Qu’est-ce qui peut bien pousser certains à vouloir sauter d’une falaise, boire jusqu’à tout oublier, ou faire du stop avec des étrangers tandis que d’autres n’éprouvent aucun plaisir à faire un tour sur les montagnes russes ? Y a-t-il un gène de « poule mouillée » ou une structure cérébrale de « casse-cou » ? Ou bien notre degré d’attraction pour le danger remonte-t-il à la façon dont nos parents se montraient protecteurs ?