Je vous propose cette photo ,qui certainement va vous conduire loin à une époque où l'homme alimentait son cerveau comme il nourrissait son corps.Aujourd'hui les gens lisent peu et surtout les jeunes.Le livre est un excellent compagnon, et un bon maitre,à consulter à tous moments.
Oui Salam, Dans tous les cas de figure, "on" a intérêt à écouter, lire et à découvrir un peu plus chaque jour, d’autant que le savoir n’a jamais été aussi abondant et accessible; les bibliothèques débordent de livres, il y a des librairies partout et Internet se répand en renseignements de toutes sortes (à condition d’être sélectif). Vous ne devriez donc pas avoir de difficulté à vous informer sur quoi que ce soit si vous le souhaitez. En tout cas moi je le fais. À propos, savez-vous qu’en un an les gens passent, au mieux, une cinquantaine d’heures à lire et près de trois milles heures à regarder la télévision, à glander en se curant le nez ? Deux jours devant l’écrit contre cent vingt-cinq scotchés à la télé ! Et après, on se demande pourquoi ça va aussi mal dans les têtes. Il y a de moins en moins de gens qui lisent mais de plus en plus de speedés façon voulez-vous gagner des millions. Pensez-vous qu’il y ait un lien ? Amusez-vous à demander aux gens de votre entourage quels livres ils ont lus dernièrement. Je serais surpris qu’ils arrivent à vous nommer plus d’un titre. Il y a 9 chances sur 10 qu’ils ne lisent jamais. Vous savez quoi ? Vous devriez cesser de les fréquenter; l’indifférence ça se transmet comme un méchant virus. Vous me trouvez sévère ? Libre à vous de frayer avec des lobotomisés du petit écran.
Saisir un livre, l’ouvrir, c’est entendre la voix d’une autre personne, quelqu’un qui a pris sur lui de vous narrer, de vous confier quelque chose, de vous faire rire, pleurer, réfléchir, en un mot: réagir. Ouvrir un livre c’est bien plus que découvrir un produit manufacturé. Grand Dieu quelle horreur cette définition ! Comment un écrit pourrait-il être un produit ? Oui, je sais, au départ, ce n’est qu’un encrage sur une surface mais ensuite on frôle le grain du vélin, on tâte la reliure, riche ou simplement encollée. Plus loin, ce sont des odeurs - de cuir dans le meilleur des cas - ou de colle et de cellulose subtilement mélangés, le papier, un support qui a pris de la noblesse avec le temps. Bien installé, on se plonge dans la découverte, on suit les méandres inventifs ou pédagogiques dévoilés par un inconnu. Il y a dans cette présence déléguée une notion de confort spirituel, un moment de générosité partagée, une intimité mise à disposition. L’écriture est, à mon humble avis, la plus grande invention humaine avec la roue, bien avant l’agriculture ou l’élevage. Oublions la poudre à canon, cette trouvaille-là, une chinoiserie de plus, il eut mieux valu qu’elle demeure enfouie. Quelles que soient les civilisations qui s’en disputent la paternité, et elles sont nombreuses à le prétendre - chinoise, arabe, sumérienne entre autre -, l’écrit mérite notre plus grand respect. Que serions-nous, que saurions-nous sans cela ? Que tant d'histoires puissent naître de ces minuscules pattes qui se suivent en rangs serrés, ces colonnes de fourmi noires qui marchent en ordre régulier à la militaire sur les pages blanches, cela ne devrait cesser de nous épater. Ces caractères typographiques se succédant sur les pages que vous lisez sont comme des petites graines, elles fleurissent sur les sols les moins prometteurs et leurs pétales ne flétrissent jamais. Certains écrits peuvent vous plonger dans une introspection telle que vous vous demandez si vous ne rêvez pas tant l’auteur a visé juste là où il fallait, qu’il a écrit exactement ce que vous pensiez, ô surprise, ou au contraire, il vous a entrouvert une voie vers ce que vous ignoriez totalement. Les plus modestes nous font rêver, nous distraient, et rien que cela mérite déjà notre respect. Une lecture ne vous laisse pas dans l’état où vous étiez avant, et mieux encore, la connaissance ne connaît pas le statu quo, c'est une addition et pour cette fois il ne faut pas être fort en calcul, ce qui doit arranger beaucoup de monde. Vous pensez à quelqu’un en particulier ?
Tout homme disposant d'un pouvoir, est susceptible d'en abuser MONTESQUIEU
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Salam
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Je dispose dans ma bibliothèque ,des livres en français qui datent de 1890 ,et qui sont dans un état excellents.Lorsque vous feuilletez ces manuscrits ,une odeur de café grillé vient vous traverser les narines, et vous ressentirez un soulagement au niveau de vos deux poumons.
je me suis remise depuis peu à la lecture... C'est toujours un bon moment de détente. il est vrai qu'avec les écrans (télé ou ordi) nous lisons de moins en moins. Beaucoup de jeunes se limitent aux livres imposés par les enseignants, c'est bien dommage.
je me suis remise depuis peu à la lecture... C'est toujours un bon moment de détente. il est vrai qu'avec les écrans (télé ou ordi) nous lisons de moins en moins. Beaucoup de jeunes se limitent aux livres imposés par les enseignants, c'est bien dommage.
out à fait ! le livre viendra à disparaître en remplacement des tablettes :x et tu parles des livres à l'école ? je crois que ça aussi viendra à disparaître, car les PC remplace déjà des livres au collège !!
Salam a écrit:
Je dispose dans ma bibliothèque ,des livres en français qui datent de 1890 ,et qui sont dans un état excellents.Lorsque vous feuilletez ces manuscrits ,une odeur de café grillé vient vous traverser les narines, et vous ressentirez un soulagement au niveau de vos deux poumons.
Oh que je te comprends j'ai aussi de vieux livres , surtout des B.D d’origines comme les 1er Tintin et Obélix
Pour les livres scolaires qui sont remplacés par le numérique, c'est plutôt bien pour la santé et surtout le dos des enfants. Je vois déjà le cartable de ma fille qui est en CM1, ça m'inquiète pour le collège. Par chez nous, les enfants sont incités à lire à l'école primaire. Toutes les semaines, ma fille doit choisir un livre à la bibliothèque et en faire un résumé. je trouve que c'est une bonne initiative.
Pour les livres scolaires qui sont remplacés par le numérique, c'est plutôt bien pour la santé ,et surtout le dos des enfants. Je vois déjà le cartable de ma fille ,qui est en CM1, ça m'inquiète pour le collège. Par contre chez nous, les enfants sont incités à lire à l'école primaire. Toutes les semaines, ma fille doit choisir un livre à la bibliothèque, et en faire un résumé. Je trouve que c'est une bonne initiative.
Oui et non contre de supprimer le livre au collège. Quand j'étais pionne, les livres, on les distribuait dans les classes ce qui allégeait les cartables ,ou sacs à dos . Je vois que les jeunes, ont de moins en moins de livres chez eux ! heureusement qu'il y a les magazines de jeux, au moins ça les faire lire sur du papier ... Par contre bonne initiative de la part de l'école primaire de ta fille je dis
Salam en temps qu'ancien élève de l’école française où le livre était maitre,et en temps que directeur d’école retraité,je signe et persiste que le livre est irremplaçable,et c'est le seul outil qui perfectionnera le niveau des enfants.Ces tablettes sont des gadgets,dont la durée de vie est limitée.Dommage mon portable est en panne ,'aurais du vous prendre en photo le trésor de livres dont je dispose.
Les tablettes ne font pas disparaître le livre, bien au contraire grâce aux tablettes où smartphones, le livre se trouve réincarné sous une forme électronique certes mais qui met à disposition beaucoup plus d'outils pour s'approprier non pas le livre mais le contenu du livre. Je comprends que l'on puisse être dérouté par cette nouvelle approche, que l'on puisse être désemparé par la désensibilisation qu'implique le format electronique parce que effectivement le livre a une odeur, il fait aussi son poids , néanmoins personnellement je troque volontier l'odeur du livre avec la possibilité d'emporter une partie de ma bibliothèque avec moi quand je pars en voyage, ou pas! Un exemple comme avec un livre physique, sur mon livre electronique et avec carrément moins de scrupules je souligne, je surligne, j'ajoute des réflexions, en plus j'ai un dico intégré donc non seulement je prends connaissance des définitions mais en plus je sauvegarde ces définitions. Par la suite je transfers tout ça dans une application ce qui me permet "d'un seul coup d'oeil" de tout revisualiser et grâce à une fonctionnalité de rappel présente dans l'application je révise le soir même, puis 3 jours après, puis 1 semaine après , puis 1 mois après, puis 3 mois après etc... de manière à ce que les détails du livre restent VIVANTS en moi pour ............ l'éternité!!!! (Tout est calculé selon le dernier cri des connaissances concernant le fonctionnement de la mémoire) Voilà, je pense qu'il ne faut pas refuser la technologie, mais au contraire il faut se faire un devoir de S'APPROPRIER l'efficacité qu'elle nous apporte et en plus cerise sur le gâteau.............................. => save the trees, save the planet!
J'aurais juste une petite critique par rapport à cette approche: 1/En regardant des films français et américains, j'avais noté cette différence qui consistait à remarquer que quand vous regardez un film où une série américaine, vous ne verrez que très rarement une bibliothèque dans les scènes tournées dans les appartements des acteurs, contrairement aux productions françaises où les bibliothèques sont presques mises en valeur! Et effectivement personnellement ça fait quelques années que je n'achète plus du tout de livre physique, je me suis totalement adapter à l'approche électronique! 2/ça c'est un gros problème existentiel que je me pose: avec les tablettes et les smartphones, je constate que j'écris de moins en moins. Je passe mon temps à swiper sur le clavier de mon smartphone ou à taper sur mon ordi D'alleurs j'ai surpris un embryon de débat sur ce sujet qui se posait la question de savoir s'il fallait continuer à apprendre à écrire aux élèves et pas plutôt se concentrer à leur apprendre à taper sur l'ordi. En réalité, moi je tape à l'aveugle sur mon clavier azerty ou cyrillique et il m'a fallut 3 jours ENTIERS pour intérioriser toutes les touches. Concrètement je ne saurais vous dire comme ça où se trouve le j par rapport au e sur le clavier ni même vous taper un e ou un j à la demande, en revanche quand j'écris ce message, eh bien c'est absolument SANS regarder les touches de mon clavier
ton approche est intéressante Tapioka par rapport au livre numérique. j'ai téléchargé quelques livres pour ma tablette, mais je n'ai pas encore lu un livre complet dessus. j'ai peur de fatiguer plus vite et dématérialiser le livre c'est assez déroutant. Mais c'est vrai qu'il faut vivre avec son temps
En hiver je lis plus d'Ebooks, pour cause d'intempéries (la bibli n'est pas proche de chez moi) Je n'ai rien contre le numérique, mais c'est plus fatigant pour mes yeux. Même si on peut agrandir la police...non pas celle-là l'autre Mais je n'achète pas les ebooks, ça me ferait mal nan je préfère le papier. Je viens de finir la bio de Smaïn; un bien brave garçon, sentimental, plein d'amour filial et tout.
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Foudre Bénie
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Les tablettes ne font pas disparaître le livre, bien au contraire grâce aux tablettes où smartphones, le livre se trouve réincarné sous une forme électronique certes mais qui met à disposition beaucoup plus d'outils pour s'approprier non pas le livre mais le contenu du livre. Je comprends que l'on puisse être dérouté par cette nouvelle approche, que l'on puisse être désemparé par la désensibilisation qu'implique le format electronique parce que effectivement le livre a une odeur, il fait aussi son poids , néanmoins personnellement je troque volontier l'odeur du livre avec la possibilité d'emporter une partie de ma bibliothèque avec moi quand je pars en voyage, ou pas! Un exemple comme avec un livre physique, sur mon livre electronique et avec carrément moins de scrupules je souligne, je surligne, j'ajoute des réflexions, en plus j'ai un dico intégré donc non seulement je prends connaissance des définitions mais en plus je sauvegarde ces définitions. Par la suite je transfers tout ça dans une application ce qui me permet "d'un seul coup d'oeil" de tout revisualiser et grâce à une fonctionnalité de rappel présente dans l'application je révise le soir même, puis 3 jours après, puis 1 semaine après , puis 1 mois après, puis 3 mois après etc... de manière à ce que les détails du livre restent VIVANTS en moi pour ............ l'éternité!!!! (Tout est calculé selon le dernier cri des connaissances concernant le fonctionnement de la mémoire) Voilà, je pense qu'il ne faut pas refuser la technologie, mais au contraire il faut se faire un devoir de S'APPROPRIER l'efficacité qu'elle nous apporte et en plus cerise sur le gâteau.............................. => save the trees, save the planet!
J'aurais juste une petite critique par rapport à cette approche: 1/En regardant des films français et américains, j'avais noté cette différence qui consistait à remarquer que quand vous regardez un film où une série américaine, vous ne verrez que très rarement une bibliothèque dans les scènes tournées dans les appartements des acteurs, contrairement aux productions françaises où les bibliothèques sont presques mises en valeur! Et effectivement personnellement ça fait quelques années que je n'achète plus du tout de livre physique, je me suis totalement adapter à l'approche électronique! 2/ça c'est un gros problème existentiel que je me pose: avec les tablettes et les smartphones, je constate que j'écris de moins en moins. Je passe mon temps à swiper sur le clavier de mon smartphone ou à taper sur mon ordi D'alleurs j'ai surpris un embryon de débat sur ce sujet qui se posait la question de savoir s'il fallait continuer à apprendre à écrire aux élèves et pas plutôt se concentrer à leur apprendre à taper sur l'ordi. En réalité, moi je tape à l'aveugle sur mon clavier azerty ou cyrillique et il m'a fallut 3 jours ENTIERS pour intérioriser toutes les touches. Concrètement je ne saurais vous dire comme ça où se trouve le j par rapport au e sur le clavier ni même vous taper un e ou un j à la demande, en revanche quand j'écris ce message, eh bien c'est absolument SANS regarder les touches de mon clavier