L'alcoolisme est un véritable fléau social. Il provoque des troubles du comportements, de l'agressivité et a une interaction directe sur tous les organes du corps humain. L'alcoolisme est un "danger" pour soi-même et pour les autres (accident de voiture avec victimes innocentes par exemple).
L'espérence de vie chez un alcoolique est assez courte.
Voilà en gros le sujet. Maintenant, c'est à vous de donner vos points de vue.
je vais pas faire ma ptite sainte mais boire c'est festif et j'avoue que je ne suis pas contre ! on s'amuse plus ! attention j'dis pas qu'il faut de l'alcool pour s'amuser en soirée hein ? Parfois je bois un verre de vin en mangeant parce que c'est bon voilà rien d'exagéré !! L'alcool ne dois pas servir de "placébo" pour soigner un bobo, surtout pas !! l'alcool est dangereux quand on en abuse mais si on boit de temps en temps je ne vois pas de mal .... de toute façon c'est comme pour tout, l'excès est toujours néfaste!
On boit de l'alcool pour son effet psychotrope. Lydie en est un exemple (tout comme moi) sans le savoir. On boit parce qu'on se sent bien, parce qu'on s'amuse, parce ça détend, parce qu'on est moins timide donc ça nous facilite les contacts. Bref l'alcool parait faire du bien psychologiquement. Alcool est synonyme de convivialité. On se doit de boire en mangeant parce que sinon on sort des rangs. Puis petit à petit, on prend sans s'en apercevoir, un petit verre en rentrant du travail, tous les jours. On se donne du courage avant d'affronter les autres en prenant un petit verre. Bref les raisons deviennent de plus en plus nombreuses et elles nous paraissent toutes bonnes. Et petit à petit, on ne pense plus qu'à ce petit verre, puis on se dit, bah un second ça ne fait pas de mal. Et les verres s'enchainent sans qu'on en est véritablement conscience. Et la dépendance physique est là. L'alcool devient un besoin. Sans sa dose, il y a une véritable souffrance physique et psychologique. Pour se sevrer j'ai lu sur le sujet de Renaud que vous parlez de volonté. Ah cette volonté avec laquelle les bien pensants culpabilisent les autres. Tu bois, la volonté. Tu te drogues ? la volonté. Tu fumes ? La volonté. Tu manges ? la volonté. Or il n'y a pas de volonté qui tienne quand il s'agit d'une dépendance, quelle qu'elle soit. Il y a un processus de sevrage à mettre en place. La première chose, bien plus importante que la sempiternelle volonté dont tout le monde nous rebat les oreilles, c'est l'acceptation. Il faut reconnaitre qu'on a un problème de dépendance. Tant qu'on est dans le déni, tant qu'on se persuade qu'on arrête quand on veut, aucun sevrage imposé ne peut fonctionner. Ce n'est que lorsqu'on a pris conscience du problème, du fait aussi que cette dépendance au lieu de résoudre nos problèmes, ne fait qu'en rajouter d'autres, c'est seulement alors qu'on pourra entrer dans le domaine du sevrage. Le sevrage, c'est beaucoup de souffrance. Les crises de manque sont impressionnantes et graves : delirium tremens, épilepsie, confusion. Un sevrage brutal d'alcool peut entraîner la mort. Ce n'est donc pas anodin, pas facile, la volonté ne sert à rien. Il faut un suivi médical et psychologique. Une fois cette première étape franchit, celle du sevrage, suit une étape psychologique. Il faut apprendre à vivre ses problèmes, son quotidien, ses angoisses sans plus aucun psychotrope. Et c'est là qu'interviennent les alcooliques anonymes.
Mais l'entourage aussi est important. Il faut apprendre à ne plus proposer d'alcool, à mettre à la disposition des gens des boissons non alcooliques. Il faut aussi redonner un statut social à l'alcoolique et surtout ne pas juger son passé. Ces hommes et ces femmes se battent pour se reprendre en main et ils méritent notre admiration.
L'alcool, c'est aussi de la souffrance familiale. Des scènes de violence, des scènes d'humiliations. Des peurs voire des terreurs, des angoisses. C'est une désociabilisation de toute la famille. Oui l'alcool est un fléau même si on prend parfois plaisir à déguster un verre. Ne nous leurrons pas, cela reste une substance dangereuse.
Tout à fait. Boire un verre de temps en temps n'est pas un vice. On connait la plupart du temps nos limites. Après avoir bu un verre ou plus, ont se sent bien, détendu. A ce moment, l'alcool a un effet "anxiolytique". Le tout, c'est de faire attention de ne pas déraper. Qui n'a jamais eu de cuite, une fois dans sa vie ? Personnellement, ça m'est déjà arrivé.
On boit de l'alcool pour son effet psychotrope. Lydie en est un exemple (tout comme moi) sans le savoir. On boit parce qu'on se sent bien, parce qu'on s'amuse, parce ça détend, parce qu'on est moins timide donc ça nous facilite les contacts. Bref l'alcool parait faire du bien psychologiquement. Alcool est synonyme de convivialité. On se doit de boire en mangeant parce que sinon on sort des rangs. Puis petit à petit, on prend sans s'en apercevoir, un petit verre en rentrant du travail, tous les jours. On se donne du courage avant d'affronter les autres en prenant un petit verre. Bref les raisons deviennent de plus en plus nombreuses et elles nous paraissent toutes bonnes. Et petit à petit, on ne pense plus qu'à ce petit verre, puis on se dit, bah un second ça ne fait pas de mal. Et les verres s'enchainent sans qu'on en est véritablement conscience. Et la dépendance physique est là. L'alcool devient un besoin. Sans sa dose, il y a une véritable souffrance physique et psychologique. Pour se sevrer j'ai lu sur le sujet de Renaud que vous parlez de volonté. Ah cette volonté avec laquelle les bien pensants culpabilisent les autres. Tu bois, la volonté. Tu te drogues ? la volonté. Tu fumes ? La volonté. Tu manges ? la volonté. Or il n'y a pas de volonté qui tienne quand il s'agit d'une dépendance, quelle qu'elle soit. Il y a un processus de sevrage à mettre en place. La première chose, bien plus importante que la sempiternelle volonté dont tout le monde nous rebat les oreilles, c'est l'acceptation. Il faut reconnaitre qu'on a un problème de dépendance. Tant qu'on est dans le déni, tant qu'on se persuade qu'on arrête quand on veut, aucun sevrage imposé ne peut fonctionner. Ce n'est que lorsqu'on a pris conscience du problème, du fait aussi que cette dépendance au lieu de résoudre nos problèmes, ne fait qu'en rajouter d'autres, c'est seulement alors qu'on pourra entrer dans le domaine du sevrage. Le sevrage, c'est beaucoup de souffrance. Les crises de manque sont impressionnantes et graves : delirium tremens, épilepsie, confusion. Un sevrage brutal d'alcool peut entraîner la mort. Ce n'est donc pas anodin, pas facile, la volonté ne sert à rien. Il faut un suivi médical et psychologique. Une fois cette première étape franchit, celle du sevrage, suit une étape psychologique. Il faut apprendre à vivre ses problèmes, son quotidien, ses angoisses sans plus aucun psychotrope. Et c'est là qu'interviennent les alcooliques anonymes.
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Merci pour ce beau résumé concernant l'alcool. Tout est pratiquement dit.
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On boit de l'alcool pour son effet psychotrope. Lydie en est un exemple (tout comme moi) sans le savoir. On boit parce qu'on se sent bien, parce qu'on s'amuse, parce ça détend, parce qu'on est moins timide donc ça nous facilite les contacts. Bref l'alcool parait faire du bien psychologiquement.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] :c'est vrai qu'on se sent plus olé olé
Alcool est synonyme de convivialité. On se doit de boire en mangeant parce que sinon on sort des rangs.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] :heuuu non ! on se doit pas ! pour moi ce n'est pas une obliagation !
Puis petit à petit, on prend sans s'en apercevoir, un petit verre en rentrant du travail, tous les jours. On se donne du courage avant d'affronter les autres en prenant un petit verre. Bref les raisons deviennent de plus en plus nombreuses et elles nous paraissent toutes bonnes. Et petit à petit, on ne pense plus qu'à ce petit verre, puis on se dit, bah un second ça ne fait pas de mal. Et les verres s'enchainent sans qu'on en est véritablement conscience. Et la dépendance physique est là.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] :l'alcool pour moi a toujours été festif mais jamais pour me donner du courage ...
L'alcool devient un besoin. Sans sa dose, il y a une véritable souffrance physique et psychologique. Pour se sevrer j'ai lu sur le sujet de Renaud que vous parlez de volonté. Ah cette volonté avec laquelle les bien pensants culpabilisent les autres. Tu bois, la volonté. Tu te drogues ? la volonté. Tu fumes ? La volonté. Tu manges ? la volonté. Or il n'y a pas de volonté qui tienne quand il s'agit d'une dépendance, quelle qu'elle soit. Il y a un processus de sevrage à mettre en place. La première chose, bien plus importante que la sempiternelle volonté dont tout le monde nous rebat les oreilles, c'est l'acceptation. Il faut reconnaitre qu'on a un problème de dépendance. Tant qu'on est dans le déni, tant qu'on se persuade qu'on arrête quand on veut, aucun sevrage imposé ne peut fonctionner. Ce n'est que lorsqu'on a pris conscience du problème, du fait aussi que cette dépendance au lieu de résoudre nos problèmes, ne fait qu'en rajouter d'autres, c'est seulement alors qu'on pourra entrer dans le domaine du sevrage. Le sevrage, c'est beaucoup de souffrance. Les crises de manque sont impressionnantes et graves : delirium tremens, épilepsie, confusion. Un sevrage brutal d'alcool peut entraîner la mort. Ce n'est donc pas anodin, pas facile, la volonté ne sert à rien. Il faut un suivi médical et psychologique. Une fois cette première étape franchit, celle du sevrage, suit une étape psychologique. Il faut apprendre à vivre ses problèmes, son quotidien, ses angoisses sans plus aucun psychotrope. Et c'est là qu'interviennent les alcooliques anonymes.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : comme tout sevrage
Mais l'entourage aussi est important. Il faut apprendre à ne plus proposer d'alcool, à mettre à la disposition des gens des boissons non alcooliques. Il faut aussi redonner un statut social à l'alcoolique et surtout ne pas juger son passé. Ces hommes et ces femmes se battent pour se reprendre en main et ils méritent notre admiration.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] :malheureusement l'entourage ne sauve pas toujours :(
L'alcool, c'est aussi de la souffrance familiale. Des scènes de violence, des scènes d'humiliations. Des peurs voire des terreurs, des angoisses. C'est une désociabilisation de toute la famille. Oui l'alcool est un fléau même si on prend parfois plaisir à déguster un verre. Ne nous leurrons pas, cela reste une substance dangereuse.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] :comme toutes les addictions !!
Tu dis comme toutes les addictions, Lydie. Certes mais nous parlons d'alcool dans le sujet et je me cantonne au sujet. D'autant plus que l'alcool est une drogue légale. On culpabilise les fumeurs mais on ne culpabilise pas les buveurs. C'est quand même un sacré paradoxe.
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bé de toute façon je ne peux rien faire d'autre bon attention ! je n'encourage personne à boire hein ?
Pestoune a écrit:
D'autant plus que l'alcool est une drogue légale. On culpabilise les fumeurs mais on ne culpabilise pas les buveurs. C'est quand même un sacré paradoxe.
bé de toute façon je ne peux rien faire d'autre bon attention ! je n'encourage personne à boire hein ?
Pestoune a écrit:
D'autant plus que l'alcool est une drogue légale. On culpabilise les fumeurs mais on ne culpabilise pas les buveurs. C'est quand même un sacré paradoxe.
ah mais grave !!
Tout à fait. Il ne faut pas encourager les gens à boire. Idéalement et préventivement, il faut déjà aborder le problème de l' alcool aux jeunes et même aux enfants. C'est à nous, les adultes, de ne pas faire la "politique de l'autruche" envers la jeunesse.
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D'autant plus que l'alcool est une drogue légale. On culpabilise les fumeurs mais on ne culpabilise pas les buveurs. C'est quand même un sacré paradoxe.
tout à fait ce n'est pas normal !! cependant je pense que l'alcoolisme profond c'est beaucoup plus désastreux cela engendre souvent des violences qui détruisent les familles
maintenant il ne faut pas tout exagérer un apéro c'est convivial pas obligé de se saouler
Poussin, Le tabac est dangereux et il n'est pas interdit [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Oui l'alcoolisme est une maladie (car c'est une maladie) dégradante et terrible pour l'entourage..
C'est très difficile de s'en sortir.. beaucoup font des cures de désintoxication , sont en forme et jurent de ne plus boire en ressortant mais quelques semaines après, ils replongent.. Et ils reboivent d'autant plus... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
l'alcoolisme touche toute couche de la société et l'on se dit parfois que l'alcoolique avait tout pour être heureux et pourtant il boit..
C'est un mal être que l'alcoolique ressent, une fragilité qu'il a du mal à gérer..
Même si je ne crois pas trop en la guérison , il ya l'exemple de Hervé Chabalier, patron de l'agence Capa qui a raconté dans «Le Dernier pour la route» son calvaire avec l'alcool, et sa guérison..;
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] a écrit:
D'autant plus que l'alcool est une drogue légale. On culpabilise les fumeurs mais on ne culpabilise pas les buveurs. C'est quand même un sacré paradoxe.
tout à fait ce n'est pas normal !! cependant je pense que l'alcoolisme profond c'est beaucoup plus désastreux cela engendre souvent des violences qui détruisent les familles
maintenant il ne faut pas tout exagérer un apéro c'est convivial pas obligé de se saouler
Oui, destruction du tissu familial. Sans oublier aussi la perte de son emploi. Je connais quelqu'un (qui est décédé) qui buvait beaucoup et qui s'est endetté d'une façon "catastrophique".
Bon d'accord, un petit apéro n'est pas un péché. C'est même agréable avant un "barbecue" par exemple.
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Ne présumez pas que vous êtes capable de résoudre le problème d'alcool de votre partenaire. Vous pouvez faire tout ce que vous voulez, vous ne pourrez pas le «sauver». C'est-à-dire que vous ne pouvez pas l'amener à arrêter de faire une consommation excessive d'alcool. Il n'y a qu'une seule personne qui soit en mesure de le faire : c'est votre partenaire et lui seul.
Dans le passé, j'ai été ambulancier-secouriste, bénévole.
J'ai vécu un drame à cause de l'alcool : nous avons été appelé pour une personne inconsciente à son domicile. Nous sommes arrivés trop tard car dame âgé d'une quarantaine d'années était décédée. Elle avait énormément bu de l'alcool et s'est retrouvée dans un coma éthylique. Elle est morte étouffée par inhalation de ses vomissements dans son sommeil profond.
C'est pas très reluisant comme message et pas gai du tout mais je trouve qu'il était important de le signaler. Je suis sincèrement désolé si le message est un peu "heurtant".
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C'est pas très reluisant comme message et pas gai du tout mais je trouve qu'il était important de le signaler. Je suis sincèrement désolé si le message est un peu "heurtant".
Et oui .... j'ai connu ça, les ivresses, les déliriums-trémens etc ... les alcooliques arrivant un peu crasseux ... et je suis modeste ...
Dans le passé, j'ai été ambulancier-secouriste, bénévole.
J'ai vécu un drame à cause de l'alcool : nous avons été appelé pour une personne inconsciente à son domicile. Nous sommes arrivés trop tard car dame âgé d'une quarantaine d'années était décédée. Elle avait énormément bu de l'alcool et s'est retrouvée dans un coma éthylique. Elle est morte étouffée par inhalation de ses vomissements dans son sommeil profond.
C'est pas très reluisant comme message et pas gai du tout mais je trouve qu'il était important de le signaler. Je suis sincèrement désolé si le message est un peu "heurtant".
Il n'y a rien de heurtant face à une réalité. J'aime bien boire un verre parfois mais je connais trop bien la face noire de l'alcool. Il faut voir les choses en face. Et il faut que ça se sache. Certains jeunes choisissent aussi ce moyen pour se suicider. Ils boivent volontairement une énorme quantité d'alcool pour atteindre le coma éthylique puis la mort.
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Lorsque vous prenez la route, votre taux d’alcoolémie doit être inférieur à 0,5 mg par litre de sang. Au-delà, on considère que vous mettez la vie des autres en danger. En effet, à partir de ce taux qui correspond environ à deux verres d’alcool, votre attention diminue, vous êtes moins vigilant, votre vue se trouble, vos réflexes sont plus lents et votre temps de réaction est plus long. L’alcool au volant peut vous coûter cher. Lors d’un contrôle d’alcoolémie, si vous êtes en infraction, entre 0,5 et 0,8 mg/l vous risquez de perdre 6 points sur votre permis, 135 euros d’amende, et une suspension de votre permis de conduire pouvant aller jusqu’à 3 ans. Au-delà de 0,8 mg/l, ces sanctions sont plus lourdes. En cas de récidive, votre permis peut être annulé, l’amende peut aller jusqu’à 9 000 euros, et vous risquez une peine de 4 ans de prison. Dans tous les cas, votre véhicule est immobilisé et vous pouvez être mis en garde à vue jusqu’à 72 h.
ce taux est une hypocrisie monstre. Il est impossible de savoir quand l'alcool devient un danger. Pour certain, le moindre verre a des conséquences sur les réflexes, l'attention, la vision, pour d'autres 3 ou 4 verres ne portent pas à conséquence. De ce fait, il me parait plus logique d'avoir une tolérence 0 pour celui qui prend le volant.