Des jets privés pour "vider" Calais de ses réfugiés

10/11/2010

Des jets privés pour "vider" Calais de ses réfugiés

L' ObsPar L' ObsPublié le 19-10-2015

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Streetpress révèle que l'Etat affrète des avions privés pour envoyer des poignées de migrants de Calais ailleurs en France.

Chaque semaine depuis six mois, des jets privés quittent Calais avec à leur bord des migrants ensuite répartis dans d'autres coins de la France, puis libérés. C'est le "système ubuesque" de "répartition de la pression migratoire" sur le territoire que révèle StreetPress dans une enquête publiée ce lundi.

A raison de trois vols par semaine, plus d'une centaine de migrants ont été déplacés depuis six mois, l'objectif étant de "libérer des places" dans le Centre de rétention administratif de Coquelles, comme l'explique la préfecture du Pas-de-Calais. Le centre ne peut accueillir que 79 personnes, alors que 5.000 à 6.000 migrants vivent dans la "Jungle".Plus d'info

Vos réactions....

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17/05/2015

Très " intéressant "

Très réjouissant de savoir les migrants se disperser dans toute
la France.
Pourquoi les suivants stopperaient-ils leur migrations via la France,
Vu tels avantages ;
Ils iront ensuite en préfecture

Pour faire reconnaître leurs droit.

Que peut-on faire d'autre que de les accueillir
Cela évitera sans doute une guerre civil

« Les vertus réelles excusent et plaignent ~ les fausses vertus accusent et déchirent » Paul Thiébault

11/06/2012

ce sont des personnes en situation irrégulière sur le térritoire

si ils veullent entrer il leu suffit de demander un visa

pour ceux qui sont en France

on peut les héberger rue de solférino

ou donner une famille à chaque personne qui les protègent

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17/05/2015

La France est si petite,

Va-t-on arrivé à faire face à la situation entre, les Français de longue date
les Européens
& les réfugiés & migrants.

Il faudra bien, mais à quel prix?
Le " prix " à encourir (au sens figuré) nous ne le connaissons pas

Il y aurait tant à dire, il faut gérer les mots pour se faire
Pour autant :

Comment ne pas penser " à une occupation qui reste en mémoire"