Des Français partis faire le jihad toucheraient encore leurs allocations

  Publié le  07/10/2014 à 10h16  

Infos RMC. Des députés UMP veulent une commission d'enquête parlementaire sur la question des allocations familiales qui continuent, d'après eux, à être versées à des Français partis faire le djihad en Syrie ou ailleurs.

Jusqu'à 2200€ d'allocations par mois

La CAF (Caisse d'allocations familiales) doit, en effet, prouver que l'allocataire a bien quitté son domicile Or, elle dispose de moyens de vérification particulièrement minces. Les CAF n'ont par exemple pas le droit de croiser leurs données avec celles de la police, pour ne pas porter atteinte aux libertés individuelles.
La solution reste donc d'envoyer un agent au domicile de l'allocataire. Mais lorsque le nom se trouve toujours sur la boite aux lettres, la présomption prime sur le doute, et les allocations continuent d'être versées.
Selon Alain Marsaud, les CAF de la région Sud-Ouest compteraient une dizaine de cas de personnes parties faire le djihad en Syrie et qui toucheraient toujours leurs allocations. L'un d'eux continuerait par exemple de percevoir 2.200 euros chaque mois.source

Vos commentaires & réactions ?

c'est çà la France

on paye des retraites à des personnes de 125 ans alors que le doyen de terre n'en à que 111

on paye même les djadiste

et après on se dit "mais où passe notre argent ? " à préparer des guerres .. du terrorisme ... il est temps que le gouvernement déploie du personnel pour faire leurs enquêtes !! (ça créerait des emplois ) les allocations est un droit français sur le sol français ! je ne fais pas d'anti-civilité mais je dis les choses comme elles doivent êtes dites !

C'est en quelque sorte le même topo qui s'est posé en Algerie.Lorsque la concordance nationale fut proposée par notre Président actuel et votée par la majorité du peuple,les sanguinaires qui activaient dans les montagnes ont déposé leurs armes et bénéficièrent d'une allocation dde réinsertion qui se chiffrait par millions.Les femmes des terroristes tués,ou disparus,avaient une pension à vie,cote à cote avec les femmes dont le mari était policier ou militaire et qui fut assassiné par les fous de Dieu.Aujourd'hui, ceux qui semaient la terreur ,et la peur circulent librement dans les rues de la ville sans s’inquiéter, et pourtant ils avaient les mains tachées de sang.Il en est de même pour ces jeunes français endoctrinés et enrôlés dans le djihad.L'Etat doit prendre des mesures strictes, et supprimer toute aide à ces derniers.Le manque et le besoin les oblige à rebrousser chemin et se rendre à l'évidence.

Salam, je suis d'accord avec toi !