le 13 novembre à Paris a pourtant été questionnée par plusieurs témoins directs des scènes de carnage, souvent sous le coup de l’émotion. Certains morts auraient-ils pu être évités ? Les premiers secours disposaient-ils toujours du matériel adéquat ? Autant de points que pompiers, SAMU et responsables hospitaliers ont eux aussi examiné dès lundi, lors de leurs premiers débriefings.
Vendredi soir, l’attente a paru interminable à Frédéric Ittah, gérant de L’Epicerie Associée, rue Faidherbe. Situé près de La Belle Equipe, le bistrot de la rue de Charonne où 19 personnes ont perdu la vie, il est arrivé quelques minutes après le drame. « L’attente des secours m’a paru interminable et les pompiers, arrivés les premiers, ont été pris de court par la scène de guerre qu’ils ont découvertt-il.
LE MONDE
bravo à tous ces personnes
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