L'intégration de l'économie souterraine au PIB est une obligation européenne. Mais de nombreux pays résistent, dont la France. Plus pour longtemps ?
Comme l'Italie (link is external) et le Royaume-Uni (link is external), la Belgique (link is external) vient de déclarer qu'elle allait désormais intégrer l'argent issu de la prostitution et du trafic de drogue au calcul de son produit intérieur brut (PIB). Les annonces successives de ces pays de l'Union européenne ont étonné, tant l'idée semble surprenante, mais elles résultent pourtant d'une obligation européenne. En février dernier, Eurostat (link is external), un institut statistique communautaire rattaché à la Commission européenne, a édité un règlement qui impose aux États membres de prendre en compte les activités illicites dans le calcul de leur PIB. Si certains pays se sont précipités, ravis de trouver un nouveau moyen de gonfler leur croissance, d'autres sont frileux, voire réfractaires, à l'idée d'intégrer les revenus de l'économie souterraine à leur PIB.
Lien d'origine: [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (link is external) Date: 14/06/2014
Comme l'Italie (link is external) et le Royaume-Uni (link is external), la Belgique (link is external) vient de déclarer qu'elle allait désormais intégrer l'argent issu de la prostitution et du trafic de drogue au calcul de son produit intérieur brut (PIB).
et voilà ! notre dette sera plus qu'en mauvais souvenir