Malgré le froid polaire et l’oxygène raréfié, les pentes de l’Everest n’échappent pas aux déchets. Une expédition française, menée par l’association Montagne et partage, vient d’en apporter une nouvelle fois la preuve en redescendant au cours du mois de mai plus de 5 tonnes de déchets du plus grand sommet du monde.
Même à plus de 7 000 mètres d’altitude, les traces du passage de l’homme parsèment la nature. Malgré les efforts redoublés d’alpinistes amoureux du toit du monde, l’Everest déborde d’ordures abandonnées par des grimpeurs peu scrupuleux. Une situation que le Népal peine à faire changer.
Les éboueurs français
Malgré le froid polaire et l’oxygène raréfié, les pentes de l’Everest n’échappent pas aux déchets. Une expédition française, menée par l’association Montagne et partage, vient d’en apporter une nouvelle fois la preuve en redescendant au cours du mois de mai plus de 5 tonnes de déchets du plus grand sommet du monde. « On a dû laisser cinq autres tonnes qui étaient visibles, et il y en a encore bien plus qui ne se voient pas, dans les crevasses », témoigne Gérard Clermidy, président de l’ONG et membre de cette expédition écologique,
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L'homme est un gros porc. Incroyable et je ne comprends pas. On redescend avec ses déchets, ça me parait tellement évident.
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