Depuis jeudi, près de 200 migrants sont bloqués par les policiers français à la frontière franco-italienne. Ils ont manifesté pacifiquement à Vintimille, entamé une grève de la faim. Les policiers italiens ont donc tenté des les disperser, ils se sont réfugiés sur les rochers en menaçant de se jeter dans la Méditerranée. La situation est confuse et sensible.
Les autorités françaises refusent d'ouvrir le passage au migrants
Citation :
Mais la réponse des autorités françaises reste la même : "on ne passe pas". Alors ils attendent , assis sur des marches ou des bancs, un sac en plastique avec toutes leurs affaires à leurs pieds. Ils attendent, dans des conditions qui commencent à devenir déplorables : à la gare de Vintimille, les enfants et leurs mères ont dormi à même le sol cette nuit, et commencent à manquer de vivres. La Croix Rouge italienne fait ce qu'ellle peut, des associations azuréennes espèrent organiser une collecte en début de semaine.
La question demeure : que faire ? La France doit-elle accueillir les migrants coincés à Vintimille?
Il a déjà des milliers sont déjà rentrés en France et si on laisse entrer ces 200, avec toute la médiatisation qui en a été faite, ce sera un énorme appel d'air de plus et ce seront des dizaines, voire centaines de milliers qui suivront dans la foulée... as ton les moyens de les accueillir ? je ne pense pas non !
Ce qui est certains c'est que l'Italie est à bout! Et de là à ce qu'elle les régularise tous d'un seul coup en réponse à l'hypocrisie des autres dirigeants européens, on n'en est malheureusement très très proche! Et là on n'aura plus le choix, ils pourront aller où bon leur semblera, et nous en 2017, il va falloir qu'on s'accomode d'une Le Pen comme présidente!
Il a déjà des milliers sont déjà rentrés en France et si on laisse entrer ces 200, avec toute la médiatisation qui en a été faite, ce sera un énorme appel d'air de plus et ce seront des dizaines, voire centaines de milliers qui suivront dans la foulée... as ton les moyens de les accueillir ? je ne pense pas non !
Bien sûr que non il n'y a pas d'appel d'air, le solde annuel d'étrangers baisse et les communautaires sont un peu plus nombreux qu'avant...
tapioka a écrit:
Ce qui est certains c'est que l'Italie est à bout! Et de là à ce qu'elle les régularise tous d'un seul coup en réponse à l'hypocrisie des autres dirigeants européens, on n'en est malheureusement très très proche! Et là on n'aura plus le choix, ils pourront aller où bon leur semblera, et nous en 2017, il va falloir qu'on s'accomode d'une Le Pen comme présidente!
L'Italie c'est qui :?: Un gouvernement, son mouvement social, sa population :?: Le gouvernement continue à donner des permis à durée illimitée, le mouvement social de soutien aux migrant-es est bien plus important qu'en France mais le racisme reste très fort en Italie, clivant la peninsule en deux...
c'est pas une question de gentillesse,de racisme ou quoi,c'est qu'il va falloir leur trouver logement et travail,alors qu'on en pas pour toules gens résidents en france
Le membre suivant remercie pour ce message :
Johane
Félicitation pour ton grade "V.I.P.+"
J'ai la joie de vous annoncer que votre assiduité a été récompensée
Félicitation pour ton grade "Premium"
Un grand merci pour ta fidélité et pour ta gentillesse
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Cry Baby , à mots couverts, comment dire autrement que ce que j'ai dit plus haut.
Je réitère sans entêtement aucun :
" Gentils migrants Gentils réfugiés Ne vous changez jamais en Djste "
A propos je viens d'entendre que le Président Russe sera reçu en France en octobre
& aussi : Il a été question de Bachar El Assad
Il a été dit : " devra t-on changé notre opinion vis à vis de lui"
De quelle aide, nous De quelle aide : aurons-nous besoin sous peu, De l'aide de quels pays
Le travail manque, les logements également Le chômage est immense Les impôts sont glanés à l'excès au petit bonheur la chance La crise était grave (et l'est toujours) Et là, nous voici fragilisés plus encore.