Dans un texte que nous publions, des collectifs et des associations de médecins et de patients appellent, notamment, à « soutenir activement l’ensemble de la communauté médicale et chirurgicale participant à la filière greffe ».
Leur message est clair : la greffe d’organes est « une priorité vitale en danger ».
Le meilleur moyen de les soutenir est d'être donneur. C'est à chacun, chacune de faire le nécessaire, par écrit de préférence, et si j'ai bien compris quelque soit l'âge mais je pensais qu'au delà de 75 ans, ce n'était plus possible ... à vérifier
Le meilleur moyen de les soutenir est d'être donneur. C'est à chacun, chacune de faire le nécessaire, par écrit de préférence, et si j'ai bien compris quelque soit l'âge mais je pensais qu'au delà de 75 ans, ce n'était plus possible ... à vérifier
Citation :
En France, la loi indique que nous sommes tous présumés donneurs, c'est-à-dire donneurs d'organes et de tissus, sauf si nous avons exprimé de notre vivant notre refus d’être prélevé. Il n’est donc pas nécessaire d’indiquer sa volonté d’être donneur. Cependant, il est important d'échanger avec ses proches. Si vous n’êtes pas inscrit sur le registre national des refus, c’est en effet vers eux que les équipes médicales se tourneront au moment du décès pour s'assurer que vous n'aviez pas, de votre vivant, exprimé une opposition au prélevement écrite ou orale de ses organes et tissus. Le don d'organes est possible à tout âge.
"Chaque individu est présumé donneur depuis la loi Caillavet du 22 décembre 1976 : un principe réaffirmé par la loi du 26 janvier 2016. - Les dons d’organes doivent être distingués du « don du corps à la science ». Cette dernière démarche volontaire et expresse auprès d’un établissement de santé, dérogatoire à la loi funéraire, permet à une personne de donner son corps entier, notamment à des fins d’enseignement - Le don d’organes est possible à tout âge Les médecins jugent au cas par cas du prélèvement de chaque organe. Car même s’il existe des contre-indications, c’est l’état de l’organe au moment du prélèvement qui compte. - Juste après l’annonce d’un décès par le médecin réanimateur, à défaut d’une opposition exprimée dans le registre national des refus, l’équipe médicale interrogera obligatoirement un des proches : Pour que le choix de chacun soit entendu, bien compris et respecté de tous, mieux vaut le faire connaître en temps utile auprès de l’entourage, soit par écrit, soit par oral, pour clarifier la situation, tant pour les proches que pour l’équipe médicale."
Chez nous pour les dons d'arganes on a une carte de donneur à mettre dans son porte monnaie. Une fois le décès il faut quand même l'avis des proches avant le prélèvement. Bien sur ne pas oublier de signaler au proche le souhait d'être donneur.