Deux mois après l'attaque du Thalys, Bernard Cazeneuve a annoncé un plan pour lutter contre les "actes terroristes" et les "atteintes graves à la sécurité publique" des usagers.
Un policier belge à côté d'un Thalys à la gare de Bruxelles-Midi, le 22 août 2015 (Francois Walschaerts/AP/SIPA).
Afin de lutter contre les "actes terroristes" et les "atteintes graves à la sécurité publique" des usagers, les agents de sécurité de la SNCF et de la RATP pourront désormais, avec l'accord des passagers, fouiller les bagages ou procéder à des "palpations de sécurité". Si le passager refuse de s'y plier, il ne pourra emprunter les transports.
Renforcement des contrôles et des fouilles dans les transports, suffisant?