Un programme informatique permettant de déterminer si les moutons souffrent ou sont malheureux a été mis au point par une équipe de chercheurs de l'université de Cambridge au Royaume-Uni dans le but d'améliorer leur bien-être.
Les scientifiques se sont appuyés sur près de 500 photos de moutons collectées par des vétérinaires pour élaborer un algorithme qui détecte certaines expressions sur la tête des ovins. Ils peuvent ainsi déterminer si l'animal souffre, et son degré de douleur.
Le logiciel décèle les yeux mi-clos, les joues creusées, les oreilles repliées, les lèvres étirées, ou les narines déformées, autant d'expressions de la douleur chez le mouton. Il fonctionne aussi pour d'autres espèces, notamment le cheval, le lapin ou certains rongeurs utilisés pour les expériences en laboratoire.
En installant des caméras sur des abreuvoirs ou dans des granges pour scanner le visage des bêtes, les scientifiques pensent pouvoir permettre aux fermiers de détecter plus rapidement les maladie et ou les blessures de leur bétail, et accélérer la mise en place des traitements.
Les humains sont capables de s'exprimer Barateur, donc ils estiment que le malheur et la souffrance chez l'homme est facilement détectable, ce qui bien entendu n'est pas forcément avéré... L'animal ne s'exprime pas, il faut bien le connaitre pour détecter la souffrance... . Mais bon, qd je vois que cela peut servir dans les laboratoires.. qu'est-ce que des animaux font dans des laboratoires hum ? Et pourquoi un logiciel pour eux ? ils souffrent c'est certain, pas besoin qu'on les scanne pour le savoir :/
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barateur
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Merci de votre amitié
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Alors là mon ami Barateur, je ne sais pas ce qu'on attend. Quand je vois la misère, j'offre un sourire, et une pièce (voir plusieurs) et souvent cela fait plaisir, parfois mm que le sourire, parce qu'ils ne se sentent ainsi pas repoussés.
Alors là mon ami Barateur, je ne sais pas ce qu'on attend. Quand je vois la misère, j'offre un sourire, et une pièce (voir plusieurs) et souvent cela fait plaisir, parfois mm que le sourire, parce qu'ils ne se sentent ainsi pas repoussés.