Santé : le secret des centenaires

ben, je ne peux m'empêcher de ressentir une certaine tristesse face à l'augmentation du nombre de centenaires bien sûr, vivre longtemps est souvent considéré comme une bénédiction, mais la perspective de passer ses dernières années dans un état de faiblesse et de dépendance, loin de ses proches disparus, me semble terriblement difficile !! j'ai vu mes grands-parents vieillir et j'ai pu constater à quel point la solitude et la perte d'autonomie peuvent être éprouvantes... pour moi, la qualité de vie est plus importante que la quantité d'années vécues, et je souhaite que nos aînés puissent vieillir dans la dignité et l'épanouissement, entourés de l'amour et du soutien de leurs proches.... 🤍

tout à fait d'accord avec toi [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et pour moi à chacun sa destinée et loin d'avoir mener une vie dans les normes ......

personne ne sait s il deviendra centenaire ou pas , c est comme a la loterie , tu as cette ( chance ) ou pas
il faut deja essayé de rester en bonne condition et aprés on verra

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : Je vois ça aussi comme une loterie. J'ai connu des gens parvenus à un très grand âge qui ont passé leur vie à fumer et à ne se priver de rien.
Je crois qu'il faut profiter au maximum de la vie tant qu'on le peut, et si on le peut matériellement.

Quelques remarques : L'un des problèmes du grand âge est que l'on a enterré tellement de proches qu'on doit avoir l'impression quelquefois d'avancer seul dans un désert en laissant derrière soi les dernières habitations.

- On dit des générations qui dépassent actuellement les 90 ans que l'épreuve de la guerre les a blindés. Il doit y avoir une part de vrai. On surmonte d'autant mieux les épreuves de la vie qu'on a derrière soi un vécu qui nous aura formé une cuirasse mentale, non qu'on soit devenu indifférent ou blasé, mais on sera davantage résilient, pour employer un terme à la mode.

- L'idée, quand on a 50 ou 60 balais, de passer vingt à trente années de sa fin de vie à l'état de zombi, n'a rien de séduisant. Mais ne pas perdre de vue un détail qui a son importance : l'octo, le nonagénaire, ne se pose pas ces questions. Tant qu'il le peut, tant qu'il reste valide, il vit exactement comme nous, il a ses petites habitudes, il fait ses petites commissions, il a ses hobbies, nourrit ses espoirs du lendemain. La peur de la vieillesse est affaire de projections.

- Eviter les facteurs de stress est valable à tout âge. Il n'est rien de plus destructeur que le stress. Maintenir une vie sociale riche est par contre plus difficile, et j'ajouterai, de plus en plus difficile. Les heures passées devant un écran contribuent à cette extension des solitudes, et à la sédentarité.