Les élections européennes n'auront lieu qu'en 2019, mais Emmanuel Macron y pense déjà: elles seront les premières élections au suffrage universel direct depuis son élection. Pas question donc de les laisser passer. En prévision du scrutin, la majorité La République en marche multiplie donc les contacts vers d'autres partis. L'idée, partagée avec Edouard Philippe: "la constitution d'une liste unique qui comprendrait LaREM, les Constructifs, l'UDI, le MoDem et les Radicaux", explique Yves Jégo à L'Opinion. Cette alliance ne serait possible qu'en cas de listes nationales – et pas avec les listes interrégionales actuelles. Une idée que défend Emmanuel Macron depuis son élection, mais dont la mise en oeuvre s'avère compliquée, notamment parce qu'elle implique que chaque pays modifie sa loi électorale.
Une idée que défend Emmanuel Macron depuis son élection, mais dont la mise en oeuvre s'avère compliquée, notamment parce qu'elle implique que chaque pays modifie sa loi électorale.[/url]
Et puis quoi encore ? les autres pays sont-ils obligés de se plier aux desiderata du Président français ?
L'originalité du Parlement européen, note les chercheurs, est que 10% des députés européens sont des «"professionnels de la politique" dans le sens où ils n’ont jamais (ou très peu) occupé un emploi dans un autre domaine d’activité. Il sont plus jeunes que les autres élus et ont souvent commencé comme collaborateurs au sein d’un parti ou auprès d’un responsable politique ou d’un élu.».... franceinfo ICI
C'est ce que nous ont dit les euro-députés qui nous ont reçus, lorsque nous nous sommes rendus a Bruxelles, il n'y a qu'en France que ce sont des professionnels de la politique (recyclage des battus d'autres scrutins)...
Dans le cas, ce serait plus a la France de s'aligner sur le fonctionnement des 26 autres pays ... que l'inverse !