Les résultats des élections européennes sont tombés depuis quelques heures. Dans la nuit parisienne dimanche soir, des jeunes hommes d’une vingtaine d’années errent dans les beaux quartiers. Tous sont, selon nos informations, fichés S et connus des renseignements pour leur appartenance à la mouvance d’ultradroite. Ils sont aussi alcoolisés. Parmi ces militants en goguette, il y a Gabriel Loustau, âgé de 23 ans. ️
Tous les fichés S devraient être équipés d'un joli bracelet électronique, quelle que soit la mouvance dont ils se réclament. Quant à ces jeunes gens de bonne famille, un petit séjour dans un pénitencier abritant dealers, braqueurs et narcotrafiquants venus des quartiers, leur permettrait, au moment de la douche, d'expérimenter ce qu'ils reprochent à leurs victimes, sur le mode de la tournante. Bien sûr ils s'y mettent à plusieurs pour attaquer un jeune gars et traiter une jeune fille de s... . C'est plus sûr, des fois que la cible pratiquerait le full contact ou serait armée.
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Lionel Hampton
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On ne peut soumettre une personne à des mesures coercitives restrictive de liberté si elle n'a pas été condamnée par une décision de justice définitive pour des faits pénalement réprhéensibles. C'est la définition de l'état de droit. sinon, on passe à un état de police, qui ouvre la porte à tous les abus.
Le fichier S regroupe n'importe qui et n'importe quoi. Vous pouvez être fichés S pour avoir participé à une manifestation. Disons que le fichier constitue un mal nécessaire. Dans un état tant soit peu autoritaire, il constitue un moyen de surveillance et de répression des opposants politiques.
L'appréciation du degré de dangerosité d'un individu est subjective.
Si on plaçait les personnes fichées S sous bracelet électronique, elles seraient assimilées à des délinquants, ce qu'elles ne sont pas. Par ailleurs, d'une part, elles sauraient qu'elles sont sous surveillance, ce qui nuirait à l'efficacité de celle-ci et, d'autre part, la porte serait ouverte à des recours.
Quand la vérité vous met en colère, c'est parce que vous vivez dans le mensonge
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Lupino
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Ca c'est la face caché de la droite radicale : l'ultra-droite, violente, qui est en train de se dire que ça, sous peu, ils pourront le faire tranquillement !
Citation :
En garde à vue, ces quatre jeunes hommes ont affirmé des « revendications paramilitaires et d’affiliation au GUD (Groupe union défense, un syndicat d’étudiants d’extrême droite, NDLR) et au Rassemblement national », selon le parquet. Une source proche du dossier avait aussi affirmé auprès de Libération que l’un d’eux avait déclaré devant les enquêteurs : « vivement dans trois semaines, on pourra casser du PD autant qu’on veut », faisant référence à une possible victoire de l’extrême droite aux législatives anticipée à venir.
Citation :
À la barre, les quatre étudiants ont réfuté toute participation aux faits, s’enfermant souvent dans des réponses fuyantes aux questions du tribunal. Ils n’ont ainsi pas su expliquer pourquoi l’un d’eux avait écrit un message peu de temps après l’heure de l’agression, en indiquant que ses amis avaient « fumé un gay ».
À l’audience a également été évoquée leur attitude lors de leur interpellation et de leur arrivée au poste de police, la nuit des faits : ils s’y sont fait remarquer par des chants militaires ou des phrases comme « vous verrez quand Bardella sera au pouvoir, quand Hitler reviendra ».
« Vous ne savez pas qui je suis, vous verrez demain ce qui va vous arriver », a menacé l’un d’eux à l’attention des policiers.
Des militants d’ultradroite condamnés pour agression homophobe à Paris, après la victoire du RN