2h INFO - Paris : Alerte Maximale dans les bars mais pas dans les transports... Ligne 13 du métro parisien, bondée après une interruption de service à 7h45, les voyageurs sont masqués certes mais sans distanciation physique.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : chercher l'erreur !! Sans compter que même lorsque cela se passe bien, les gens restent collés les uns sur les autres.
Je ne comprends pas non plus la logique de ces mesures
Les travailleurs qui utilisent ce service public pour se rendre à leur boulot peuvent être soumis à des conditions sanitaires dangereuses mais si ces travailleurs décident de se distraire , de prendre un moment pour eux ça leur est interdit pour raisons sanitaires ... allez comprendre Sans compter l'impact économique de tout ce secteur privé
ça semble en effet très étrange ... mais dans le 1er cas les gens n'ont pas le choix, il faut aller au travail, dans le second personne n'est obligé d'aller dans un bar, même si cela permet de poursuivre les relations sociales indispensables.
Je peux comprendre facilement les épreuves de ces professions et espèrent que ces entreprises seront convenablement indemnisées du préjudice dont personne n'est responsable !
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poussinfanget
11 ans de Petite Feuille ♥
Merci de votre amitié
Félicitation pour ton grade "Premium"
Un grand merci pour ta fidélité et pour ta gentillesse
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J'ai la joie de vous annoncer que votre assiduité a été récompensée
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De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Si on prend que Paris, oui. Mais les RER ne s'arrête pas à Paris, on a à 20 pourcent de la population rien que pour l'Ile de France. Puis Il faut au minimum rajouter toutes les autres grandes villes qui cumulé peuvent faire beaucoup... C'est clair que le transport en commun comporte des risques même avec un masque. Plus que les bars ? je n'en sais rien, il faut voir ou sont les super contamineurs. (chose qui n'a jamais été faite car c'est l'indice k dont la France se fiche, elle préfère l'indice R...)
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soledad
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Les bars et cafés ferment, les salles de sport aussi, mais pas les restaurants où on y reste bien plus longtemps, et où on touche bien plus de choses contaminantes (couverts, assiettes, menu, ...). Il faut faire confiance que c’est bien nettoyé et désinfecté (déjà qu’en temps normal l’hygiène n’est pas forcément toujours totalement respectée). Comme quoi le lobby des restaurateur a réussi une chose assez contre-productive pour ses membres: rester ouvert et donc renoncer aux aides, alors qu’au final les clients ne sont pas aussi stupides. La fréquentation dans les restaurants y est en chute libre, et la distance entre les tables sera plutôt de 5 à 10m vu le peu d’affluence. Mais ils veulent rester ouvert coûte que coûte, c’est justement ça qui va les couler. Le restaurant étant désormais limité à une activité de loisir non-essentielle, vu que les repas d’affaires (et autres repas de familles aussi) sont quasi tous annulés. Ça n’aurait pas coûté grand chose de fermer 2 semaines avec des aides pour réouvrir plus tard, et ça montrerait le sérieux de la profession. Ce sera totalement contreproductif, et ça montre qu’ils pensent uniquement à leur tiroir caisse et éventuellement en tout dernier à la santé des gens, avec des mesures faiblement respectées (on a tous pu voir quel est le sérieux qui règne dans ce milieu cet été malgré les promesses). Le virus ne s’arrête pas à la porte des restaurants, où les gens sont sans masques.
Je pense que si les resto veulent rester ouvert coute que coute c'est que les aides ne sont pas si fameuse que cela... Les aides me semble plus du pipeau politique qu'autre chose car on voit plein de secteurs qui ferme quand même. D'un autre coté l'Etat (et donc nous) n'a pas les moyens d'aider pendant plusieurs années les entreprises. C'est le gros problème d'ailleurs, il faut mettre l'argent ou il rapporte le plus : l’hôpital par exemple avec plus de lits et de soignants car il permet d'assouplir les mesures et laisser repartir (et pas dans 2 ans...) l'économie au maximum tout en ayant un minimum (et non maximum) de précaution sanitaire.