Les principaux candidats à la présidentielle promettent des renforts d’effectifs au sein des forces de l’ordre. En interne, cadres et syndicats alertent sur la désaffection dont souffre de plus en plus la police judiciaire.
D’aucuns l’assurent : le chantier de la police judiciaire se trouvera sur la route du prochain président. Les services d’enquête spécialisés seraient de plus en plus boudés par les policiers. Et le « petit judiciaire », traité dans les commissariats, à l’agonie. Le phénomène de désamour dont souffre l’investigation n’est pas nouveau, mais il aurait atteint un niveau critique. « On en est à un stade de dysfonctionnement tel que notre mission de service public est mise en danger », n’hésite pas à affirmer Céline Berthon, du Syndicat des commissaires de la police nationale.
Je remonte se sujet encore d'actualité , il est bien évident qu'avec se qui se passe en se moment les attentas et autres agressions policières qu'il est bien évident que les jeunes réfléchissent beaucoup plus à s'engager sous la pression je pense de la petite amie ou même des parents c'est un fait on y peut rien mais on trouvera surement une solution car il est tout aussi évident qu'on ne peut rester sans force de l'ordre ni militaire