Ah, une bonne salade verte bien rafraîchissante… Tant qu’à faire, pourquoi ne pas la prendre en sachet, pour éviter de s’embêter à la trier, à la laver, à l’essorer ? Les « prêtes à l’emploi » constituent déjà 40 % des salades proposées en rayon. Mais le bonheur n’est pas forcément au fond du sachet.
Passons le fait qu’on les paie trois fois plus cher que les non ensachées. Et que, pour les nappes phréatiques, ce n’est pas la panacée. Comptez en moyenne 20 litres de flotte pour laver un kilo de salade ! Une eau, qui plus est, additionnée de javel, et ce afin d’éviter que les immenses cuves de lavage se transforment en bouillon de culture, avec le risque, ensuite, d’empaqueter sous vide germes et bactéries pathogènes. Sauf que, les résidus de chlore, les chlorates, on les retrouve ensuite sur nos papilles.
Pour ma part, j'ai bien plus confiance dans ces salades "chlorées" à 1 pour 1000, qu'en ces salades sur les étals, depuis on ne sait combien d'heures et tripotées par tout le monde.
N'oublions pas quand même que le procédé de lavage de ces salades est une obligation également imposée dans toutes les collectivités, incluant donc les écoles et les hôpitaux, justement, pour protéger les enfants et les personnes vulnérables, des germes sensibles, responsables de nombreuses intoxications
je préfére les acheter tout seul et les laver moi mêe comme un grand...
la salade en sachet c'est peut être pratique par les femmes qui travaillent et qui n'ont pas le temps pour s'attarder en cuisine... ça rend service. C'est vrai mais il y a qund même interet je crois de les tremper dans de l'eau javelisée ou vinagrées cinq minutes ..
"L'âme est notre demeure, Nos yeux sont ses fenêtres et nos lèvres ses messagers !"
Pourtant une salade que tu viens de cueillir toit même je peux t'assurer qu'au goût y a pas photo.
Rien ne remplace une salade de son jardin sitôt cueillie sitôt lavée et consommée rapidement !
Quand tu te lèves le matin, remercie pour la lumière du jour, pour ta vie et ta force. Remercie pour la nourriture et le bonheur de vivre. Si tu ne vois pas de raison de remercier, la faute repose en toi-même. (proverbe amérindien)