L’éthique de réciprocité ou règle d'or désigne une règle morale dont le principe fondamental est énoncé dans presque toutes les grandes religions et cultures : « traite les autres comme tu voudrais être traité » ou « ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse ». Cette préoccupation est intimement liée au développement de l’humanité depuis ses origines. Elle s’est enrichie et renouvelée et constitue une source d’inspiration essentielle pour l’approfondissement du concept moderne des droits de l'homme.
Source wiki ...
On trouve aussi, la forme positive : "Fais à autrui ce que tu voudrais qu'on te fasse".
Dans quels cas pensez-vous que l'on se doit d'appliquer cette maxime ?
Ces deux citations ont toujours été ma ligne de vie. Je veux pouvoir me dire que j'ai fait de mon mieux pour ne blesser personne, pour être présente lorsqu'ils ont besoin de moi et ce dans toutes circonstances.
Je crois aussi bien à la formule positive que négative. J'ai pu constater que lorsque des personnes m'ont fait du mal (volontairement ou non), le hasard me les faisait croiser sur mon chemin quelques années plus tard comme pour faire ce constat : qu'il leur était arrivé quelque chose qui les a fait remettre en question, alors que pour moi, je n'avais pas de soucis. Et pour les personnes qui m'ont fait du bien, nous sommes toujours rester en contact quelque soit les distances qui nous ont séparées. Curieux, non ?
Même si je répugne à faire aux autres ce que je ne voudrais pas que l'on me fasse force est de constater que parfois c'est la seule issue. Alors j'emploie cette méthode avec parcimonie lorsqu'il n'y a plus de solution.
Le membre suivant remercie pour ce message :
iroise
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Club des Sensibilités Différentes
Bienvenue dans le Club des Sensibilités Différentes
Je crois aussi bien à la formule positive que négative. J'ai pu constater que lorsque des personnes m'ont fait du mal (volontairement ou non), le hasard me les faisait croiser sur mon chemin quelques années plus tard comme pour faire ce constat : qu'il leur était arrivé quelque chose qui les a fait remettre en question, alors que pour moi, je n'avais pas de soucis. Et pour les personnes qui m'ont fait du bien, nous sommes toujours rester en contact quelque soit les distances qui nous ont séparées. Curieux, non ?
Figure toi que j'ai constaté la même chose, au point que maintenant, si on me fait du mal, ça m'atteint moins, je n'aspire à aucune forme de vengeance, sachant que la vie se chargera toute seule des retours de baton
Je crois au karma. Selon mes croyances, nos réincarnations ont pour fil conducteur, le bien et le mal que l'on a fait, durant nos vies précédentes, le but étant de bonifier notre âme.
Si une personne vit à son tour le mal qu'elle a pu faire, elle peut réaliser le chagrin qu'elle a provoqué et en éprouver du remords. Pour exemple, j'ai fait des trucs vraiment méchants quand j'étais enfant. J'étais enfant mais très consciente de ce que je faisais et j'avoue même que cette violence, surtout physique, que je provoquais m'apportait alors, une grande satisfaction. En grandissant, je n'ai rien oublié, mais je suis devenue plus "saine" d'esprit. Je pense que tous ceux à qui j'ai fait du mal l'on oublié, mais pas moi et j'en éprouverais du remord jusqu'à la fin de mes jours. C'est ma sanction et je l'assume, mais au moins, j'aurais payé pour mes mauvais actes, afin de passer, plus paisible, vers une autre vie.
Ce principe guide ma vie. Si je fais du mal à quelqu'un qui ne le méritait pas et que je m'en rends compte, je présenterais systématiquement mes excuses, même si la personne refuse de les recevoir. Présenter ses excuses est une chose, mais on ne peut obliger personne à les recevoir. En contre partie, quant on me fait du mal, sans que je m'en sente responsable, ce n'est pas que je lui souhaite un retour de baton, je suis certaine qu'elle aura un retour de baton, une prise de conscience et le mieux serait que ce soit avant sa mort, afin qu'elle aborde sa nouvelle vie sous de bons auspices.
Maintenant, ce n'est que ma philosophie de vie et donc, ça n'engage que moi ...
Je m'efforce donc de faire aux autres ce que je voudrais qu'on me fasse, mais je n'y parviens pas toujours. Et je fais parfois aux autres ce que je ne voudrais pas qu'on me fasse, parce que j'ai mes faiblesses, mais j'en éprouve toujours du remord tôt ou tard
Je crois aussi bien à la formule positive que négative. J'ai pu constater que lorsque des personnes m'ont fait du mal (volontairement ou non), le hasard me les faisait croiser sur mon chemin quelques années plus tard comme pour faire ce constat : qu'il leur était arrivé quelque chose qui les a fait remettre en question, alors que pour moi, je n'avais pas de soucis. Et pour les personnes qui m'ont fait du bien, nous sommes toujours rester en contact quelque soit les distances qui nous ont séparées. Curieux, non ?
Figure toi que j'ai constaté la même chose, au point que maintenant, si on me fait du mal, ça m'atteint moins, je n'aspire à aucune forme de vengeance, sachant que la vie se chargera toute seule des retours de baton
Pareil pour moi. Je n'éprouve aucune rancœur, et d'ailleurs, c'est parfaitement inutile de se venger ou d'être méchant envers quelqu'un qui a fait du mal.
Et moi aussi, je crois au karma. Chaque être humain est sur terre pour évoluer, perfectionner les dispositions qui sont enfouies en lui, et faire un travail sur soi pour aller vers les autres et pardonner pour aller de l'avant. La vie se charge d'elle-même de remettre les pendules à l'heure lorsqu'il y a un couac.
Je ne souhaite jamais de mal à personne, pas même à celui qui m'en a fait. Est-ce une forme de passivité ? J'en sais trop rien.
Je suis assez brouillonne dans ma tête. Mais je crois au karma pour moi. Je suis intimement persuadée que si je fais du mal, ça se retournera contre moi. Mais je ne le suis pas en ce qui concerne les autres. J'sais pas bien expliquer ma position.
En fait je ne peux tout simplement pas faire souffrir les autres, ce n'est même pas une question de karma. C'est en moi, je ne le peux pas. Si je le fais involontairement, ça me rend malade. Et lorsqu'on me fait du mal, je ne sais pas me défendre, je subis en larmes. Par contre je me rebiffe violemment quand il s'agit de mes proches ou de mes amis. Là je n'accepte pas, je ne permets pas qu'on les touche ou qu'on les blesse.
En fait je ne peux tout simplement pas faire souffrir les autres, ce n'est même pas une question de karma. C'est en moi, je ne le peux pas. Si je le fais involontairement, ça me rend malade. Et lorsqu'on me fait du mal, je ne sais pas me défendre, je subis en larmes. Par contre je me rebiffe violemment quand il s'agit de mes proches ou de mes amis. Là je n'accepte pas, je ne permets pas qu'on les touche ou qu'on les blesse.
Je me retrouve beaucoup dans ce que tu dis la. Par contre, quant on me fait du mal, je me défends, mais ça dépend avec qui. Si c'est une personne en qui j'ai confiance et qui me fait confiance, alors on s'explique, et je pardonne toujours. Si c'est une personne "neutre", je lui pardonne. C'est un ami qui m'a appris les bienfaits du pardon et c'est vrai que ça aide à oublier. Par contre, avec ce genre de personnes neutres, je ne cherche plus à me défendre, à quoi bon... je suis suffisamment bien entourée pour ne pas avoir besoin d'être absolument aimée du monde entier. Ils peuvent penser ce qu'ils veulent, ça me deçoit mais ça ne me rend plus malheureuse
Par contre, moi aussi je défends bec et ongle les gens que j'aime, et parfois, ça me retombe dessus, mais ça m'est égal, la loyauté envers les gens que j'aime est un sentiment puissant que je suis fière de posséder
Je pardonne toujours, je trouve toujours des excuses aux autres même si j'en prends plein la poire. Mais arrivée à un certain stade, après le pardon, j'ignore la personne. Je ne suis pas maso non plus. Je ne cherche pas les coups, j'en ai pris bien plus que de raison depuis ma naissance et maintenant, je dis stop.
Comme toi Pauline, je me targue de deux qualités : loyauté et fidélité à l'amitié. Et quoiqu'il arrive, même si l'ami m'a trahi, je ne regrette pas ce que j'ai donné parce que je peux être fière de moi en ce qui concerne mon amitié. Je l'ai donné gratuitement et j'ai fait de mon mieux.
Franchement Pestoune, c'est surprenant de constater à quel point nous avons les mêmes ressentis sur les mêmes choses. Je suis vraiment contente de te connaitre
Toi aussi Léonore, c'est ce j'ai aimé en toi, dès que j'ai fait ta connaissance. les aléas de la vie, les parasites, peuvent brouiller nos esprits et nos chemins, mais je ne douterais jamais de la qualité de ton âme.
Léonore, tu sembles être quelqu'un de posée, réfléchie. Quand dans un échange, on s'emballe, tu arrives toujours à donner ton avis de façon calme. Je dirais que tu es une personne apaisante. Il y a aussi dans tes écrits une telle retenue, presque un effacement. J'espère qu'au fur et à mesure de temps, tu auras un peu plus confiance et que tu te sentiras à l'aise pour t'exprimer.