Les députés ont accepté que d’ici 2022, au moins 20 % des produits proposés en restauration collective soient issus de l’agriculture biologique. Reste la question du coût. Les députés ont adopté samedi l’article 11 du projet de loi sur l’agriculture et l’alimentation, qui répond selon le ministre Stéphane Travert à « un engagement présidentiel ambitieux » : d’ici 2022,
Un surcoût de 68 centimes par repas Pour le ministre, il n’y a pas de lézard tarifaire : les mesures visant à limiter le gaspillage alimentaire permettraient « un balayage » du surcoût lié au bio dans les cantines, estimé par le ministère à 68 centimes par repas -ce qui pourrait revenir à plus 90 € par an et par élève.
chaque commune de décider la part de bio le risque avec cette loi, c'est qu'une grande partie des fruits et légumes vont être importés pour arriver à 50% sans trop de surcoût, et en plus de pays qui ont des normes bio moins strictes que chez nous ! une décision qui va couter plus cher, qui ne sera plus acheté aux producteurs français qui ont un cahier des charges contraignant, et qui va réduire la qualité de la nourriture!