TÉMOIGNAGE•« 20 Minutes » a rencontré Boris Fauche, 49 ans, victime des violences qui avaient cours au sein de l’institution catholique Notre-Dame de Bétharram (Pyrénées-Atlantiques) dans les années 1980. Un récit qui fait froid dans le dos
c'est triste et bouleversant de savoir qu'un acte de violence a été infligé à un enseignant qui s'engageait à transmettre son amour pour la musique !! personne ne devrait jamais craindre pour sa sécurité dans un environnement d'apprentissage...
L'essentiel Pensionnaire de 1987 à 1991, entre ses 13 et ses 16 ans, de Notre-Dame de Bétharram, Boris Fauche, aujourd’hui âgé de 49 ans, témoigne des violences physiques et psychologiques qu’il a vécues au sein de l’institution catholique. « Dès le premier jour, en une demi-heure, je comprends que je suis dans un autre monde », raconte le Bordelais, « violenté par les pions, par les profs ». Bétharram, c’était le monde « de la rigueur et du silence, les mains derrière le dos », se souvient-il. « Le moindre comportement estimé inapproprié – un clignement, un sourire –, c’était violence, punition, humiliation. »
Ils étaient violents la discipline c'est envoler de nos jours
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J'en pense que c'est immonde. Que les coupables devraient finir leurs jours en taule, en compagnie d'aussi salauds qu'eux qui feraient de leurs misérables existences un cauchemar renouvelé. Et encore la prison est trop douce pour des ordures pareilles. Je les livrerais à leurs victimes pour qu'elles les lapident.
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