Sur les réseaux, le retour au foyer des épouses «modèles»

Citation :

Robe à fleurs des années 1950, brushing parfait, tablier de cuisine festonné… Le trait peut paraître grossier - grotesque, même, diront certains -, et pourtant, sur les réseaux sociaux, ces « tradwives » (« épouses traditionnelles ») cartonnent.  

Sous l’étiquette «[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]», on apprend à faire des cubes de bouillon soi-même et on prépare des gâteaux. Prônant la soumission au mari, le zéro déchet ou l’allaitement non écourté, ces populaires vidéos de tâches domestiques témoignent-elles d’un rejet de l’émancipation féminine? ️

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : le rôle bénéfique d'une mère au foyer pour les jeunes enfants est indéniable, tout en respectant les choix de vie différents. Cependant, il est crucial de reconnaître que cette possibilité dépend souvent d'un soutien financier durable du conjoint. La stigmatisation du conjoint qui choisit une nouvelle voie amoureuse après avoir offert une vie stable soulève des interrogations. Devenir mère au foyer semble parfois nécessiter des qualifications professionnelles ou une fortune personnelle, suscitant ainsi des débats sur la nature du "choix". Ces questions alimentent le débat sur les "Tradwives" et leur impact, invitant à réfléchir sur les perceptions et les réalités de ce mode de vie......

Beaucoup de choses se cachent derrière le mouvement des tradwifes, qui peuvent être inquiétantes.

Par contre, je n'en ai pas beaucoup vu qui étaient très écolos, au contraire, même...

L'image de la femme au foyer est un peu dépassée. Mais ont peu rester à la maison tout en travaillant.
Le télétravail peut très bien s'accorder avec les enfants à mon avis.
Quand à l'image comme décrite me fait penser au KKK kinder, kirche, kücher en français enfant, église, cuisine

Pour l'homme c'était idéal.. Pour les enfants aussi.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] 

 Sauf qu'il fallait penser à la retraite de Madame..ou en cas de divorce ..

 Et bien sûr il fallait qu'un seul salaire soit suffisant.. 

C'était possible dans les années 70, 80 mais plus maintenant..

Bah [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] faire du télétravail en s'occupant de ses enfants, ce n'est plus vraiment faire du télétravail...


Pour ma part, je trouve qu'on peut faire le choix de devenir mère au foyer, pendant un temps, tout en en connaissant le prix à payer (cher !) et à condition que ce ne soit pas une obligation mais bien un choix personnel.

Là où je trouve que c'est très problématique, c'est le fait d'en faire une "tendance", de promouvoir ce mode de vie, de le rendre glamour, et aussi accessoirement de le politiser, car c'est ce qui se passent avec certaines influenceuses.

"Tradwife" : le mouvement qui prône un retour au modèle des femmes au foyer des années 50

Je peux pas vraimant témoigner de mon expérience comme mère, puisque j'ai pas fondé de famille. En rant qu'enfant, mes parents était patron de restaurant. Il était situé dans le même bâtiment que l'appartement. Ils pouvaient s'occuper de nous très régulièrement. Ma mère proffitais des moment de peu d'influence pour venir vers nous.

Sans tomber dans cette caricature, rendre la maman plus disponible c'est du gagnant gagnant  pour tout le monde:

pour elle, pour les enfants, le couple, et même la natalité et la société

On serait tous plus heureux et il y aurait moins de divorces

Le plus important c'est qu'elle ne soit pas lésée: garanti de conserver son boulot, acquisition de points de retraite, voire même salaire maternel , etc...

En fait, Il faut repenser une politique familiale dans ce pays, l'immigration incontrôlée n'est pas la solution !

Mais on peut toujours rêver, les zélites préfèrent importer des bras pour avoir de la main d'oeuvre à bas prix

Denis a écrit:

On serait tous plus heureux et il y aurait moins de divorces

Alors là ça reste à prouver ! Je ne crois pas que la femme de nos jours seraient plus heureuses dans son couple en restant à la maison pour s'occuper de l'intendance, des enfants etc ... un court temps peut-être mais pas trop longtemps ... avis perso

C'est sûr, maintenant la femme veut travailler, elle fait de longues études et veut atteindre son objectif... 
Les temps ont changé.. 
On a plus d'envies.. On a tous un tél portable, 
un ordi, une machine à laver, un sèche linge (pour beaucoup) les gens voyagent beaucoup plus que dans le temps.. 
Les études des enfants coûtent cher.. Donc deux salaires sont indispensables!
Cependant j'avoue que la vie familiale a subi tout ce déploiement de technicités à portée d'un grand nombre et on ne sait y résister..au détriment de la famille justement!
Et il est vrai que lorsque la femme travaille à l'extérieur, le climat familial s'en ressent .. le couple peut sauter.. Combien de divorces.. de déchirures et d'enfants malheureux..  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] 
Heureusement, ce n'est pas la majorité mais cependant j'entends beaucoup de couples qui se séparent même avec de jeunes enfants.. 
On ne fait plus de concessions maintenant.. 
On ne s'entend plus, hop on divorce.. Ont-ils pensé à leurs enfants???

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] c'est un choix qui doit être possible SIla mère le souhaite évidemment.  Le couple mère-enfant est une réalité,  brisé très  très tôt est souvent une souffrance pour les 2. Je pense que jusqu'à la scolarisation,  donc 5 ou 6 ans, des solutions peuvent être imaginées. Le congé ou le temps partiel parental existent mais sont pénalisants. 

C'est quand même du bonheur et très noble de s'occuper des petitous non ?

plus possible a notre époque , et les femmes veulent etre libre

camélia a écrit:

Aujourd'hui à 7:22 Message n°9 sur la page:1

On ne s'entend plus, hop on divorce.. Ont-ils pensé à leurs enfants???

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Des parents qui ne s'entendent pas, ça ne rend pas forcément service aux enfants. A notre époque, c'est les enfants dont les parents ne sont pas divorcés qui sont "originaux"... Visiblement, ça n'a pas vraiment l'air d'être un problème pour aucun d'entre eux.
Par contre, être dans une famille dysfonctionnelle pour cause de mésentente, c'est surement bien plus grave...

Personne n'est modèle personnes n'est parfait les hommes les femmes ont des défauts et des qualités ils ce complètes "normalement"

Issue de parents divorcés à l'âge de 13 ans, j'ai pu voir les dernière années de ménage commun une mésentente bien réele. Mon plus grand choc a été de déménager de la campagne à une grande ville.
Fin de la parenthèse perso
Pour moi l'image du couple doit évoluer.
Une femme peut très bien travailler et l'homme aider aux tâche ménagère. Le partager des taches devrait être important comme les finances. Lorsqu'on a des enfants ceux-ci doivent pouvoir voir les 2 parents à leur côté chaque jour et pas uniquement le soir à table.

Ce débat doit avoir un objectif:

reconstruire une famille "saine" et heureuse, équilibrée, guérie du patriarcat millénaire, mais qui ne soit pas remplacé parla loi des amazones voire des ... sorcières. Car le résultat c'est: divorces, souffrances, tribunaux et familles décomposées, alors que tout avait commencé par l'amour. C'est vraiment du perdant-perdant et tout ceci est le fruit de l'émancipation rapide des femmes, qui doivent en peser les avantages, ... et les inconvénients.

On a désormais une génération de jeunes qui du coup ne veulent plus se marier, souvent ne veulent plus d'enfant et pour les garçons qui clament "Je suis célibataire et vierge de pension alimentaire"

Il ne faut pas écouter QUE les femmes, hein

Bah, qu'est ce que tu appelles les "amazones" et les "sorcières" ? Tu parles des milliers de femmes qui se sont faites bruler simplement parce qu'elle avaient quelques connaissances en phytothérapie, et qu'elles soignaient les gens avant que la médecine ne soit récupéré par les hommes ?  

Est-ce que cette "loi" des sorcières ne serait pas un peu fantasmée ? Parce que quand même, à l'origine des divorces, il y a bien souvent des femmes trompées (la proportion d'adultères masculin est bien plus importante que l'inverse) ou des femmes maltraitées (213 000 femmes victimes de violences conjugales)...
Alors parlons en des souffrances et des tribunaux !  

Si les jeunes filles ne veulent plus se marier, c'est peut-être juste pour éviter ça...



Et pour tout te dire, moi je ne suis plus une jeune fille mais c'est aussi pour les mêmes raisons que je me garde bien de toute dépendance à l'égard d'un homme...    



Et au final, avant de se retrouver dans la situation "risquée" de n'écouter que les femmes, il faudrait peut-être commencer par les écouter un peu... pour l'instant, ce n'est pas le cas, donc la nécessité de se braquer et de paniquer face aux "sorcières", elle est vraiment très éloignée...

je pense qu'actuellement ce serait compliqué de "faire un retour en arrière "
"style femme aux fourneaux homme au boulot" ! du côté financier un salaire moyen ne suffit plus
que ce soit pour acheter une maison ou les besoins de la Famille pour dire qu'ils puissent s'offrir des vacances ,
les études des enfants et toutes les charges à côté... !
Après c'est certain qu'une épouse avec 4 ou 5 enfants ses journées doivent être bien remplies... !
et si Monsieur gagne bien sa vie pouvant ainsi subvenir aux besoins de sa Famille
sans oublier une bonne gestion et surtout une bonne synchronisation dans le couple !
pourquoi pas !
De toute façon marié ou pas... rien n'est jamais certain ni acquis... même l'Amour !!!

Les sorcières remplissent les medias tous les jours. Après il est évident que le bilan des hommes est déplorable,  les feminicides, les femmes battues , le harcèlement de rue, les scandales du cinéma, etc ... c'est une guerre loin d'être gagnée. Mais ça ne concerne qu'une infime minorité des hommes qui ne ressemblent plus du tout à leurs ancêtres

Enfin quand même,  mesurez le chemin parcouru en juste 2 générations. Les femmes dont totalement libres et de plus en plus d'hommes sont des labradors

Denis a écrit:

Mais ça ne concerne qu'une infime minorité des hommes qui ne ressemblent plus du tout à leurs ancêtres

213 000 victimes, c'est 213 000 agresseurs, ce n'est pas minoritaire. Sans compter que la majorité des viols ne sont pas déclarés, ainsi que les agressions sexuelles. C'est pas une infime partie.

86% des Françaises victimes d'au moins une forme d'atteinte ou d’agression sexuelle dans la rue

1% des violeurs sont condamnés, ce qui signifie que 99 % sont dehors, tranquillement... ça non plus, c'est pas infime...

Denis a écrit:

Enfin quand même,  mesurez le chemin parcouru en juste 2 générations. Les femmes dont totalement libres et de plus en plus d'hommes sont des labradors

Il y a du chemin de fait en droit, c'est vrai. Mais pas tant que ça dans les faits.

Changer le droit ne change pas les mentalités de la même façon. Et ça, ça traine.

De plus, sur les 213 000 viols, si seuls 1% est condamnés, cela veut dire que si la justice faisait son travail, il faudrait plus de 2000 000 places en prison... est-ce que c'est seulement possible ? Donc voilà la limite de la justice en terme de protection des femmes contre le viol...

Sans compter que la position des jeunes pose beaucoup question, et que rien n'est gagné :

Le sexisme persiste chez les moins de 35 ans selon le Haut Conseil à l'Égalité entre les femmes et les hommes

Citation :

Plus d’un homme sur 5 de 25-34 ans considère normal d’avoir un salaire supérieur à sa collègue à poste égal. 70% des hommes pensent encore qu’un homme doit avoir la responsabilité financière de sa famille pour être respecté dans la société. Plus de la moitié de la population trouve encore normal ou positif qu’une femme cuisine tous les jours pour toute la famille.

Sexisme : L’inquiétante pensée « masculiniste » chez les 25-34 ans

Citation :

Selon le barème, « un employeur qui embauche un homme plutôt qu’une femme à compétences égales n’est perçu comme un problème que par 67 % des hommes, contre 84 % des femmes ». De plus, « le mansplaining n’est perçu comme problématique que par 54 % des hommes contre 75 % des femmes (21 points d’écart).

Le sexisme conduit à des renoncements quotidiens, pour 9 femmes interrogées sur 10 : la moitié renoncent à sortir ou faire des activités seules ou à s’habiller comme elles le souhaitent. 8 sur 10 ont peur de rentrer seules chez elles le soir.

Les hommes de leur côté peinent « à se sentir concernés », ne se sentent pas personnellement responsables de conduites sexistes, voire pour un quart d’entre eux, pensent qu’on « en fait trop sur les agressions sexuelles ».

Les femmes ne sont libres que sur le papier...

La question que je me pose, c'est comment, à notre époque, on peut être un homme d'expérience, cultivé, tourné vers l'humain, et continuer à minimiser cette situation pour laquelle tout est d'une évidence limpide, que ce soit dans les chiffres ou dans la rue ? Comment on peut ne pas se sentir concerné alors que c'est la moitié de la population dont il est question, et que les médias nous annoncent tous les jours de nouvelles violences faites aux femmes ? Comment est-ce qu'on peut ne pas avoir envie de voir à ce point là... ?


Et il y a une chose qu'on oublie bien souvent, c'est que les violences sexuelles faites aux femmes vont souvent de pair avec les violences faites aux enfants. En protégeant vos femmes, vos mères, vos filles par votre posture, vous protégez aussi vos enfants et vos petits enfants...

Donc non, il ne faut pas minimiser...

Car ce qui manque maintenant au combat contre les violences sexuelles et sexistes, c'est l'implication des hommes... et ça visiblement, c'est pas gagné...

Oui je me répète le bilan des hommes est déplorable,
Maiis comme on a aucun chiffres anterieurs il est difficile de comparer. Vous vivez dans quel monde ? Je ne vit pas ça autour de moi pourtant je suis dans une ville pau re et mon boulot pendant 30 ans m'a plongé très souvent dans l'intimité..

Quant aux viols, vous voulez vraiment ouvrir ce sujet, ça va vite dériver en politisue migratoire oû des OQTF violent même des grand-mères.  Faut discuter avec des policiers, des surveillants de prison, ... c'est plus instructif que des chiffres bruts sui cachent des vérités qui dérangent

Si tu ne vis pas ça, Denis, peut-être juste parce que tu ne le sait pas. Il a y une omerta autour de ces actes, on le sait bien. Personne ne crie ces choses sur les toits.

Moi j'ai connu un docteur généraliste maintenant décédé, qui m'a confirmé que les viols et incestes dans les familles, ça se faisait plus que ce qu'on ne le croit.
Je suis étonnée que tu n'aies jamais été confronté à ça.




Si la question des viols aboutit sur la politique migratoire, c'est parce que cet argument est récupéré et détourné à des fins de propagande nationaliste, c'est un procédé habituel de cette tendance idéologique, c'est bien connu...Il ne faut pas se faire berner...

Car dans les faits, la grande majorité des auteurs de viols sont des proches des victimes. Donc rien à voir avec l'immigration :

Viols : plus de neuf victimes sur dix connaissaient leur agresseur

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] bon on a beaucoup dévié du sujet, désolé 

Mais bon je sais bien qu'il y a beaucoup de faits graves cachés.  Et oui oui j'ai eu beaucoup de confidences. Je dis juste qu'aujourd'hui ça va beaucoup mieux qu'il ya 50 ou 100 ans . Mais comme la parole s'est enfin liberée, que les procès judiciaires ou médiatiques pleuvent on va aller vers le mieux. 

Pour revenir aux couples et leurs difficultés,  je pense que le surmenage des 2 adultes au boulot ne risque pas d'arrondir les angles, et que s'il y a trop de tensions, il y aura des violences verbales puis physiques, d'où cette épidémie de divorces car la nouvelle famille est en cours de rodage. On ne passe pas de millenaires de patriarcat et de femmes soumises à autre chose en quelques années. Tout ceci est très sérieux et nécessite réflexion, dialogue, compréhension et patience

Je suis tout à fait d'accord avec toi.

La réflexion sur la famille est nécessaire, mais elle doit se baser sur les bonnes infos, pas vues avec des œillères. Et ça, je crois que c'est encore difficile.

Je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de femmes, mêmes féministes convaincues qui en veuillent à la famille et au couple.
Qu'elles aient envie de voir les choses différemment de façon à ne plus se retrouver potentiellement en danger, ça oui. Mais ça ne veut pas dire tout envoyer péter...

Même les féministes pures et dures ont des hommes dans leur vie avec qui elles partagent des sentiments et élèvent des enfants.



Le vrai danger pour la famille, c'est de laisser les théories masculinistes et sexistes se développer, ce qui à terme peut faire que les femmes tournerons le dos aux hommes car ça sera une menace trop importante pour elles. Ca oui, ça sera un problème pour la famille.

La plus grande menace pour la famille, c'est les hommes au comportement déviants. Donc est-ce que ça ne serait pas aux autres hommes de leur dire de se tenir tranquille ?