Il faut le prendre au pied de la lettre quand Emmanuel Macron déclare: «Peut-être que je ne pourrai pas être candidat (en 2022). Peut-être que je devrai faire des choses dures, dans la dernière année, dans les derniers mois, parce que les circonstances l’exigeront, et qui rendront impossible le fait que je sois candidat.» Le chef de l’État se confiait le 4 décembre devant les «jeunes» du site Brut. Personne, fût-ce Jupiter, ne peut prétendre connaître la conjoncture économique et sociale à l’hiver 2021-2022.
En revanche, on sait ce que serait son scénario de second mandat pour les finances publiques infectées par le Covid-19. À l’instar du «ni nationalisation ni privatisation» de François Mitterrand à la présidentielle 1988, on aurait un «ni ni», ni hausses d’impôts ni annulation de la dette.
Ce programme, Bruno Le Maire, ministre des Finances, le décline à satiété depuis des semaines sur les plateaux télé, et il a de quoi plaire. À l’évidence, on ne relance pas une économie en alourdissant ... (Le Figaro premium)
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : Pour l'European central Bank la solution est toute simple, rendre la dette perpétuelle, mettre un impôt Européen, et faire les poches des retraités, il faut être intelligent pour faire de la politiquesinon j'ai la solution .. rétablir l'Isf et diminuer les salaires des parlementaires et retraites des anciens présidents qui ne sera versée qu'après 62ans ... Lutte contre la fraude fiscale ... Paiement des députés pour leur présence réelle à l'Assemblée Nationale soit après les séances et non plus avant (prendre le chèque et repartir ce n'est pas très républicain ) !!!