Plutôt que de se jeter sur le premier aliment venu, mieux vaut attendre un peu pour en manger un de meilleure qualité, si c’est possible.
Si, en revanche, cette seconde opportunité semble trop difficile, alors prenons ce qui se présente. C’est le raisonnement qu’ont tenu des cacatoès devant des scientifiques, manifestant des capacités cognitives surtout connues chez les primates.
Le cacatoès aime bien la noix de pécan, mais il préfère de beaucoup la noix de cajou. Alors, que fera-t-il si l’une est juste sous son bec alors que l’autre, enfermée à l’intérieur d’un dispositif compliqué, n’est accessible qu’en utilisant un outil ? C’est la question que se sont posée des chercheurs autrichiens du Goffin Lab, à l’école vétérinaire universitaire de Vienne (Autriche).