un déficit public toujours en hausse, une constatation accablante

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Le Premier président de la Cour des comptes Didier Migaud a jugé mardi que le gouvernement faisait certes des efforts «considérables» de discipline budgétaire, mais qu'il péchait encore par excès d'optimisme. Didier Migaud a ainsi jugé dans un discours qu'il existait «un risque significatif» que le déficit public 2013 de la France excède l'objectif gouvernemental de 4,1% du produit intérieur brut.

Pour l'année en cours, «l'atteinte de l'objectif de déficit public» du gouvernement, soit 3,6% du PIB, «n'est pas assurée à ce stade», a-t-il dit, ajoutant que l'effort de réduction de la dépense publique devait être «poursuivi et amplifié sur les trois prochaines années».

Didier Migaud s'est par ailleurs félicité de la volonté du gouvernement de ne faire reposer la réduction du déficit cette année que sur une baisse des dépenses, plutôt qu'une hausse des prélèvements, ce qui est «une orientation préconisée de longue date par la Cour».
Attention aux dépenses sociales

Mais au-delà de ce satisfecit, Didier Migaud a épinglé un «excès d'optimisme» du gouvernement pour ce qui concerne les hypothèses de recettes fiscales l'an dernier, assénant qu'il s'agissait d'un travers «récurrent» en France et qu'il «serait heureux que ces pratiques cessent». «La tenue des objectifs de dépenses de l'Etat apparaît possible, mais nécessitera d'importantes annulations de crédits pour y parvenir», a-t-il averti.

Didier Migaud a appelé par ailleurs à «mieux partager» l'effort de rigueur, en se tournant vers les acteurs publics qui y ont jusqu'ici «le moins contribué», à savoir, selon lui, les collectivités territoriales et le secteur de la protection sociale. Il a qualifié la «dette sociale croissante» en France de «profonde anomalie». Pour lui, les efforts doivent être poursuivis pour tenir l'objectif officiel d'un «retour à l'équilibre structurel des comptes publics en 2016».

source 20 minutes

Cette augementation du déficit, qui s'apparente à un tuyau sans robinet, ne vous effraie-t-elle pas, en sachant
que note déficit de 1900 millards représente presque 93 % de nos richesses, et qu'il augementera encore de 72 millards d'ici 2018.
Non indiqué dans cet article, la cour des comptes préconise un assainissement de l'assurance maladie. Sur la globalité de ce déficit qu'en pensez-vous ?

Non indiqué dans cet article, la cour des comptes préconise un assainissement de l'assurance maladie

oui il faudrait même la supprimer . et pour les pauvres si ils n'ont pas les moyens de ce faire soigner ils n'on qu'as pas etre malade. en plus ils y auras moins d'attente chez les spécialiste pour les riches. bonne idée non messieurs les économistes

biensûr que ça m'effraie !! les politiques ne comprennent vraiment rien de l'attente du peuple, nous voulons la vérité par les faits. Ce climat délétère n'améliore en rien notre principal problème : LA PERTE DE CONFIANCE...mal bien Français qui, malheureusement se justifie de plus en plus !!! mais je constate qu'après toutes ces hausses d'impôts. Nos socialos sont vraiment incompétents. Ils devraient savoir que plus il y a d'impôts moins, il y a de rentrées fiscales. Un Bac moins 10 le sait !!!

veulent faire des économie dejas qu'ils suppriment les logements et voitures de fonctions a tout les niveaux . c'est drole les salaires les retraites le sociale ils nous comparent toujours a certain pays par contre je crois que en france c'est le seule pays ou ils y as logements de fonction et tout le toutim

ce matin c'est de réduire les avantages des descendants de ceux qui ont travaillé à la SNCF ! ils ne paient pas leur voyage ! réduire cette option l'état gagnerai de l'argent !

Un état, c'est comme une entreprise : ça se gère correctement ou ça coule.

Taze a écrit:

Un état, c'est comme une entreprise : ça se gère correctement ou ça coule.

C'est ce qu'on fait ; on couuule...   

30 ans de formation , réparti entre l 'ENA  et sciences po.
des cerveaux formatés à apprendre sans comprendre .
une politique droite gauche quasi identique avec un maquillage différent pour la pointe de l iceberg résultat  30 ans de stagnation aucun projet , aucune vision aucun leader .
un concourt de promesse avant les élections et puis c 'est tout .
aucun de ces cloportes n 'aura assez de c......s pour faire des réformes plus que nécessaires seul leur réélection les importe et comme nous sommes sur une base de bi parti , ils savent très bien que même après une défaite ils reviendront sans avoir à changer quoique ce soit sur leur façon de faire ou de penser , lamentable mais terriblement excat
dans un avenir immédiat, je ne vois pas ce qui pourrait changer par contre je vois bien une pente qui va être très très difficile à remonter, si un jour cela devait arriver

Une petite histoire très marrante circule actuellement et illustre parfaitement comment on en est arrivé à la situation actuelle. Voir « La crise ... des ânes » sur [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] . Je n’arrive pas à voir ce qui dans cette histoire ne serait pas conforme à la réalité que nous subissons. Quelqu’un peut-il m’éclairer ?

c 'est un mélange d 'appât du gain , chose qui existe depuis la nuit des temps et d 'une nouvelle forme de capitalisme financier qui tire profit des entreprises et des hommes et dont seul le profit et surtout l 'absence total d 'un quelconque interet d 'autrui nourri l 'avidité de ces gens là , par ailleurs totalement inutile à la société

un petite pour vous expliquer les financement de l'etat depuis quelques années et son evolution

ce n'est pas politique du tout mais des faits

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quant à la sncf ; il y a plus de personnes bénificiant d'avantages que d'employée

il y a plus de retraité que d'actif

qui paye ?

même ceux qui n'ont jamais pris le train de leur vie