IA et santé, une combination gagnante... ou pas, prévient l'OMS

Il faut un cadre, bien entendu, mais l'IA et sa mémoire infinie est certainement un atout pour la recherche.

Dans le cadre de recherches scientifiques et médicales, on doit faire des liens, recouper des expérimentations, mettre des résultats en corrélation, et si cela est fait avec un cerveau artificiel, ça sera forcément plus efficace qu'avec un cerveau humain, qui a beaucoup plus de limites.

Que va-t-on faire de notre sens de l'analyse, de la réflexion avec l'IA ?? Perso je suis très sceptique quant à l'IA, même si je suis consciente qu'elle risque être l'avenir de l'humanité mais alors plus d'émotion, plus de sentiment, nous serons tous comme des robots, ça m'affole vraiment

L'IA n'est qu'un outil, qui est complémentaire. Il ne remplacera jamais l'esprit humain qui a d'autres atouts, comme ses émotions, sa créativité.

C'est en ajoutant les 2 que nous pourrons arriver à plus de performance.

Je ne pense pas qu'il soit question de "remplacer" l'humain. Il y aura toujours le regarde de l'humain pour superviser.

Je pense ou du moins je suppose que cela pourra avoir du sens dans la recherche.
Maintenant le coté "humain" doit rester primordial pour les malades tout le monde ne peut pas être traité pour une maladie identique d'une manière stricte et similaire. la "nuance" à mon avis à son importance le coté robot est contraire. c'est seulement mon avis, sur l'instant.

surement que les robots pourront être programmés pour inclure de la nuance. mais même là, il ne pourront jamais avoir la finesse d'une évaluation humaine.

On se sert déjà des robots en chirurgie. Bien que là ce ne soit justement pas de l'I.A

Un robot dédié à la prothèse de genou à la clinique Synergia Luberon de Cavaillon

L’avènement du quantique plus l’IA et nous aurons des machines plus humaines que l’humain.

Je suis pour a 100%. Dans quelques années les machines opéreront mieux que les chirurgiens je pense. L’avantage : une machine n’est pas fatiguée, à des millions de cas dans la tête et peux prendre une décision basée sur la logique de survie du patient avec tous les scénari possibles en une nanoseconde comme le chir bien sûr mais avec une efficacité de rapidité moindre qui parfois coûte la vie aux patients.

Attention je ne dénigre pas le travail des mes collègues et loin de là. Ne vous méprenez pas sur mes propos.

Je suis également pour la collaboration machine-homme. On y viendra de toutes les façons, c’est dans l’ordre des choses.