Le Japon fait face depuis, quelques mois, à une nouvelle forme de criminalité. Des personnes sans casier judiciaire sont recrutées à distance par les réseaux sociaux pour des petits jobs mais, elles se retrouvent contraintes commettre des crimes ou des délits.
Le mot “yami baito” est apparu un peu partout, ces dernières semaines d'octobre, dans les médias japonais. “Yami” signifie sombre et “baito” travail, mais plutôt dans le sens de petit job. Donc "yami baito", peut-être traduit par travail de l’ombre. Des criminels, qui parfois ne sont même pas au Japon, diffusent sur les réseaux sociaux, comme X, Signal ou encore Telegram, des annonces pour des emplois qu’ils décrivent comme faciles et bien rémunérés.
Le phénomène des «yami baito» inquiète la police nipponne. Des gens sont recrutés sur Internet pour arnaquer des personnes fragiles.
je trouve ça vraiment flippant, cette histoire de "yami baito". Imaginez, vous cherchez juste un petit boulot pour arrondir les fins de mois et vous vous retrouvez embarqué dans des trucs louches sans le savoir ! C'est fou comme les réseaux sociaux peuvent être utilisés pour des choses aussi sombres....