En quelques heures, Facebook est passé, mercredi 25 juillet, d'une valorisation de 539 milliards d'euros à 437 milliards d'euros. Une dégringolade qui montre l'inquiétude des marchés mais qui ne signe pas forcément le déclin de ces géants du web.
Facebook n'avait encore jamais connu une telle dégringolade depuis son introduction en Bourse, en 2012. Mercredi 25 juillet, son action cotée sur le Nasdaq a perdu près de 20% de sa valeur, pour atteindre 176 dollars l'unité (environ 150 euros). Les chiffres donnent le vertige : en quelques heures, l'entreprise est passée d'une valorisation de 630 milliards de dollars (539 milliards d'euros) à 510 milliards (437 milliards d'euros).