La spiritualité à négligée les couloirs surprenant des êtres humains encore une fois comme une suite aux religions, elle a laissé l’être individuel assis sur une chaise ne pouvant que regarder mais jamais participer, ce doit être frustrant d’avoir les pensées emplies sans l’aubaine d’étaler ses pas sur un chemin différent. Tout est réalisé de façon à ne pas franchir les limites, le collectif s’est entravé dans une poudre de perlimpinpin, les portes authentiques ont étaient ensevelies derrière ces milles et une paillette de la société, même si les temps vont de plus en plus mal ce qui pourrait ouvrir les consciences, le martelage des années tamisées gardent encore la ligne de conduite enfantée.
Faut-il des êtres qui abandonnent cette route pour partager des instants opposés, évidement le poids de la masse humaine éduquée d’une culture normale s’exclamera volontiers aux dénigrements mais les gens qui perçoivent deviennent plus nombreux, au final c’est une distribution qu’ils désirent offrir et non un pouvoir sur autrui.
L’humain est un penseur naturel, j’ai toujours estimé que personne n’avait le droit de lui enlever cette fonction, trop d’individus sont dispersés dans nos cultures sociétaires mais d’aucun ne s’intéresse à la détresse intérieure de chacun, soit ils s’évertuent à une trop grande opinion d’eux même, soit bien souvent ils se tenaillent dans une non confiance profonde, c’est pour cela que je vous livre ce qui va suivre.
Un roi avait planté prés de son château toutes sortes d’arbres et de plantes, son jardin était d’une grande beauté. Chaque jour, il s’y promenait c’était pour lui une joie et une détente. Un jour, il dû partir en voyage. A son retour, il s’empressa d’aller marcher dans le jardin et fut surpris en constatant que les plantes et les arbres étaient en train de se dessécher. Il s’adressa au pin, autrefois majestueux et plein de vie, et lui demanda ce qui s’était passé.
Le pin lui répondit :
J’ai regardé le pommier et je me suis dit que jamais je ne produirai les bons fruits qu’il porte, je me suis découragé et j’ai commencé à sécher. Le roi alla trouver le pommier, lui aussi se desséchait.
Il l’interrogeât et le pommier lui dit :
En regardant la rose et en sentant son parfum, je me suis dit que jamais je ne serais aussi beau et agréable et je me suis mis à sécher. Comme la rose elle-même était en train de dépérir, il alla lui parler et elle lui dit :
Comme c’est dommage que je n’ai pas l’âge de l’érable qui est là-bas et que mes feuilles ne se colorent pas l’automne, dans ces conditions à quoi bon vivre et faire des fleurs et je me suis donc mise à dessécher. Poursuivant son exploration, le roi aperçut une magnifique petite fleur épanouie. Il lui demanda comment il se faisait qu’elle soit si vivante.
Elle lui répondit :
J’ai failli me dessécher, car au début je me désolais que jamais je n’aurais la majesté du pin qui garde sa verdure toute l’année que je n’aurais non plus le raffinement et le parfum de la rose alors j’ai commencé à mourir mais j’ai réfléchi et je me suis dit :
Si le roi est sage et qu’il a organisé son jardin, s’il avait voulu autre chose à ma place il l’aurait planté donc s’il m’a planté, c’est qu’il me voulait, moi telle que je suis et à partir de ce moment, j’ai décidé d’être la plus belle possible.