Yann Moix : ses confessions sur sa maltraitance durant son enfance (vidéo)
Yann Moix : ses confessions sur sa maltraitance durant son enfance (vidéo)
Pensez-vous que Yann Moix a eu raison de mettre ses parents au grand jour pour maltraitance ? Les plateaux TV, c’est comme les cours de théâtre ! ce ne sont pas des séances de psychanalyse à ciel ouvert ! D'accord ? pas d'accord ? Vos réactions ...
Qu'il parle de sa vie privée sur un bouquin, quoi de plus normal. Personne n'est tenu d'acheter son bouquin mais qu'il évoque cette vie privée sur un plateau de TV je trouve cela déplacé , mais ce n'est que mon avis. Peut-être que cela éveillera des esprits auquel cas cela aura un intérêt !
Chacun réagit à sa façon face à ce qu'il vit. Certains ont besoin d'en parler, d'autres le cachent, d'autres encore tentent de l'oublier.
Ce qu'il a vécu est dur. Effectivement, il nous place dans la position de voyeurs. Mais néanmoins, c'est aussi une façon de dire à tous ceux vivant ou ayant vécu des situations de maltraitance que malgré tout, on peut s'en sortir dans la vie. On peut réussir sa vie malgré les blessures, les traumatismes. Je le prends comme ça.
Yann Moix a toujours été un écorché vif chaque fois que cela concernait les enfants. Je l'ai vu s'emporter ou s'émouvoir face à certains témoignages. Il est à fleur de peau. Il a choisi la voie médiatique mais c'est aussi sa profession. Cela ne me choque pas. Quant au père, il n'allait quand même pas avouer ces actes et ceux de sa femme.
Que dire ? si cela le soulage, tant mieux... On n'est pas obligés de l'écouter ni de le lire. Mais je doute que toutes les personnes ayant vécu un tel enfer et ayant ce courage de divulguer les faits, soient capables de continuer à vivre normalement après cela.
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tout à fait ! en plus il est impossible de savoir qui dit la vérité mais les accusations contre Yann Moix sont fortes !! de toute façon, je garde un mauvais souvenir de son goût pour les jeunes femmes et comment il ose se justifier ! c'est très méprisant envers les autres et surtout dénote un gros problème de maturité chez cet homme !il fait dans l'auto-fiction, il y va vraiment très très fort..... je ne goûte pas ce genre littéraire... un coup de marketing voilà !
C'est une affaire bien délicate.... Yann Moix a opté pour l'écriture afin d'exprimer sa souffrance et son son vécu, effectivement nous ne sommes pas obligés de le lire ni de l'écouter.
Ce qui me gêne un peu dans cette affaire, c'est pourquoi ne pas avoir saisi la justice ?
Je ressens une certaine gêne, car on rentre dans un système médiatique ( télévision, livres ) cette famille " communique par livres ou lettres interposées, c'est étrange.
Si les faits sont avérés, il faut que la justice soit rendue.
«Mon frère, ce bourreau» : la lettre d’Alexandre à son frère Yann Moix Dans une lettre ouverte que nous publionsExclusif : Le Parisien
« Mon frère, ce bourreau », par Alexandre Moix a écrit:
Je n'ai pas de frère.
Je suis le « mec qui habitait en même temps que Yann chez ses parents ». « Un médiocre ». « Une entité génétique similaire qui se balade quelque part sur Terre ». « Un raté ». Dernièrement, un « néo-nazi » ! Le sérail m'informe régulièrement des fulgurances moixiennes de mon frère à mon sujet…
« Ton frère te voue une haine infinie », m'a récemment confié un de ses plus vieux amis. Je l'ai toujours su au fond, mais sa confirmation est une gifle. Cinglante. Ma naissance, 4 ans après la sienne, aura donc été son chaos. La fin de son monde. Je serais venu sur Terre uniquement pour achever son règne. J'aurais, paraît-il, enfanté son malheur. Ma naissance n'aura été qu'un putsch.
Devenu adulte, j'ai longtemps déploré son absence mystérieuse et inexpliquée ; son silence, brutal, long, obscur. J'ai d'abord essayé de les comprendre, de les disséquer, d'en chercher les fondements. De guerre lasse. Je suis devenu un spectateur occasionnel, abasourdi de ses outrances, de ses mauvaises humeurs médiatiques, de ses prises de positions fielleuses, de sa harangue belliqueuse. Le soi-disant sniper est en fait un serial killer qui guette sa proie et la dépèce. Jusqu'à la prochaine.
Quand, au lendemain de ses inégales interventions, on me posait la question de notre parenté, un malaise profond m'envahissait. Voilà qu'on m'associait à cet être distribuant de la haine sur les plateaux de télévision et partout où il posait le pied.
Exister avec ce nom si encombrant forçait alors le respect. Ce nom - son précieux - qu'il protégeait avec hargne, était l'objet récurrent de ses menaces téléphoniques nocturnes : « Je vais t'envoyer des mecs chez toi qui te feront faire passer l'envie d'utiliser mon nom, pt'it con ! Il n'y a qu'un Moix sur Terre ! Et il n'y aura qu'un Moix dans la littérature ! Il n'y aura qu'un Moix dans le cinéma ! Moix, c'est MOI ! », éructait-il, avant de raccrocher, me laissant hagard pour le restant de la nuit. Moix, c'était lui. Moi, je n'étais que moi. Misérable et médiocre. Raté, il l'avait décrété. Tel serait mon avenir. Partout, j'avais désormais la sensation de voler mon nom, d'usurper son identité.
Dans sa vie, mon frère n'a que deux obsessions : obtenir le Prix Goncourt et m'annihiler. Me nier, m'éliminer, me rayer de la carte. Par tous les moyens. Physiquement ou moralement.
Il y a quelques années, je tombais par hasard sur une émission de radio. À la question : avez-vous des frères et sœurs, Yann répondait aussitôt : « Non. Enfin si… Enfin, c'est tout comme… Il y avait à la maison un collabo qui me caftait à la Kommandantur ! ». Si j'étais son collabo, il était mon tortionnaire.
J'ai subi 20 ans durant des sévices et des humiliations d'une rare violence de sa part. Ceux-là mêmes qu'il décrit dans son roman, en les prêtant à nos parents. J'aurais rêvé d'un grand frère protecteur. Mais Yann était un grand frère destructeur. Chaque phrase qu'il m'adressait me sonnait comme des uppercuts. Il s'exerçait déjà sur moi à tester ses aphorismes de haine. Les mêmes qu'il assène dans ses arènes médiatiques. J'en retrouve parfois certains.
En matière de sévices, Yann faisait preuve d'une imagination débordante. Je rêvais d'un frère au cœur d'artichaut, il était mon Orange mécanique.
Tentative de défenestration du premier étage et de noyade dans la cuvette des toilettes quand j'avais 2 ans, passages à tabac récurrents dès que nos parents s'absentaient, destruction systématique de mes nouveaux jouets, jeux, maquettes, matériel de sport, souillage et appropriation de mes livres…
Je ne compte plus les matins où, pris d'une colère terrible, aussi soudaine qu'incontrôlable, il envoyait valser, sans autre raison que ma seule présence, la table du petit-déjeuner à l'autre bout de la cuisine.
Je me souviens comme si c'était hier de ce jour, où, m'attrapant violemment la main, il me la coinça de toutes ses forces entre les persiennes métalliques de notre chambre et les referma sur mes phalanges. La douleur fut si intense que j'en tombais dans les pommes. Le lendemain, j'avais perdu tous les ongles. J'avais 10 ans.
Et cette fois, où, adolescents tous les deux, il me pourchassa, pour ne pas avoir voulu lui obéir (car il me fallait être à ses ordres) dans toute la maison avec un énorme couteau de cuisine en hurlant - prêt à me tuer - qu'il allait me « saigner comme un goret ».
Cette fois aussi, où il m'enferma à clé et me laissa prisonnier dans le grenier exigu de l'immeuble de notre grand-mère durant une journée entière alors que je n'avais que 7 ans.
Et puis toutes ces nuits d'effroi, où, à pas feutrés, il se glissait jusqu'à mon lit pour m'étrangler ou m'asséner des coups alors que je dormais déjà. Ses poings pleuvaient sur ma couette comme des giboulées. Mes parents ne se réveillaient pas, comme il l'écrit dans son livre, à cause de ses cauchemars incessants, mais en raison de mes cris de douleur ou de terreur.
Quant aux humiliations morales et verbales, elles étaient mon lot quotidien. En public, en privé. La plupart du temps savamment calculées, orchestrées à dessein (l'improvisation n'étant pas son fort), elles faisaient mouche à chaque fois et me laissaient KO. Je le revois me glissant insidieusement, deux heures avant l'épreuve écrite du bac français : « Tu ne l'auras jamais ! Tu es mauvais. T'es nul. T'es un médiocre… ! ».
Et, des années plus tard, alors qu'il avait déjà publié plusieurs romans et qu'il avait appris que de mon côté, sans l'aide de personne, je tentais également ma chance, il me réveillait encore la nuit, haineux, pour me hurler : « Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour que JAMAIS, JAMAIS, tu ne sois publié ! JAMAIS ! ». La campagne de déstabilisation dura plusieurs mois. Ces menaces furent d'ailleurs suivies d'effet, puisqu'il empêcha purement et simplement la parution de mon premier roman « Second Rôle » chez un grand éditeur. L'éditeur, navré, m'en fit lui-même la confidence. J'apprends aujourd'hui, car tout finit par se savoir, que mon frère se serait vanté d'avoir également tout fait pour me nuire dans le milieu du cinéma…
Malgré tout cela, je lui pardonnais quand même. Naïveté d'un cadet qui lève des yeux d'admiration sur son grand frère ou syndrome de Stockholm ? Il y a quelques mois encore, je me suis surpris à un élan de tendresse fraternelle. Je le voyais comme un Petit Prince malheureux sur sa planète, un Petit Prince abîmé par les corrections qu'il écopait de mon père, mais qui, pourtant, faisaient suite aux sévices, eux bien réels, qu'il m'infligeait. Tiraillé entre le supplice qu'il me faisait subir et ses pleurs lorsqu'il se faisait corriger, je me sentais coupable.
Aujourd'hui, je ne peux plus le plaindre, le couvrir ni me taire. Il sacrifie la réalité sur l'autel de ses ambitions littéraires. C'en est trop.
Face à l'ampleur des immondices qu'il déverse dans son roman et dans les interviews qu'il donne, j'avais préféré imaginer un instant que mon frère avait pu y croire lui-même, qu'il s'était laissé abuser par une psychothérapie déviante, de celles qui font s'approprier des faux souvenirs, de celles qui font dénoncer des crimes qui n'ont pas été commis. De celles qui prônent la libération de la parole, quelle qu'elle soit, même fantasmée. Or j'ai appris que Yann se vantait en privé d'avoir tout exagéré, à l'excès, à dessein.
Combien aurais-je préféré que Yann relevât de la psychiatrie plutôt que d'une volonté calculée, affirmée, assumée, de nuire à toute une famille qu'il ne connaît plus, qu'il ne connaît pas.
Se dressant comme le porte-flambeau de la cause des enfants malheureux, il pose, s'affiche, professe, mais n'écoute pas la souffrance des autres dont il se moque éperdument. Yann vit dans un autre monde : son nombril.
Tout ce qui n'est pas lui, issu de lui, autour de lui, à propos de lui est jeté à la curée et condamné sans sursis par son tribunal, sa colère et sa hargne.
Petit Prince déchu. Machiavel cynique et névrosé prêt à tout. On pardonne la folie. Mais pas le révisionnisme ni le mensonge outrancier. Pas plus que l'accaparation du monopole de la souffrance infantile quand il s'agit de l'utiliser à des fins purement marketing et commerciales pour vendre coûte que coûte. Sous prétexte de réaliser une Œuvre, faire passer ses parents pour des bourreaux en leur attribuant la paternité de sévices imaginaires ou de ceux dont il était lui-même l'auteur à l'encontre du frère - judicieusement oublié du roman - confine à la perversité la plus sourde. C'est une monstruosité littéraire.
Il invente et s'en lave les mains. Les véritables victimes de maltraitance sont bernées. Elles lui ont donné leur confiance, lui ont livré leur plus douloureux secret, ont versé leurs larmes à ses pieds, l'ont nommé chef de file de la lutte contre la violence. Imposture. Trahison d'un bourreau travesti qui ose se faire le porte-voix des victimes. Car l'enfance dont il dit être le nouveau défenseur lui est totalement étrangère. La seule enfance qu'il connaisse, qu'il considère, qu'il chérisse, c'est la sienne.
De mes quatre enfants, il n'en connaît aucun. Je leur apprends le sens de la fraternité, de la famille, loin de ses névroses, et je me félicite de vivre à bonne distance de ses abjections.
Mes enfants, tous les enfants, méritent la vérité.
« Mon frère, ce bourreau » : Le frère de Yann Moix l’accuse à son tour d’affabulation
Citation :
Un « Machiavel cynique et névrosé prêt à tout »
Dans ce nouvel acte du règlement de compte familial des Moix, il explique que l’enfance martyre racontée dans Orléans est en réalité la sienne. « J’ai subi 20 ans durant des sévices et des humiliations d’une rare violence de sa part. Ceux-là mêmes qu’il décrit dans son roman, en les prêtant à nos parents », assure-t-il. « Les corrections qu’il écopait de mon père, mais qui, pourtant, faisaient suite aux sévices, eux bien réels, qu’il m’infligeait », écrit-il.
Un enfant qui devient un agresseur est souvent signe d'avoir été lui même agressé. On en revient au même point. Si Yann Moix a vécu l'enfer décrit, il n'est pas anormal qu'il ait reproduit le même comportement avec son frère. Une haine s'est installée entre les deux frères qui n'a cessé de grandir en même temps qu'eux.
Je vois là un signe d'un comportement parental déviant.
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Je pense également qu' un enfant ne reproduit que ce qu' il voit ou subit lui-même. Sauf à ce que Yann Moix soit schizophrène ou souffre d'une autre pathologie du même type, ce qu' il a fait à son frère est le reflet de comportements auxquels il a été lui-même confronté. Et dans ce cas, il doit y avoir du lourd dans cette famille pour qu' on en arrive à une personnalité comme la sienne !
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Quand on lit le témoignage du frère, on est tout simplement atterrés par le comportement de Yann Moix.. le peu que je connaisse de lui (chez Ruquier,ONPC), est celui d'un homme intelligent mais arrogant!
çà ne m'étonnerait pas qu'il ait fait subir des maltraitances à son frère!
Maintenant reste à savoir si ses parents sont à l'origine de telles violences..
C'est marrant comme vous donnez du crédit à un type que vous ne connaissez pas. Tout ce qu'on sait du frère de Yann Moix c'est ce qu'il en dit et le fait qu'il y a plusieurs années, il a déjà tenté de le démonter. Pourquoi plus de crédit au frère qu'à Yann Moix lui-même ? Je pense que ce qu'il raconte de sa vie vous parait tellement intolérable que vous préférez une forme de négationnisme. L'existence des enfants martyres doit être tue. On ne doit pas voir, pas savoir et c'est comme ça que beaucoup d'entre eux sont morts.
On peut ne pas aimer l'homme mais de là à douter de tout ce qu'il écrit et de lui imputer le délit de sale gueule. Moi je le crois, je n'ai jamais douté. Même si parfois l'homme m'a mis en colère, j'ai toujours senti en lui une faille énorme. Cet homme qui ne sourit quasiment jamais, toujours extrêmement sérieux, capable d'emportements soudain et ayant tellement à coeur le sort des enfants porte en lui une blessure énorme. Chacun se construit comme il peut. Certains dans la révolte et la colère, d'autres dans l'auto destruction avec l'apparition de maladies souffrantes, d'autres encore dans l'empathie. Mais il y a quelque chose, chez les uns et les autres qui fait qu'on se reconnait.
Des amis de Yann Moix témoignent aujourd'hui de ce qu'ils ont vu et vécu avec lui dans son enfance et ça va dans le sens de ce que l'écrivain a raconté dans son livre.
Deux amis d'enfance de Yann Moix prennent sa défense
Je fais remonter ce sujet. Je trouve ça drôle que tout le monde ait commenté en long et large ce que le frère a dit mais que personne ne relève le témoignage d'amis d'enfance de Yann Moix.
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(...) «J’ai choisi de témoigner, mais je ne veux pas divulguer mon identité. Parce que je ne veux pas que la haine déversée sur les réseaux sociaux autour de l’histoire de Yann, notamment par son frère Alexandre, m’atteigne. Il y a dix ans, ce dernier avait déjà monté un site Internet contre Yann. Cela fait longtemps qu’il utilise ces canaux pour lui nuire. Il fut un temps où Yann le soupçonnait de modifier sa page Wikipedia. Lire l'article
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] c'est qui ces copains , .. anonymes .. Hmmm un article qui ne me semble pas crédible avec des personnes anonymes .... "pour ne pas être harcelé sur les réseaux sociaux !" mais quelle lâcheté ses amis ! on assume jusqu'au bout ses dires ....
L'un est anonyme mais pas l'autre. D'un côté je comprends quand je vois la réaction du frère que cet homme veuille protéger les siens. Et l'autre a clairement dit qui il était et a spécifié que Yann Moix était le parrain de son fils. Ce sont de vrais amis qui apportent leur soutien. Même sans vouloir être cité, pour l'un, au moins il a fait l'effort de témoigner pour dire ce qu'il a vu et vécu avec l'écrivain. C'est mieux que l'indifférence de tous les autres qui se sont tus et qui se taisent encore tout en sachant
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L’Express accuse Yann Moix d’avoir écrit des textes négationnistes
Citation :
Après avoir dévoilé que l’écrivain Yann Moix avait réalisé des dessins à caractère antisémite lorsqu’il était étudiant, L’Express est revenu à la charge mardi en affirmant que l’auteur d’Orléans a publié à la même époque des textes négationnistes, ce que l’écrivain a admis dans Libération.
« Le romancier n’a pas seulement dessiné des caricatures antisémites. Contrairement à ce qu’il affirmait lundi à L’Express, il a également écrit des textes négationnistes. Yann Moix a menti », a révélé l’hebdomadaire mardi soir sur son site Internet.
L’écrivain a reconnu être l’auteur de ces textes négationnistes. « J’assume, j’endosse tout. Ce que j’ai fait à l’époque avec trois ou quatre cons, on était des types complètement paumés », a affirmé l’écrivain dans l’édition de Libération à paraître mercredi. « Ces textes et ces dessins sont antisémites, mais je ne suis pas antisémite (…) Aujourd’hui, l’homme que je suis en a honte », se défend l’écrivain qui se présente comme « le meilleur défenseur du judaïsme ».
Ce n'est pas un scoop. Il en avait déjà parlé lui-même. Son frère l'avait déjà dénoncé à ce propos aussi. A 21 ans j'étais anarcho-trotskiste et j'ai évolué, compris des choses. Comme chacun d'entre nous ici, du moins je l'espère. On a une vie pour apprendre de nos conneries. Ceci dit, s'il a publié ce texte, il ne l'a pas écrit et ça aussi il l'avait dit.
Et ça n'enlève en rien ce qu'il a vécu enfant. Bref le délit de sale gueule continue. On ne peut pas lui donner du crédit parce qu'on ne l'aime pas. Je ne l'aime pas plus que vous et pourtant, je suis sûre qu'il a été maltraité.
C'est un homme qui s'est construit en se forgeant une carapace blindée. Il crache son venin quand il a quelque chose à dire. Personne ne sait les souffrances portées derrière la carapace. Mais on ne lui pardonne pas de ne pas se comporter comme une victime. S'il avait été effacé, larmoyant, on aurait cru plus facilement à son histoire. Or c'est l'inverse. C'est un agressif, un mordant, un combattif.
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Tout comme son ex-femme, Marie-Pierre Lamouroux, avec qui il a été en couple entre 2012 et 2015. Dans une interview accordée au Point, elle assure que Yann Moix est incapable d’être violent. « Pour moi, la polémique est honteuse et absurde. J’ai du mal à comprendre ce déballage familial. C’est nier une nouvelle fois ce qu’il a pu vivre. Il doit justifier son statut de victime ! C’est une double peine : souffrir dans l’enfance et ensuite devoir se justifier », a-t-elle confié, avant de préciser que Yann Moix avait déjà parlé de ces sévices dans son livre Panthéon. « Ni son père, ni son frère n’étaient intervenus, pourquoi le font-ils aujourd’hui, si ce n’est pour lui nuire ? »
De son côté, Yann Moix a décidé continuer le « déballage familial » et de s’exprimer pour répondre à son frère Alexandre. Dans une interview accordée àL’Expresslundi 26 août, il a déclaré : « Mon frère a toujours été une balance. Mon père me frappait à coups de poing et de fil électrique sur une seule remarque, un seul caprice, une seule plainte émanant de lui. » L’écrivain a continué, qualifiant son frère de « raté » : « Il a toujours souhaité être moi. Il recopiait mes dissertations, tapissait sa chambre des mêmes affiches que moi, a fait un film intitulé Ultimatum sur les sosies après que j’ai fait Podium, a créé des sites Internet pour me nuire, s’est fait passer pour des femmes pour me parler sur Internet. » Et Yann Moix a conclu : « Aujourd’hui, il tente même de me voler mes raclées ! »
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Je ne me pose pas cette question Provençale. Beaucoup de témoignages en faveur de Yann Moix et la cellule familiale seule contre. Pour moi c'est parlant. Comment mieux se dédouaner qu'en accusant la victime de mentir et en essayant de retourner les faits contre elles.
Le principe est le même pour les violeurs qui essayent de faire passer leurs victimes comme provocatrices et aguicheuses. Les coupables sont les victimes. Les bourreaux ont les mains pleines mais clament leur innocence;
en fait Yann Moix est un homme déchiré, fracturé qui oscille en permanence entre haine et amour, entre colère et désir de plaire ... à lui-même bien évidemment d'abord, vu son ego exacerbé je trouve !!
Il s'est construit comme il l'a pu avec ce qu'on ne lui a pas donné et la violence qu'on lui a distribué. Et même s'il a un ego qui parait surdimensionné, nul ne sait comment il se sent dans sa tête Et je ne suis pas certaine qu'il soit ce qu'il parait. Lorsqu'on a des failles, il faut savoir les contourner pour vivre au mieux. Chacun à sa façon mais toujours dans la souffrance. Toujours
SOURCE 1 : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] SOURCE 2 : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Je ne sais pas si c'est excusable, j'en sais rien... ce que je sais en revanche, c'est ce que ça m'inspire : un haut-le-cœur !
Je ne sais pas si Moix a été un enfant battu et je vais vous dire, ça ne me regarde pas. Je n'y étais pas. Je laisse toussa entre les mains de ceux qui sont compétents pour proclamer des sentences : juges, jury...
Ce que je sais c'est que ses textes et ses dessins me filent la gerbe et j'crois qu'il faut être un bon dieu de taré pour écrire des trucs pareils et se planquer derrière un passé douloureux n'est rien de moins qu'une insulte pour tout ceux qui ont vécu des "blessures d'enfance" et qui pour autant, ne sont pas devenus des racailles, des racistes ou des antisémites. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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Il avait 20 ans, il en a 50 passé. Il a évolué heureusement. Qui peut affirmer ne pas avoir évolué dans sa vie ? Ne pas avoir compris des choses qui lui ont fait changer ? Moi non.
Je le défends, je le répète non pas parce que j'aime l'homme mais parce que je comprends son parcours, je comprends ses déviances passées, ses souffrances et le poids qu'il porte. Par expérience, partiellement par vécu personnel, je comprends son cheminement personnel.