Quand la gauche avait un discours de droite sous François Mitterrand un programme sous M. MAUROY pour faire revenir les personnes des pays étrangers dans leur pays d'origine ?
[btnlydie]Quand la gauche tenait un discours de droite sous François Mitterrand, on a vu un programme avec M. Mauroy qui visait à faire retourner les personnes étrangères dans leur pays d'origine. Contrairement à ce que beaucoup pensent, la gauche n'a pas toujours été pro-immigration !!
Il est intéressant de noter que même les figures emblématiques de la gauche avaient une vision pragmatique de l'immigration. Mitterrand et son gouvernement de l'époque ont adopté des mesures qui pourraient aujourd'hui surprendre beaucoup de leurs partisans. Cette approche était en partie motivée par des considérations économiques et sociales, visant à protéger les travailleurs locaux et à éviter une trop forte concurrence sur le marché du travail....
l'histoire de la gauche française montre que ses positions sur l'immigration ont été variées et souvent influencées par le contexte économique et social du moment. Cette complexité mérite d'être reconnue et discutée, surtout quand on voit comment ces questions continuent de polariser le débat public !
mais en fait, pour conclure, on pourrait dire que c'était un discours de gauche, non ? La gauche, sous Mitterrand et avec Marchais, a montré qu'elle pouvait aussi défendre les intérêts des travailleurs locaux face à l'immigration. Leur pragmatisme face aux réalités économiques et sociales prouve que les clivages politiques ne sont pas toujours aussi tranchés qu'on le pense. Cela rappelle que la gauche, comme la droite, peut adapter ses positions en fonction des circonstances. Alors, oui, c'était bien un discours de gauche.
Dans son ensemble, la gauche n'est pas immigrationiste, comme elle en a été accusée, elle est pour un traitement digne des immigrés, même quand ils sont reconduits dans leur pays.
A titre personnel, je considère que les communautaristes français et immigrés sont les meilleurs alliés, dans la mesure où ils théorisent l'existence de deux communautés fermées, inconciciliables et vouées à s'affronter.
Heureusement, la réalité ne va pas complétement dans leur sens, voir par exemple, le nombre important de mariages mixtes, l'intégration dans la haute fonction publique, dans les mondes des affaires, de la culture, de la médecine, de la politique, de nombreuses personnes d'origine étrangère, par un ou plusieurs parents ou grand-parents.
Outre quelques ancêtres « Français de souche », dispersés entre onze de nos départements, Jordan Bardella a les trois quarts de ses racines en Italie. Sa lignée patronymique est arrivée en Seine-Saint-Denis vers 1960, avec l’arrière grand-père et ses fils, venus d’un petit bourg du Latium, pour travailler d’abord comme maçons puis comme plombiers (parallèlement à d’autres aïeux maternels, ouvriers dans le bâtiment, à Saint-Denis). À quoi l’on se doit ajouter des racines inattendues… en Algérie, avec un arrière-grand-père maternel kabyle, venu dès les années 1930 travailler comme manœuvre dans le bâtiment à Villeurbanne.
Quand la vérité vous met en colère, c'est parce que vous vivez dans le mensonge
l'immigration n'est pas une histoire de gauche ou de droite, c'est une volonté des maitres de l'UE de compenser la dénatalité des indigènes blancs, par la vitalité africaine. Et surtout d'importer une main d'oeuvre à exploiter.
Un vrai gauchiste devrait logiquement s'y opposer car ceci c'est du pur ultra-libéralisme.
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Lupino
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On n'a jamais vraiment eu de dirigeant très à gauche au final. En tout cas, quelle que soit leur couleur, il n'y a jamais eu beaucoup de différences entre eux...
Aux libertés publiques, liberté de la presse, liberté syndicale, droit de grève, au XIXème siècle,
A la semaine de 40 heures, aux congés payés, à la création des délégués du personnel en 1936,
Au statut de la fonction publique, à la mise en place de la sécurité sociale, aux comités d'entreprises, à la généralisation de la médecine du travail, à la libération,