Sujet d'interrogations, la station Tiangong-1 devrait entrer en collision avec la surface de la Terre le 31 mars. Reste à savoir où. Les spécialistes ne redoutent pas nécessairement des dégâts.
Chinese Manned Space Engineering office La station spatiale chinoise Tiangong-1, ici en action en 2013, doit entrer en collision avec la Terre dans les jours à venir. Mais où va s'écraser Tiangong-1? La question attise la curiosité de celles et ceux qui ont la tête dans les étoiles. La réponse, elle, devrait tomber ce week-end. En même temps que cette station spatiale lancée dans l'espace en 2011 et dont le contrôle interroge grandement. Si l'on en croît les spécialistes, une perte de contrôle n'est pas rare. Le problème, c'est que cela empêcherait les scientifiques chinois de s'assurer que l'engin s'abîmera dans un océan. Pire: il est bien difficile de savoir où le "palais céleste" (c'est son nom en chinois) finira sa course. Alors qu'en début d'année, la Chine affirmait que l'engin était sous contrôle, les questions demeurent. Une zone de chute très (très) large
En entrant dans l'atmosphère, cette station spatiale de 8,5 tonnes va dans un premier temps se fragmenter en plusieurs morceaux et que "la plupart (d'entre eux) vont être détruits par la chaleur" mais les débris qui peuvent subsister et impacter la terre, restent dangereux.......si l'impact se produit dimanche, jour de Pâques, les œufs qui vont tomber du ciel, ne seront peut être pas tous en chocolat...
En vol incontrôlé depuis 2016, la station spatiale chinoise Tiangong-1 s'est finalement désintégrée en pénétrant l'atmosphère terrestre dans la nuit de dimanche à lundi. Plus de peur que de mal: la station spatiale chinoise Tiangong-1 s'est désintégrée lundi en plein vol alors qu'elle regagnait la Terre au-dessus du Pacifique, au terme de deux années d'évolution incontrôlée en orbite.
Après plusieurs journées d'incertitude, le laboratoire spatial a fait sa rentrée dans l'atmosphère lundi vers 00h15 GMT (2h15 à Paris), a annoncé le CMSEO, le bureau chinois chargé de la conception des vols spatiaux habités. L'organisme d'Etat n'a pas fourni les coordonnées exactes du point de chute, évoquant seulement "la partie centrale du Pacifique sud".