aussi que la loi soit modifiée pour permettre à ces jeunes de revenir. Pris de remords ou effrayés par ce qu'ils vivent sur place, certains seraient candidats au retour en France. Mais ils se trouvent alors sous le coup de la loi et, poursuivis notamment pour leur engagement dans le terrorisme, risquent 15 ans de prison. Le papa de Nicolas et Jean-Daniel racontent que dans les rares conversations téléphoniques qu'il a eu avec ses fils en Syrie, la perspective de "passer des années en prison" mettait un terme à toute velléité de retour en France.
Il y a eu un cas similaire en Haute-Savoie, à Bonneville (à coté de chez moi). Son fils est parti alors que rien ne laissait pensé qu'il était endoctriné. Le père voudrait qu'il rentre mais ce n'est pas possible. Pourquoi partent-ils? L'absence de repaire dans notre société, l'impression d'impasse pour leur vie, l'absence de motivation (ou d'idéologie)? Rien dans notre société ne les enjoint à fuir, et pourtant ils le font. Ce sont les gens de mon âge qui construisons la société actuel à l'intérieur de laquelle ils ne trouvent pas leur place. Avons nous échoué? Ne faut-il pas une remise en question et une meilleur écoute de leurs attentes? à l'inverse, en faisons nous de trop?
Il faut s'intéresser aux causes de tels comportements. Si les mômes se laissent embrigadé, c'est bien qu'il y a un problème à résoudre. Ils se sentent lésés et manque de repères ou de discernement. Ils deviennent des proies faciles pour toutes propagandes. C'est la frustrations et le sentiments d'infériorité qui à favorisé la montée de la propagande nazi dans les années 30. Ces jeunes , désabusés, ce sont réfugié dans l'idéologie Hitlérienne car ils voyaient en celle-ci un avenir radieux.
les deux adolescents toulousains candidats au jihad récupérés en Turquie Les deux camarades de lycée avaient rejoint les rangs des jihadistes d'Al-Qaïda en Syrie, début janvier. L'un est rentré dimanche en France, l'autre, récupéré par son père, devrait revenir très rapidement.
c'est quand même triste que 2 gamins de 15 ans en soient arrivés là . leur malchance est une éducation complètement loupée ou absente. je ne suis pas sur qu'ils méritent qu'on leur tombe dessus !
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