Habitante de Saint-Pierre-Montlimart (Montrevault-sur-Èvre), Marie-Noëlle Émeriau a vu apparaître une crevasse au pied de sa maison. Déjà, en janvier 2003, un affaissement avait mis au jour une cheminée alimentant en air pur les galeries de l’ancienne mine d’or du puits Saint-Antoine, ouverte au début de XXe siècle.
« Il y a quelques jours, en allant étendre mon linge dans le jardin, distraite, j’aurai pu tomber dans la cavité. » Marie-Noëlle Émeriau parle du trou béant, d’une profondeur de 3 m et large de 2 m, qui a refait surface au pied de son pavillon, construit en 1983, sur un terrain familial acquis dans les années 1950, rue du Tumulus, à Saint-Pierre-Montlimart, commune déléguée de Montrevault-sur-Èvre (Maine-et-Loire).
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