Les cordonniers sont souvent les plus mal chaussés. Et les futurs psychiatres ne semblent pas échapper à l’adage. Selon une étude Française récemment publiée dans le Journal of Affective Disorders , les internes en psychiatrie seraient plus nombreux à fumer, à boire de l’alcool, à consommer des drogues ou encore à prendre des antidépresseurs et des anxiolytiques que leurs jeunes collègues des autres spécialités. Comble de l’ironie: de tous les internes en médecine, ce sont eux qui fréquentent le plus les cabinets de psychiatres.
Comment voulez-vous connaître les méfaits des ""diverses drogues"" sur les patients si ..... vous ne les avez pas essayés vous-même ? et ça ne date pas d'aujourd'hui ! Et lorsque l'on commence il est difficile de s'arrêter ... même pour eux !