L'ancien secrétaire d'Etat comparaît le 11 juillet au tribunal correctionnel de Paris pour "violences", "injures" à caractère racial et "outrage" à agents, après une nuit alcoolisée dans un bar de la rive gauche. Portrait de cet homme dont la chute est à la hauteur des ambitions qu'il s'était fixées.
Des ors de la République aux petits matins glauques... Jeudi 5 avril, l'ancien secrétaire d'Etat Jean-Vincent Placé était en garde à vue après une nuit alcoolisée dans une boîte de nuit de la rue Princesse, à Paris. Relâché après 37 heures passées au commissariat du 5e arrondissement, l'ancien secrétaire d'Etat doit être jugé le 11 juillet devant le tribunal correctionnel de Paris pour "violences volontaires" sans incapacité en état d'ébriété,
Violences, outrage et insultes : 6 mois de prison avec sursis et 2 ans de mise à l'épreuve requis contre Jean-Vincent Placé
Après son interpellation en état d'ébriété avancé, l'ancien secrétaire d'Etat Jean-Vincent Placé est jugé par la 10e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Le jugement a été mis en délibéré au 10 septembre. Le procureur a requis six mois de prison avec sursis, deux ans de mise à l'épreuve et 1000 euros d'amende à l'encontre de l'ancien secrétaire d'Etat Jean-Vincent Placé. Ce dernier était jugé mercredi 11 juillet devant le tribunal correctionnel de Paris pour "violences", "injures à caractère racial" et "outrage sur personnes dépositaires de l’autorité publique", lors d'une soirée arrosée à Paris au mois d'avril dernier. Le jugement a été mis en délibéré au 10 septembre..