A Dijon, un homme tué dans son appartement après des tirs près d’un point de deal

[btnlydie]Je me tiens là, au cœur de ma propre réalité, confrontée à l'ombre grandissante de l'insécurité qui s'insinue jusque dans nos foyers. Les banlieues, autrefois havres de paix, résonnent désormais des échos sinistres des dealers de drogue. Les guerres de territoires entre trafiquants, tel un cauchemar qui s'invite à notre porte, laissent des victimes innocentes sur leur passage. C'est ainsi qu'un père de famille, digne représentant de la tranquillité à 55 ans, a été emporté dans la nuit, touché par une balle perdue dans les méandres d'une lutte pour un point de deal à Dijon.

Face à cette cruelle réalité, une question s'impose à moi : doit-on s'armer pour assurer notre propre protection? Les armes, autrefois reléguées à l'arsenal des forces de l'ordre, semblent désormais frapper à la porte de l'ordinaire. La peur grandit, et avec elle, la tentation de prendre en main notre sécurité. La police, accusée de laxisme, devient une énigme à décrypter. Sommes-nous condamnés à nous barricader derrière des portes blindées, ou peut-on encore espérer que nos rues redeviennent le refuge paisible qu'elles étaient autrefois?

Cette quête de sécurité me pousse à interroger le socle même de notre société. Dans ce tumulte croissant, la réponse ne réside-t-elle pas plutôt dans la solidarité, la compréhension et le dialogue, plutôt que dans le crépitement effrayant des armes? Chacun de nous, en tant que maillon de cette communauté, détient le pouvoir de changer le cours des choses. En unissant nos voix, en défendant la paix, peut-être pourrons-nous conjurer l'ombre grandissante de la violence, pour redonner à nos foyers l'harmonie qui nous échappe.[/btnlydie]

Encore un dramatique fait divers, provenant comme souvent de la circulation de la drogue et des règlements de compte ! Il y a des quartiers, c'est bien connu par tous, qui sont gangrénés par ces bandes et où la police même n'y peut pas grand chose. Oui à la solidarité [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] mais que faire à notre petit niveau ? La solution serait d'agir en amont, d'occuper tous ces jeunes souvent oisifs, à l'aide d'éducateurs par exemple ... mais pour cela il faut des moyens !

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], je ressens profondément la même préoccupation face à ces dramatiques faits divers qui ébranlent nos quartiers ! la circulation de la drogue et les règlements de compte semblent être des fléaux difficiles à contenir!! tu soulèves une question cruciale : que pouvons-nous faire à notre petit niveau? Je partage l'idée qu'agir en amont, en s'attaquant aux racines du problème, pourrait être une piste. L'occupation des jeunes, souvent laissés à l'oisiveté, pourrait trouver des réponses dans des initiatives éducatives soutenues par des éducateurs qualifiés, je ne peux qu'adhérer à ta constatation selon laquelle cela nécessite des moyens..... en fait il faut investir dans des programmes éducatifs, soutenir les initiatives visant à occuper les jeunes, et renforcer la présence policière tout en encourageant le dialogue communautaire sont autant de mesures qui pourraient contribuer à briser ce cycle destructeur....

avec tout çà , il y en à qui veulent légaliser cette mairde

Le dialogue, c’est bien entendu la solution qu’il faudrait adopter pour résoudre tous les problèmes, mais on le voit bien autour de nous, ou au travers des conflits dans le monde, cela n’est parfois plus valable pour apaiser les esprits.

Le monde doit passer par une sorte de chaos où tout va aller plus ou moins mal jusqu’à un point de perdition qui verra un nouveau monde. Tout va de durcir et revenir à une sérénité je pense.
On dirait un scénario de film catastrophe ou futuristoco-utopique, mais cela en prend grandement le chemin.

Donc s’armer, je pense que beaucoup vont le faire pour se sentir en presque sécurité ; ça c’est sur.

Tu as peut-être raison [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] mais je ne pense pas que nous verrons La Renaissance ... peut-être nos petits enfants, je parle pour moi

Les banlieues n'ont jamais été un havre de paix... Mais tu as raison [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], il n'y a que l'addition de mesures éducatives (les éducs) + de mesures sécuritaires (la police) qui pourront apporter une solution.

Il faut les 2 combinés, l'un ne fonctionnera pas sans l'autre.

Par contre, ma fille est éduc spé dans une cité, et la façon dont ça se passe, eh bien c'est pas gagné... Il y a beau y avoir des éducs très motivés à faire un travail efficace, il y a un poids de la hiérarchie planquée, des budgets mal utilisés, voire détournés, des injonctions qui empêchent le travail d'être efficace... Les éducs ont du mérite mais ils ont les pieds et poings liés par le poids de l'administration...


Quand à la légalisation des drogues douces comme le cannabis, je pense qu'il ne fat pas prendre les choses au premier degré. le problème ne vient pas du cannabis, qui n'a pas plus d'effet que l'alcool, voir moins. mais surtout des réseaux illégaux autour où se développe la violence.
Le rendre légal couperait l'herbe sous les pieds (c'est le cas de le dire lol) des réseaux mafieux. On le voit par exemple avec le CBD, qui est légal et dont la vente n'entraine aucune violence. Pour moi, ça se réfléchi, et ça pourrait grandement améliorer la délinquance autour de la vente de ce produit.

Je ne sais pas s'il faut l'égaliser la drogue mais si ça éviterai un nouveau drame je dit pourquoi pas...de plus ça éviterai que des parrains s'enrichisse sur le dos de pauvres gens

On est plus en sécurité même chez soi [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Chopin a écrit:

Je ne sais pas s'il faut l'égaliser la drogue mais si ça éviterai un nouveau drame je dit pourquoi pas...de plus ça éviterai que des parrains s'enrichisse sur le dos de pauvres gens

légaliser la canne à pisse c'est les forcer à se droguer avec encore plus dur

crack, coc, metaenf, et bien d'autres saloperies

au lieu d'éssayer d'épingle les gros

si on agissais pour faire baisser la demande ne serait ce pas mieux

papacoz a écrit:

Aujourd'hui à 11:31 Message n°11 sur la page:1

légaliser la canne à pisse c'est les forcer à se droguer avec encore plus dur

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Bah non, pourquoi ? Un consommateur de cannabis, s'il en trouve plus facilement et de façon légale n'aurait justement aucune raison de chercher plus.

Par contre, effectivement, ça va déplacer le trafic, mais ça ne va en aucun cas obliger quiconque à changer sa consommation.

Majorelle a écrit:

papacoz a écrit:

Aujourd'hui à 11:31 Message n°11 sur la page:1

 légaliser la canne à pisse c'est les forcer à se droguer avec encore plus dur

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Bah non, pourquoi ? Un consommateur de cannabis, s'il en trouve plus facilement et de façon légale n'aurait justement aucune raison de chercher plus.

Par contre, effectivement, ça va déplacer le trafic, mais ça ne va en aucun cas obliger quiconque à changer sa consommation.

Il faut lutter contre la consommation de cannabis. Sauf erreur il existe un lien entre cette consommation et le déclenchement de schizophrénie. De plus le cannabis peut être une marche vers d' autres drogues. Un consommateur doit être soigné.
Quant au trafic il aura toujours lieu, sur le cannabis ou autre chose. Il n' y a qu' une façon d' arrêter un trafic : arrêter les trafiquants.

Effectivement, une consommation de cannabis excessive peur entrainer des maladies psy. Mais l'alcool aussi, et même de façon bien plus destructrice physiquement et socialement.
Et on ne pourra jamais toucher à l'alcool sans entendre des hauts cris à la liberté !

La consommation de cannabis n'est pas une bonne chose. Par contre, on ne peut que constater que la pénalisation ne marche pas. On est passé de 33% à 45 % de consommateurs en 7 ans, entre 2010 et 2017. C'est bien la preuve que ça ne fonctionne pas.

Rapport de l'OFDT

Et en parallèle, le cannabis a des vertus thérapeutiques dont on se prive. De plus, il alimente les réseaux illicites. Notre approche face à cette substance est à revoir, à mon sens.

Et non, arrêter les trafiquants n'arrêtera jamais le trafic : il y en aura toujours d'autres...

là aussi, il y a des choses à repenser...

pas croyable encore ce fait divers