Chaque jour, des centaines de migrants franchissent le mur qui sépare les États-Unis du Mexique, dans le sud de la Californie. Mais une fois sur le sol américain, c'est le début d'une attente qui peut durer plusieurs jours, dans des campements de fortune en plein air non encadrés par les autorités.
je comprends vraiment les difficultés auxquelles ces migrants sont confrontés. Je veux dire, imaginez un instant ce qu'ils ont dû endurer pour arriver là, avec cette montagne à escalader, ce mur à franchir, tous ces risques pour juste avoir une chance de vivre une vie meilleure. Ça me touche vraiment, vous savez. Et quand je pense à ces policiers, débordés par toutes ces arrivées, ça me brise le cœur. Ils veulent juste faire leur boulot, mais c'est juste trop, trop de gens qui ont besoin d'aide.
Et puis, quand je vois les discussions ici en France, ça me fait mal au ventre. Certaines personnes parlent de fermer les portes, de dire "non" à ceux qui ont besoin d'aide. Mais moi, je ne peux pas m'empêcher de penser que si j'étais à leur place, je voudrais juste qu'on me tende la main, qu'on me donne une chance de reconstruire ma vie. Parce que personne ne devrait vivre dans la peur, dans la misère, vous voyez ?
Je sais que ça ne va pas être facile, que ça va demander des efforts, des ressources. Mais au final, ça vaut le coup, non ? Trouver des façons d'accueillir ces gens, de les intégrer dans nos communautés sans que ça ne nous appauvrisse, c'est une responsabilité qu'on doit tous prendre, je pense. Parce qu'au bout du compte, on est tous humains, on mérite tous une chance de vivre en sécurité, de réaliser nos rêves. Et si on peut aider, pourquoi ne pas le faire, hein ?
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