« Avec du recul, je dirais que les premiers signes se sont manifestés dès le primaire. Pierre était un enfant doué en classe et très sociable, mais il rentrait le soir en se plaignant de violents maux de tête. On a consulté un pédiatre, qui n’a rien diagnostiqué et lui a juste conseillé un peu de repos. J’ai réduit ses activités extrascolaires. Puis il est entré au collège, le même que celui où était scolarisée sa sœur aînée, très réputé. La sixième s’est bien passée, Pierre était porté par l’énergie d’être enfin “au collège” ! En cinquième, il a fini son premier trimestre épuisé. Et les vacances n’ont pas suffi à le remettre d’aplomb. Dès janvier, il ne pouvait plus se lever le matin. J’avais beau le secouer, tirer ses draps, il restait comme une brique dans son lit. Je n’avais pas d’autre choix que de partir au travail, en le laissant là avec la nounou.
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J'avoue être un peu dépassée par ces maladies qui n'existaient pas il y a quelques décennies ...
Oui on entend de plus en plus d'histoires comme celle là et j'avoue moi aussi ne pas comprendre. Cela n'existait pas avant et même de la génération de mon fils ce n'est pourtant pas si vieux.