Cinq des six salariés d’Air France interpellés lundi dans le cadre de l’enquête sur les violences de la semaine passée ont été déférés, mardi 13 octobre, devant un magistrat du parquet de Bobigny. Les cinq hommes, en garde à vue depuis lundi matin dans les locaux de la police aux frontières de Roissy, seront jugés le 2 décembre devant le tribunal correctionnel de Bobigny pour des « faits de violences en réunion ayant entraîné une ITT (incapacité temporaire de travail) n’excédant pas huit jours », a précisé le parquet.
Agés de 35 à 48 ans, ils sont suspectés d’avoir exercé des violences sur des vigiles et sur deux DRH lors du comité central d’entreprise (CCE) de la compagnie du 5 octobre. La garde à vue d’une sixième personne interpellée a été levée lundi, le mis en cause n’ayant « pas été reconnu par une des victimes », a précisé le parquet. Quatre des personnes en garde à vue seraient des employés de la branche cargo Air France et une d’Air France Industries. D’après une source proche du dossier, certains avaient un mandat syndical à la CGT.
LE MONDE
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Marie
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papacoz
11 ans de Petite Feuille ♥
Merci de votre amitié
Dépanneur informatique
la résolution des dysfonctionnements d'un logiciel ou d'un ordinateur
Félicitation pour ton grade "Premium"
Un grand merci pour ta fidélité et pour ta gentillesse
Félicitation pour ton grade "V.I.P.+"
J'ai la joie de vous annoncer que votre assiduité a été récompensée
Merci pour les 12 ans de "Petite Feuille"
De la part de toute l'équipe de "Petite Feuille" nous vous remercions, vous tous, pour votre participation et votre soutien !
Vous êtes vraiment les meilleurs !
Une récompense bien méritée pour nos posteurs "Mordu d'actualité" !
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Cinq des six salariés d’Air France interpellés lundi dans le cadre de l’enquête sur les violences de la semaine passée ont été déférés, mardi 13 octobre, devant un magistrat du parquet de Bobigny. Les cinq hommes, en garde à vue depuis lundi matin dans les locaux de la police aux frontières de Roissy, seront jugés le 2 décembre devant le tribunal correctionnel de Bobigny pour des « faits de violences en réunion ayant entraîné une ITT (incapacité temporaire de travail) n’excédant pas huit jours », a précisé le parquet.
Agés de 35 à 48 ans, ils sont suspectés d’avoir exercé des violences sur des vigiles et sur deux DRH lors du comité central d’entreprise (CCE) de la compagnie du 5 octobre. La garde à vue d’une sixième personne interpellée a été levée lundi, le mis en cause n’ayant « pas été reconnu par une des victimes », a précisé le parquet. Quatre des personnes en garde à vue seraient des employés de la branche cargo Air France et une d’Air France Industries. D’après une source proche du dossier, certains avaient un mandat syndical à la CGT.
La violence résout rien mais quand le patronat, le MEDEF et l'état matraquent socialement les travailleurs en reculant la retraite jusqu'à 63ans, les sous paient et font des plans sociaux pour faire des économie et s'en mettre pleins les poches c'est aussi de la violence. Cette violence est sourde et invisible mais bien réel, donc ce que l'ont fait ces salariées d'air France aux DRH c'est juste retour des choses et c'est bien fait. Ils n'ont pas a être condamner pour ce qui s'est passé.
Hadopi c'est la loose... [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]