Des doyens et professeurs de faculté expliquent au Figaro quels critères ils ont retenu pour choisir leurs futurs étudiants. Certaines filières s'annoncent particulièrement sélectives.
Si le délai très court pour mettre en place Parcoursup inquiète dans les universités, d'autant que beaucoup d'incertitudes financières demeurent, les doyens, professeurs et responsables pédagogiques contactés par Le Figaro affirment qu'ils seront en capacité, dans une certaine mesure, de mieux orienter les jeunes bacheliers. Et de sélectionner les profils les plus adaptés pour les filières «en tension», celles dont les demandes excèdent les places. Les «attendus», ces dizaines de compétences nécessaires pour intégrer les différentes filières, ont été définis nationalement en décembre par les universités avec l'aide du ministère.