Le pape François conseille aux homosexuels voulant devenir prêtres d’aller voir un « psychologue »

Ce pauvre Pape François, avec tout le respect que je lui dois, ferait bien de prendre sa retraite

mon dieu ......... c est le cas de le dire

 il fait bourde sur bourde, le pauvre..

Même les croyants le reconnaissent!

Il serait temps que disparaissent ces papes, reliques vivantes du haut Moyen-Age idolâtrées par leurs ouailles, et j'en dirais autant du Dalai Lama. En quoi ces épouvantails à moineaux ont-ils leur mot à dire sur la marche d'un monde dont ils ne connaissent rien ?

Il n'est pas très diplomate.

En revanche, remettre en cause les Papes et autres dirigeants religieux, cela me semble aller loin dans la modification de notre monde.
Malgré leur bêtise à tous, ils conservent une certaine autorité qui calme les foules et les empêche (plus ou moins de nous diriger vers l'anarchie et le chaos).

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Ils sont aussi nombreux à avoir besoin d'un psy dans ses propres rangs, il devrait y penser...

Comme une bonne partie de la population.

Pluton a écrit:

Comme une bonne partie de la population.

Mouais, la population est quand même dans une situation de frustration moindre, d'une façon générale...

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]: Je ne vois pas en quoi l'autorité des chefs religieux calmerait les foules. Le chaos on y est, la peste libérale nous y a conduits, l'anarchie, je la préfèrerais au pouvoir alloué au RN !

Pas très diplomate sur ce thême le pape

il va manquer beaucoup trop de psychologues ( sans parler des homos )
et les fous dangereux en Liberté il en fait quoi !!!!!!!!!!

La psychologie est une religion post-moderne, elle a ses dogmes, elle a ses gourous, elle a ses dévots, elle a ses fanatiques, elle a ses profiteurs.

C'est vrai que depuis quelques années, les Psys pleuvent un peu partout!
On va chez un Psy pour pas grand chose..
 regardez même lors d'une agression dans un collège ou autre, chaque élève passe chez la ou le Psy.. 
Ils sont si fragiles que çà ces pauvres petits?

L'action de consulter un psy n'a rien à voir avec une quelconque fragilité, heureusement, cette idée a bien évolué...

Je connais plusieurs personnes ayant consulté un Psy .. et bien rien n'a changé.. 
 Des dépenses inutiles! 
autant parler à un prêtre en confession.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Tout dépend des personnes, et des compétences du thérapeute, on peut difficilement faire des généralités...
En tout cas ce n'est ni une honte, ni un signe de faiblesse, que d'aller consulter. Au contraire c'est même courageux, vu les aprioris que les gens peuvent avoir...

Je me méfie de quiconque affirme détenir la vérité. Surtout sur des bases théoriques non démontrables.

parler a un thérapeute ou autres , peut etre bénéfique , car la personne en face reste neutre et ne vous juge pas

McCloud a écrit:

Je me méfie de quiconque affirme détenir la vérité. Surtout sur des bases théoriques non démontrables.  

Les psychologues ne prétendent pas détenir la vérité. Au contraire même, un bon thérapeute va faire en sorte que tu te poses les bonnes questions, en te guidant, pour que tu trouves toi-même les réponses dont tu as besoin. Mais il n'est jamais questions de "vérité".

Pascalou a écrit:

parler a un thérapeute ou autres , peut etre bénéfique , car la personne en face reste neutre et ne vous juge pas

Comme un prêtre..
sauf qu'avec un Psy, tu ne reçois pas l'absolution..

camélia a écrit:

Pascalou a écrit:

parler a un thérapeute ou autres , peut etre bénéfique , car la personne en face reste neutre et ne vous juge pas

Comme un prêtre..
sauf qu'avec un Psy, tu ne reçois pas l'absolution..

Le psychologue ne juge pas, mais ça ne veut pas dire qu'il ne parle pas ! C'est justement ce qu'il dit qui permet de faire le travail qui est attendu. Sa parole est très ciblée, selon les études qu'il a fait et ses compétences.

Mais sans doute qu'il a existé, peut-être qu'il existe toujours, des prêtres qui ont eu naturellement une approche très psychologique, et qui ont eu une attitude bénéfique sur ceux qui venaient se confesser. Mais sans doute aussi que c'est pas le cas de tous....

Ce que je voulais dire par là, c'est que la nébuleuse psy repose (en grande partie, heureusement c'est remis en question) sur la théorie freudienne de l'inconscient, qui n'est jamais qu'une hypothèse de travail (admettons que, si l'on admet que...).
Dans les années 70 où la psychanalyse était omniprésente, elle prétendait tout expliquer de nos comportements et de nos agissements par cette hypothèse empirique d'un inconscient qui guiderait nos actes, en fonction d'évènements et de traumas survenus dans l'enfance.
Or, pour avoir partagé quinze années de ma vie avec une dame qui travaillait en milieu psy, j'ai pu constater avec elle que ces malades qu'on appelait jadis des "fous", des "aliénés", ne guérissent pas. Ils peuvent enchaîner les thérapies tout au long d'une vie, leur équilibre précaire repose sur des médocs.
La "parole qui libère", c'est un mythe qui date de cette époque où le psy a succédé au cureton. Aujourd'hui, les psys sont partout, la parole est libérée partout, mais les gens vont mal : on est en France de gros consommateurs de dopes légales (anxiolytiques, antidépresseurs, somnifères) et illégales (cannabis, opioïdes), avec un taux de suicides inquiétant.  
Je suis désolé, mais si un psy me dit que si je vais le voir parce que je déprime et qu'il me parle de ce qui se trame dans mon inconscient, qui expliquerait que je déprime, je le prierais de me démontrer par A + B l'existence de l'inconscient, dans lequel cas, désarçonné, il m'accuserait de vouloir "le castrer" inconsciemment pour "exprimer mon déni du transfert".
C'est sûr qu'avec ça, je serais sûr d'aller mieux.
Quant à l'adversaire de la psychanalyse qu'est supposément le cognitivo-comportementaliste (très à la mode, le miracologue dont les thérapies coûteuses sont supposées brèves), ses postulats ne sont pas moins fumeux, et si on creuse un peu, ils se résument à une forme d'éthologie appliquée aux bipèdes.
Je suis passé par la thérapie, à plusieurs reprises, comme tout individu équipé d'un cerveau en ordre de marche  qui à certains moments de son existence est traversé par le doute. Le premier thérapeute que j'ai consulté m'a initié à la philo, qui était son dada. Je lui en sais gré. C'était un type qui avait beaucoup d'humour et nos conversations allaient très au-delà de "ma problématique personnelle". D'agréables conversations qui n'ont cependant jamais levé mes doutes existentiels. La seconde était une charmante jeune dame avec qui j'ai partagé six ans de conversations aussi aimables. J'aurais pu avoir les mêmes conversations avec une professeure, une avocate, une écrivaine. Mes doutes existentiels sont demeurés intacts. J'ai retiré de ces échanges une richesse du propos, qui allait jusqu'aux conseils de lecture, à des considérations cinéphiliques, et nous parlions souvent musique et poterie, art que pratiquait cette dame.

Il faut dire aussi que l'on met les psy à toutes les sauces, des cellules psy en marche à chaque accident ou traumatisme qui se passe ! Alors sans doute ça a aidé certains à évacuer et ou comprendre ses problèmes à résoudre, mais on trouve aussi des bons psy et des nuls qui vous font patiner, parfois sur des années, sans pour autant avoir les clés de votre mieux être...